J’ai volontairement omis de mettre les bouches des personnes à côté de leurs témoignages parce que, aujourd’hui, la bouche ne m’intéresse plus, au premier degré.
C’est l’Etre Humain qui me passionne et me fascine et c’est lui qui doit s’exprimer à travers SON verbe issu… de SA bouche transformée, car nos bouches ne font que révéler qui nous sommes.

J’ai accompagné ce jeune homme lorsqu’il était enfant. Il a maintenant 30 ans

Bonjour à tous,
Je suis un pratiquant actif de la dentosophie et souhaite partager le bienfait de cette méthode unique.
J’ai commencé mon traitement il y a plus de 15 ans.
J’ai vu durant toutes ces années une évolution de tout mon être. J’ai appris à m’aimer à prendre soin de moi à découvrir qui j’étais.
Ce travail sur moi-même m’a demandé un engagement total.
Au début, je le faisais pour faire plaisir à mes parents et puis petit à petit j’ai commencé à m’investir, à prendre conscience de la mastication. Ces temps de travail devenaient des poses indispensables pour bien être. Prendre le temps de respirer, de voyager à travers mon corps et mon esprit.
Il n’y a pas de magie, c’est une relation intime avec soi-même.
Les temps de discussions avec le soignant, sont des moments privilégiés.
Ils permettent de mettre à nu les événements de notre vie, de les raccorder à nos dents. Souvent, ils ouvrent des portes qu’on croyait bloquées. Avec des mots simples, on comprend que le hasard n’a pas sa place et que chaque acte est le fruit d’une réaction consciente ou inconsciente (souvent difficile à admettre).
Pour parler d’exemple précis, entre 12 et 20 ans, j’avais souvent mal aux genoux et au dos, maintenant ces douleurs sont anecdotiques.
Le rapport avec l’extérieur à changer ; je suis plus sûr de moi, je m’exprime avec plus de facilité, j’aborde les problèmes avec plus de recul, je suis moins réactif et plus disponible avec les autres….etc.
Aujourd’hui je me remercie d’avoir su, un moment donné, franchir le cap.
C’est vrai, c’est un travail de longue halène ou rien n’est acquis, mais je me dis que le meilleur reste à venir.

J’ai accompagné ce jeune homme lorsqu’il était enfant. Il témoigne à la suite de la lecture de mon premier livre.

« Voilà; j’ai terminé.
C’est énorme…
J’ai terminé et pourtant ce n’est que le début !
Ce qui est frustrant avec ce livre; frustrant et à la fois énervant, c’est de voir les gens autour de moi dans l’ignorance et qui rament avec leurs méthodes, disons conventionnées.
Effectivement à 24 ans, on a envie de changer le monde. Mais le monde ne change pas. La seule solution qui m’a été proposée est de changer moi-même dans un premier temps.
J’ai commencé cette méthode dite « douce » à l’époque, à l’âge de 7 ans. Aujourd’hui j’ai 32 dents, en voie d’harmonisation !!!
Avec ce livre j’ai compris, je suis passé à un autre niveau de conscience. J’évolue donc mon entourage évolue.
En vivant au présent… quel(le) bon(ne)heur(e) !
A mon tour de faire des remerciements :
Je remercie mes parents d’avoir pensé autrement en 1990.
Je remercie Michel Montaud/la dentosophie d’avoir réfléchi autrement en 1982.
Et je me remercie, moi, de m’avoir amené là où j’en suis aujourd’hui, me permettant d’appréhender la vie « autrement » en 2007.
A vous tous, ouvrez les yeux…Carpe Diem.

J’ai accompagné cette jeune fille lorsqu’elle était enfant. Elle a maintenant 20 ans

La lecture de ce livre (« Nos dents, une porte vers la santé ») intervient des années après le début de mon « traitement », de mon expérience avec l’activateur. Quelques éléments de ce livre étaient donc, pour moi, connus (les « grandes lignes »).
Mais lire ce livre m’a fait du bien. Tout d’abord parce qu’il a remis en place ou précisé certaines idées. Il m’a même appris d’autres choses. Mais ce qui est pour moi le plus troublant est qu’il m’a fait prendre conscience que le chemin est long et que j’y suis à peine engagée.
En réalité, la lecture de ce livre et de ses témoignages m’a parfois permis de m’identifier à certains cas (et donc de comprendre certaines choses), mais il m’a également montré où l’être humain pouvait encore aller.

J’ai pris conscience d’avoir fortement évoluée et je pense être sur le bon chemin. Cependant, j’ai encore de la route à faire… mais c’est elle qui rend chaque pas si appréciable. Ma mobilisation (mon envie) pour et envers moi-même conditionne, je pense, mon avancée.
Ce livre m’a profondément fait comprendre le fort lien (interaction) entre mes actions décidées au quotidien et mon bien-être. En quelque sorte, pour mon cas, l’importance de me poser et de prendre du temps pour me retrouver, au jour le jour (je pense particulièrement à la mastication de l’appareil, moment privilégié.)
Même si j’apprécie le moment présent et que je pense avoir les yeux ouverts, je pense pouvoir aller plus loin. Mais je crois avoir compris bien des choses à ce propos et j’ai déjà commencé à changer.
Ce livre a également entraîné quelques questionnements ; il m’a fait réfléchir.

Je vous remercie d’avoir mis toutes ces riches pensées à plat et aussi d’en faire profiter les lecteurs intéressés.

Patiente accompagnée par un ami dentosophe
Voici ma rencontre avec l’Activateur : la Révélation

En avril 2003 lors d’un repas entre amis, un mot passa dans la conversation : Dentosophie.
On m’expliqua que c’était une nouvelle méthode qui permettait aux dents de se redresser à l’aide d’un appareil en caoutchouc (quel étrange pouvoir!).
Un an plus tard, je pris la décision de m’y intéresser de plus près. Mon physique me faisait souffrir depuis trop longtemps, j’étais arrivée à saturation. Parfois il arrivait que des enfants me demandent pourquoi j’avais le menton avancé, dans ces moments là je pensais à l’intervention chirurgicale et me disais qu’un grave accident de la route me rendrait bien service.
Puis arriva l’Activateur. Au début les sensations étaient étranges, mélange de bien être et d’insécurité. Je me suis vite rendue compte que ma principale peur était cette sensation de vide que je ressentais au moment de desserrer la mâchoire. Petit à petit cette peur s’est transformée et l’Activateur est devenu mon meilleur ami. Il avait un véritable pouvoir, celui de remonter le temps.
Mes nuits sont devenues très enrichissantes, j’avais l’impression que mon inconscient se libérait.
Pendant neuf mois, j’ai revécu mes 35 années dans une clarté incroyable. Il m’arrivait même parfois de voir des images qui ne m’appartenaient pas et qui pourtant faisaient partie de mon univers. J’ai alors pris conscience que j’avais hérité de tout l’inconscient de ma mère (et certainement de celui de mes ancêtres féminins), ce qui pouvait s’expliquer par le fait que ma mère était en pleine dépression au moment où elle m’attendait.
Une nuit, je me suis réveillée en associant deux mots : dentosophie et autisme. J’avais l’ultime conviction que cet activateur pouvait être bénéfique aux autistes. Il faisait le lien entre le corps et l’esprit et avait le pouvoir de libérer l’inconscient.
Par la suite, j’ai fait le constat que 35 années s’étaient écoulées sans avoir vraiment existé.
J’ai été un enfant de remplacement dont l’éducation a été la dictature (peur) et la religion catholique(jugement). Je n’ai jamais été l’acteur de ma vie.
Aujourd’hui, l’Activateur est plus qu’une révélation, il m’apporte :

A Amour
C Combativité
T Tranquillité
I Identité
V Vitalité
A Authenticité
T Ténacité
E Egalité
U Unité
R Régularité

J’ai compris que les plus beaux combats étaient ceux que l’on faisait contre soi
même, pour accéder à sa liberté.
MERCI à vous et vos amis pour m’avoir offert le plus beau des voyages.

J’ai accompagné ce petit garçon

Nous sommes les parents d’un petit Téo (prénom d’emprunt) qui souffrait selon le corps médical d’un trouble du développement et d’un retard intellectuel à l’âge de 5 ans. Nous étions donc très préoccupés par son devenir lors de notre première consultation en Dentosophie et très sceptique envers l’efficacité de cette thérapie. A cette époque nous n’avons pas cru les propos de Mr Montaud sur les surprenantes capacités de notre fils.
Dés le deuxième jour d’exercices avec l’activateur nous avons constaté chez Téo, moins d’oppositions et de colères, puis rapidement son regard est devenu plus vivant.
Au bout d’un mois et demi le graphisme est devenu possible, les apprentissages mieux assimilés et ses sentiments mieux verbalisés. Par la suite il a pris confiance en lui, ses peurs se sont atténuées. Après trois mois de Dentosophie, pour la rentrée scolaire sa maîtresse a découvert un petit Téo complètement différent au niveau du comportement et des apprentissages.
Aujourd’hui Téo a 7 ans et demi cela fait 2 ans et demi qu’il est suivi en Dentosophie.
Le corps médical ne constate plus de retard intellectuel, le trouble du développement est en nette régression à la plus grande joie de ses parents .
Enzo continue de progresser à l’école comme dans les autres domaines et nous croyons maintenant en les surprenantes capacités de notre fils.

Patiente accompagnée par une amie dentosophe, qui dialogue sur un forum.

Maintenant que j’ai posé le pied sur le chemin, je souhaite vivement partager mon expérience… je le ferai probablement par le biais d’un forum puisque c’est comme cela que j’ai appris l’existence de votre méthode… et j’ai bien l’intention de la faire connaître aux personnes qui se sentent prêtes à assumer leur devenir…

Merci pour tout : votre simplicité, votre gentillesse, votre approche de la vie… pour votre livre aussi, simple, accessible, nécessaire.

Bonjour à tous…
 
Alors voilà mes premières impressions… donc, j’ai reçu mon activateur vendredi dernier… je vous jure, sans rire… j’ai pleuré quand je l’ai vu dans les mains de ma dentiste… j’avais le sentiment qu’elle m’apportait le « graal » dans une petite boite verte… c’est vous dire si tout mon être le réclamait..! Je fais mes exercices aussi régulièrement que possible… ma dentiste m’a dit de les faire 3 fois 15 minutes par jour (je ne peux pas encore le porter la nuit : elle m’a bien recommandé de faire mes ex pendant 15 jours avant de le porter la nuit…). Le matin et le soir, pas de problème… mais j’ai du mal à m’organiser quand je travaille pour le porter une troisième période…. comme j’ai toujours eu des problèmes d’organisation et de structure, je ne m’en étonne pas et je suis certaine que je vais trouver peu à peu de la place et du temps pour tout… un pas après l’autre… Le plus comique pour le moment, c’est que depuis que j’ai l’activateur, mes dents – qui m’obsédaient – passent au second plan… je veux dire : quand je fais mes exercices, je ne me dis pas que c’est nécessaire pour mes dents… je n’y pense même pas… je les fais pour me détendre, pour me sentir mieux dans ma peau, pour évacuer les tensions… et ça marche, ça, c’est clair…!  
 
Sur le plan physique : j’ai déjà beaucoup moins souvent mal au dos… on dirait que je marche mieux quand j’ai fait mes exercices… et je fais beaucoup plus attention à la position de ma langue, à la façon dont je respire ou mastique…
Sur le plan « psy » : on dirait qu’il y a des émotions qui « remontent », comme des bulles qui remonteraient à la surface … des bouffées de tristesse… les larmes qui arrivent au bord des yeux sans bien savoir à quoi ça correspond… et, en même temps, une distance qui s’installe par rapport à ces sentiments… je laisse venir ce qui vient, je constate, je laisse partir ce qui part…
Je vais vous dire : je me sens à ma place sur ce chemin.

Bonjour à tous… alors, je vais vous dire… cela fait ( pratiquement) 3 mois que mes dents et moi sommes en traitement… et ça bouge..! Oui, « ça » bouge… mais qu’est-ce que c’est « ça »..? Franchement, je ne pourrais le dire….
« ça » bouge à l’intérieur : émotions, sensations, rêves, flashs…
« ça » bouge à l’extérieur : évènements nouveaux, comme jaillis de nulle part,… image de moi plus positive, que d’autres me renvoient… que j’accepte enfin..?… et je sens bien que ce n’est qu’un début… et puis mes dents qui bougent aussi… comme une invitation au voyage, qui s’annonce beau et instructif…. à bientôt… et travaillez bien.

Monsieur,
sans exagérer, je bénis le jour où j’ai rencontré la dentosophie…
J’ai la nette impression de modifier en profondeur ma façon d’envisager la vie… bien sûr,  je suis encore souvent assaillie d’angoisses, et ces moments-là sont difficiles… je trouve alors que le chemin est long… et cette fatigue constante m’embête… mais, en parallèle, il y a aussi ces portes qui s’ouvrent dans mon couloir… ce couloir, qui n’est plus aussi noir… cette petite fille, qui grandit quelque part… quand je machouille  ma « silicone mâchoire’’.
J’ai vraiment la sensation de prendre le temps de me construire,  de prendre soin de moi… si le chemin est parfois long, il est sans douleur et peut même être gai…

Le dialogue qui va suivre n’est pas un cas clinique mais un échange que j’ai eu avec une mère… médecin, il y a quelques années.
Cet échange est enrichissant, à plus d’un titre, car il provient d’un médecin.

Bonjour,

Je suis médecin généraliste et suis actuellement une formation en naturothérapie à l’université Paris 13.
J’ai été orientée vers vous par l’association ODENTH.
Je suis à la recherche d’un praticien qui pourrait prendre en charge la pathologie bucco-dentaire de mon fils de 19 mois, qui a souffert d’ankyloglossie (frein de la langue trop court) à la naissance avec troubles de la déglutition. Depuis sa naissance, sa vie est jalonnée de troubles de la santé: mauvaise prise alimentaire, troubles du transit, agitation et probables douleurs abdominales, allergie alimentaire.
Tant bien que mal, je m’efforce de lui assurer le meilleur suivi médical avec les moyens allopathique et holistique. Cependant, je suis persuadée qu’il existe une solution dentosophique pour mon fils, pour améliorer sa croissance et surtout contrôler la malposition dentaire, la pathologie fonctionnelle linguale, les troubles phonatoires que j’anticipe puisque mon fils est en pleine acquisition du langage.

Est-ce trop tôt pour le faire suivre par un dentiste qualifié en dentosophie?

En vous remerciant.
Bien cordialement.

Moi

Bonjour Madame
Mon plus jeune patient avait 2 ans et 3 mois. Il n’est jamais trop tôt, mais l’important va être la motivation des parents car la dentosophie sort des « sentiers battus » de la médecine telle qu’on nous l’a enseignée.
En tant que médecin, je ne connais pas votre approche de l’Homme, mais je sais que la réussite des traitements dépend en grande partie de notre remise en question, en tant qu’adulte, de ce que représente l’enfant et de ce qu’il veut nous dire à travers ses pathologies.
Je vous conseille de lire le livre avant de contacter un professionnel.
Avec toute ma sympathie.

Elle

Bonjour Monsieur Montaud,

Je vous remercie de votre réponse et espère que vous avez fait bonne réception de ma commande de votre livre.
En tant que médecin et encore plus depuis que je suis mère, je suis dans l’exploration et l’apprentissage de tout ce que mon cursus universitaire standard m’avait « caché » jusque là.
Et je découvre des choses terrifiantes concernant les paradigmes acquis jusqu’alors et aussi les difficultés pour exister au sein même de notre communauté professionnelle où la majorité reste plutôt pour l’immobilisme et les dogmes pseudo-scientifiques.

Je suis sûre que je ferai bon usage de la lecture de votre ouvrage.

Bien confraternellement,

Elle

Bonjour monsieur Montaud,

Je viens de dévorer votre ouvrage comme une assoiffée traversant le désert et, n’ayant rencontré jusque là que des mirages, arrive enfin à l’oasis où se désaltérer.
Il me semble que cette rencontre n’a rien de fortuit et que mes événements de vie y préparaient, apportant à travers la lecture de votre livre des réponses actuelles mais aussi confirmant mes intuitions cliniques préalables en tant que patient d’abord, thérapeute ensuite et enfin parent.

Je tenais à vous faire part de l’écho particulier qu’a eu votre développement sur la maturation du système neuro-psycho-sensoriel dans la séquence marcher-parler-penser. Cela a éclairé une situation personnelle que j’ai vécue à l’adolescence.
Je viens d’une famille « pathologique » où mon père violent battait ma mère et où les aînés par mimétisme battaient les plus jeunes.
Etant la plus jeune d’une famille de quatre enfants et d’autant plus une fille, j’étais le souffre douleur de la famille. Mon adolescence a été le point culminant de la maltraitance physique et psychologique et le moment où j’ai commencé à présenter des troubles régressifs allant dans la séquence inverse de ce que vous présentez, à savoir atteinte du Penser (difficulté de concentration scolaire, tristesse, auto-culpabilisation) puis sont venus se greffer des troubles du Parler (bégaiement) et enfin des troubles du Marcher (je boitais sans lésion organique apparente). L’année qui a suivi, pour ma survie, j’ai quitté ma famille et je me suis accrochée à mes études de médecine et les troubles ont disparus.
Maintenant, à la lumière de vos explications, je comprends mieux les impacts du système psycho-émotionnel sur notre santé.

De plus, votre livre et ses ouvertures apportent une réponse à la problématique de mon fils de 19 mois. Comme je vous l’avais dit, il est né avec un frein de la langue trop court. Nous étions aux Etats-Unis. A la sortie de la maternité j’ai du le signaler au pédiatre parce que mon fils ne pleurait pas normalement, la langue ne décolant pas du plancher.
De plus il avait un comportement anormal pour moi: pleurs persistants même après des heures au sein. J’ai évoqué alors une anomalie de la déglutition et j’ai été ignorée. Seule chez moi, j’ai du me résoudre à tirer mon lait parce qu’au quatrième jour, à la montée de lait, le diagnostic était fait, il ne prenait rien, il devenait ictérique, il n’avait plus de diurèse et de transit.

J’ai appelé au secours tout le monde médical à ma disposition à ce moment là: pédiatre me disant de le mettre au lait en poudre, puis me renvoyant au dentiste lequel me renvoyait au stomatologue si j’insistais pour intervenir sur sa langue, avec à l’arrivée une anesthésie générale de prévue et une attente de un mois.
J’ai fini par me résigner à « opérer » (frénotomie) mon fils chez moi au neuvième jour le voyant trop souffrir pour s’alimenter.
Depuis les problèmes d’alimentation se sont comme par miracle réglés, me confirmant le sentiment que j’avais d’être dans « l’ortho-fonctionnel » contrairement à ces confrères qui restaient dans le « dys-focntionnel » et ne cherchaient pas plus loin d’ailleurs.
Malheureusement, les problèmes de santé de mon fils ont continué de plus belle, eczéma, allergie alimentaire, troubles persistants du sommeil, constipation chronique, des dents qui poussent mal et une agitation que je ne trouve pas normale.
Le corps médical me rassure sans me donner de réponse, sans m’expliquer des symptômes qu’ils reconnaissent par ailleurs comme « anormaux ».
Ayant une fille aînée de 4 ans en bonne santé, j’ai pu constater qu’un enfant en bonne santé n’a pas ce comportement. Il mange bien, il dort bien, il se comporte harmonieusement. Lorsqu’un nourrisson pleure et que cela dure, il y a selon moi TOUJOURS une raison fonctionnelle ou organique à cela.
C’est un peu long, mais je tenais à vous expliquer mon cheminement vers vous et aussi mes espoirs quant à aider mon fils à corriger un bien mauvais départ dans la vie.

Et enfin j’aurais aimé avoir vos réflexions sur la réserve que je fais cependant à la lecture de votre livre. J’adhère parfaitement à toutes les démonstrations qui y sont faites, particulièrement celles engageant l’action de l’homme (celui à la bouche déséquilibrée) sur le reste du monde, ainsi que celle impliquant notre « responsabilité » dans nos événements de vie, et je pense à l’exemple de l’enfant qui s’est cassé l’incisive dans une cours d’école à la fin de votre livre.
Mais n’est-ce pas tout de même trop réducteur?
Que penser des « injustices » de ce monde? Dans les pays en guerre y aurait-il plus de bouches déséquilibrées?
Si nous avons tous en nous le médecin intérieur pour guérir de nos « mal-a-dit »?
Qui nous guérira du mal des autres?
La femme qui se fait battre par l’homme qui dit l’aimer a-t-elle aussi la bouche déséquilibrée?

La dentosophie est sans doute un grand pas vers la guérison de ce monde. Mais il y a bien des calamités qui pour moi dépassent l’entendement.

Je vous remercie de m’avoir lue et de m’avoir dédicacé votre ouvrage. Je n’aurais pas osé vous le demander.

Cordialement.

Moi

Bonjour Madame

Attention; la bouche déséquilibrée est, pour moi, une vision extérieure d’un fonctionnement intérieur de l’être humain qui n’est pas en harmonie. Ce n’est qu’un symptôme visible extérieur. (Ce n’est pas à cause de la bouche que l’humanité va mal)
Or ces constats se généralisent à l’humanité toute entière (avec des degrés différents selon les personnes). On comprend alors pourquoi cette humanité va si mal car ceci est généralisé à toute la population.
Mais, si tout a un sens, cela aussi doit avoir un sens!

‘’ Mais n’est-ce pas tout de même trop réducteur?
Que penser des « injustices » de ce monde? Dans les pays en guerre y aurait-il plus de bouches déséquilibrées? ’’

Où commence la guerre? Lorsque les gens se tirent dessus ou quand on commence à battre une petite fille, souffre douleur de toute la famille.
Les injustices de ce monde ne sont pas uniquement dans les pays qui sont en « guerre ».
Nous avons, tous, vécu dans notre enfance des injustices et nous continuons à le faire, en tant qu’adulte, et c’est toujours insupportable et pourtant nous continuons… continuons… jusqu’à quand? Jusqu’à quand allons-nous supporter l’INSUPPORTABLE?

‘’ Si nous avons tous en nous le médecin intérieur pour guérir de nos « mal-a-dit »? Qui nous guérira du mal des autres? ‘’

Personne ne nous guérira du mal des autres car c’est aux autres de se guérir de leur propre mal.
Nous ne pouvons rien, directement, pour l’autre mais, par contre,  nous pouvons pour nous et si nous réussissons à travailler sur notre propre mal-être, (c’ est l’insupportable que nous supportons) nous devenons « contagieux de bonne santé » et nous donnons envie à d’autres d’en faire autant (car l’homme sait, dans son inconscient profond, que la vie  » c’est autre chose que ce qu’il vit » et les « mal a dit » sont là pour lui rappeler)

‘’ La femme qui se fait battre par l’homme qui dit l’aimer a-t-elle aussi la bouche déséquilibrée? ‘’

Oui ! Elle l’a… et c’est parce qu’elle a cette bouche déséquilibrée qu’elle accepte de se faire battre sans sourciller car, si elle ne l’avait pas, elle ne se serait jamais trouvée dans cette situation ou elle aurait eu les ressources nécessaires pour en sortir.

‘’ La dentosophie est sans doute un grand pas vers la guérison de ce monde. Mais il y a bien des calamités qui pour moi dépassent l’entendement. ‘’

Une grande amie à moi (et le mot n’est pas assez fort), Gitta Mallasz (auteur de  « dialogues avec l’ange ») qui était un être éclairé, a dit un jour :
 » Tant qu’il y aura la guerre à l’intérieur (de nous) il y aura la guerre à l’extérieur. Nous sommes tous responsables de ce qui arrive sur la terre.
C’est en travaillant sur nos petites guerres intérieures que nous empêcheront, un jour, les guerres à l’extérieur. »

Vous m’avez demandé mon avis et voilà ce que j’en pense. Il n’y a, bien évidemment dans mes propos, aucun jugement de ma part car je suis, moi aussi, un humain déséquilibré qui cherche et qui tâtonne.

Je vous remercie de votre sincérité et de votre humilité car, il n’est pas simple, surtout pour un médecin, de se « livrer » comme vous l’avez faite.
Mon livre s’adresse à l’humain et je sais, qu’avec vous, il est en de bonnes mains.
Avec toute ma Sympathie
Michel Montaud

Elle

Bonjour monsieur Montaud,

Et merci avant tout pour votre considération et la sincérité de votre réponse.

J’ai accepté cette idée que ce qui m’arrive/ m’est arrivé n’est pas fortuit. J’en ai tiré les leçons et suis heureuse à ce jour d’entrevoir une voie pour réparer/corriger les erreurs du passé que j’ai subies enfant ou réalisées à l’âge adulte. Et de faire profiter mes enfants des leçons durement acquises.

Dans l’observation du fonctionnement familial (celui de mes parents et frère et soeurs) disharmonieux, j’ai acquis une compréhension du monde.
Par l’expérience de ce microcosme, j’en déduis une idée du macrocosme que représente le monde que nous construisons: NOUS les hommes et femmes depuis l’histoire de l’humanité.

Et c’est vrai, nous déployons des forces extraordinaires à essayer de transformer tout ce qui nous est extérieur au nom des plus nobles causes (la liberté, la démocratie, l’égalité, l’éradication des maladies) au moyen finalement de la force et de la contrainte.
Alors que si chacun se contentait de trouver son harmonie intérieure et se concentrait sur cette tâche, le désordre n’aurait sans doute plus place et il deviendrait inutile « d’abattre » un ennemi extérieur.

Je vous remercie de m’avoir permis cet échange et de m’avoir fait évoluer en l’espace de quelques jours vers une conscience plus claire.

Cordialement,

Patiente accompagnée par un ami dentosophe

J’ai commencé ma thérapie avec l’activateur pluri- fonctionnel le 24 novembre 2007, en ayant déjà fait auparavant une thérapie par hypnose. Je ne pouvais qu’imaginer les bienfaits de cette nouvelle étape déjà bien expliquée dans le livre « Nos dents, une porte vers la santé »
La première nuit, je n’ai eu aucun problème à supporter mon activateur, ce que je craignais.
Au fil des jours et des semaines, j’avais moins de douleur au dos, je me réveillais en pleine forme, je parlais plus clairement, mon activateur devenait mon médicament indispensable !!!!!
Le seul point négatif était le mal aux dents, aux gencives, à la mâchoire dès mon réveil pendant quelques minutes, le temps que tout se réveille et se replace.
Début janvier 2008, je prenais rendez-vous mon dentiste, afin de lui faire part de mon ressenti et de toutes ces belles choses que je vivais au quotidien.
Vers le 15 janvier 2008, j’ai ressenti des ondes négatives, un mal au dos persistant, une grande fatigue, un presque dégoût de l’activateur, je comprenais alors que tout mon corps rejetait un mal qui me ronge sûrement depuis mon enfance, je m’inquiète sans plus, attendant des jours meilleurs.
Je revois mon dentiste le 25 janvier qui comprend mon désarroi, me rassure et me propose de découvrir d’autres sensations par la pose de 2 cales pour rehausser ma bouche.
Le premier jour, mal à la langue et un peu aux dents, normal et je reprends confiance !!!!!
Toute la semaine qui a suivi, je n’ai eu que douleurs, vertiges, j’ai pris rendez vous chez un ostéopathe le 30 janvier qui m’a débloqué de toutes mes tensions.
Je n’ai pas encore perçu les bienfaits de mes cales.
Je dirais que je les supporte, je les porte quand j’en ai envie car elles m’assèchent la bouche, me font un peu zozoter, ce qui m’handicape surtout avec ma fonction à responsabilité.
Je n’ai aucune honte et j’assume complètement cette thérapie car elle ne peut être efficace que dans sa durée.
L’activateur fait partie intégrante de ma vie, il ne me quitte jamais et pour dormir, j’ai besoin de le mâchouiller avant de passer une nuit reposante.
Lors de ma rencontre avec le Docteur Michel Montaud le 27 avril 2008, j’ai eu l’impression de rencontrer un sage, un guide de la vie spirituelle, et il fût et sera le détonateur pour le reste de mon existence.
Les cales, mal réglées, me donnaient des tensions que j’avais du mal à supporter, l’erreur réparée, je les portais de plus en plus souvent et je sentais au fond de moi que j’étais prête pour la première remontée de mes dents du bas.
Ce fut le 7 juillet 2008, et quel parcours depuis tous ces mois où mes idéologies se transforment, mon corps change, mon psychisme se réveille.
Pendant une petite semaine, on peut dire que j’étais insupportable, je mangeais sans plaisir, sans goût, et j’avais du mal à retrouver toutes mes sensations.
J’ai vite compris que mon cerveau n’avait pas enregistré la nouvelle structure, ce qui fût fait rapidement.
Plus le temps passe, plus j’ai l’impression que mes dents du haut ne sont plus les miennes, mes gencives sont gonflées dues certainement à l’activateur, j’ai hâte que mes dents du haut soient remontées, j’en ressens le besoin, comme une explosion à l’intérieur de moi.
Nous sommes fin octobre et voilà que je me prépare à vivre ma deuxième remontée qui est prévu fin novembre 2008.
Nous sommes le 5 décembre 2008 et la seconde aventure prend son envol comme un oiseau qui recherche son nid, après 7h blottie dans un fauteuil sans la moindre douleur, me voila avec une nouvelle bouche, une sensation de hauteur, un visage ‘’lifté’’, le bonheur de pouvoir être en harmonie avec soi même.

Cette prise de conscience me donne la force d’associer mes pensées aux actes par des choix importants, un changement de travail après 25 ans de loyaux services dans une société gérée par le système actuel pour me consacrer à l’écoute et à la souffrance des autres par le biais de l’ostéopathie et bien d’autres choses.

Ce témoignage est le ressenti intime de mon âme, c’est la liberté de son choix qui s’exprime, c’est la spiritualité qui vous guette, c’est la foi qui se transforme, ce combat avec soi-même est extraordinaire et pour tous ceux qui ont des problèmes, qui sont prêts à connaître son « soi intérieur » je n’ai qu’un mot : FAITES LE

Moi

Bonsoir Madame
J’ai simplement une remarque à faire sur cette phrase :
« Lors de ma rencontre avec le Docteur Michel Montaud le 27 avril 2008, j’ai eu l’impression de rencontrer un sage, un guide de la vie spirituelle, et il fût et sera le détonateur pour le reste de mon existence. »
Cette phrase, ne serait-elle pas exagérée et le résultat d’un enthousiasme
débordant ou d’une euphorie passagère?
Je voudrais bien être un Sage mais je sais que je n’en suis pas (encore) un.
De plus je peux, éventuellement, avoir été pour vous un détonateur (on peut être détonateur sans être Sage) mais vous pouvez difficilement dire que cela le sera dans le futur ( « sera le détonateur pour le reste de mon existence ») car vous n’en savez encore rien.
Cette phrase est très gentille mais est totalement disproportionnée.
Tout ce que vous êtes en train d’accomplir, le mérite vous en revient à 100%.
Je n’y suis pour rien car j’ai rencontré des tas de gens à qui j’ai du dire la même chose que ce que je vous ai dit le 27 avril et ce n’est pas pour cela qu’ils se sont bougés dans leur vie.
Remerciez-vous, VOUS, des forces que vous êtes capable de développer pour mettre en place tous vos changement et ne me mettez pas à un endroit où je n’ai pas à être.
Avec toute ma sympathie
Michel Montaud

Elle

Bonjour,
Je vous dois quelques explications suite à votre mail.
En ce qui concerne, le mot sage que j’ai employé dans ce témoignage, il correspond à une vision de la vie différente de celle que je vivais à ce moment là, sans préjugé, sans jugement, avec une facilité d’analyse, un apport de solutions à toute situation.
Le mot « sage » est peut être fort mais il symbolise pour moi la journée du 27 avril et j’avoue que, depuis ce jour là, j’ai pris mon destin en main avec comme support l’activateur mais je pense que dans notre existence, on ne rencontre jamais les gens par hasard et un jour j’ai eu la chance de rencontrer mon dentiste qui avait la solution à mes problèmes enfouis en moi, puis j’ai eu l’honneur de vous rencontrer. J’ai observé, analysé chaque mot, chaque phrase dite et cette journée à été déterminante et à éveiller en moi un changement de comportement, d’opinion… Depuis, j’avance à grand pas ; mes idées sur la conception de la vie ont évolué ; j’ai compris que toutes nos douleurs et blocages guérissaient par l’acceptation et le pardon.
J’ai le seul mérite d’apprécier ce que j’entreprends mais je vous dois quand même une part infime du gâteau car vous avez été la flamme qui a permis de mettre en lumière la bougie de l’existence.
Je ne voulais pas me justifier mais vous le faire comprendre différemment.
Bien à vous

Patiente accompagnée par un ami dentosophe

J’aimerais partager mon expérience que je trouve incroyable!

J’ai failli me faire opérer de la mâchoire et extraire quelques dents… Mais j’ai trouvé mon véritable chemin vers la santé.
Cela fait 6 mois que je pratique la gouttière. Les résultats sont énormes!
Avant, j’avais la mâchoire du bas trop avancée, les dents du haut se frottaient avec les dents du bas; j’avais des claquements et douleurs articulaires à l’ouverture da la bouche; je faisais de l’apnée du sommeil.
Depuis je n’ai plus rien ; l’occlusion s’est harmonisée, et en plus, les dents se sont alignées, devenues lumineuses et blanches, les gencives très saines et roses!
Mes amis ne me reconnaissent pas et beaucoup sont motivés pour faire la même expérience.
Je connais déjà 5 personnes qui pratiquent la méthode et elles sont très contentes!

UN GRAND MERCI à Michel Montaud et la Dentosophie, qui est une véritable science de notre AVENIR, de nous tous!

Il y a quelques années j’ai fait une expérience humaine. J’ai reçu le mail ci-dessous et l’ai adressé à mes stagiaires de l’année.
Je vous livre la réponse de deux stagiaires.

METTRE DIEU DANS SA VIE

Après les différentes « farces » que l’on envoie pour rire, ceci est un peu différent. Cela n’a pas pour but de faire rire, ce n’est pas drôle, son but est de faire réfléchir.

La fille d’un prédicateur réputé aux USA a été interviewée dans un talk show télévisé et l’animatrice lui a demandé :
« Comment Dieu a pu laisser une telle horreur se produire ? » (les événements du 11 septembre 2001 à New York)

Cette jeune fille a donné une réponse aussi profonde que perspicace.

« Je crois que Dieu a été profondément attristé par tout ça, au moins autant que nous, mais depuis des années nous lui demandons de sortir de nos écoles, de sortir de nos gouvernements et de sortir de nos vies.
En tant que « gentleman » il s’est calmement retiré.
Comment pouvons-nous espérer que Dieu donnera sa bénédiction et sa protection si nous insistons pour qu’il nous laisse seuls ?

Concernant les récents événements, attaques terroristes, tueries dans les écoles, guerres etc… je crois que tout a commencé avec Madeleine Murray O’hare qui s’est plainte de ne plus vouloir de prières dans les écoles.
Nous avons dit oui.

Puis un autre a dit que nous devrions pas lire la bible à l’école, la même bible qui enseigne : « tu ne tueras point, tu ne voleras point et aime-toi toi-même. »
Et nous avons dit oui.

Ensuite le Dr benjamin Spock a dit que nous ne devrions pas taper nos enfants quand ils agissent mal car leur petite personnalité serait faussée et nous pourrions altérer leur estime personnelle. Le fils du même docteur s’est malheureusement suicidé.
Ils disent qu’un expert devrait savoir de quoi il parle peu importe ce qu’il nous dit…
Et nous avons dit oui.

Maintenant nous demandons pourquoi nos enfants n’ont pas de conscience, pourquoi ils ne font pas la différence entre le bien et le mal et pourquoi ils peuvent sans émotions tuer un étranger, un parent ou eux-mêmes.
Probablement qu’à force de profondes réflexions nous en viendrons à la conclusion que cela a à voir avec le principe de : récolter ce qu’on a semé.

C’est drôle de voir que nous pouvons envoyer des « jokes » par courrier qui se répandent comme un feu de paille mais lorsqu’on envoie des messages à propos de Dieu les gens y pensent à deux fois avant de le partager.
Est ce que vous riez ?
C’est drôle de voir que quand vous allez partager ce courriel, vous ne l’enverrez probablement pas à beaucoup de gens de votre carnet d’adresse parce que vous ne savez pas en quoi ils croient ou ce qu’ils penseront de vous.
C’est drôle de voir que nous nous préoccupons plus de ce que les gens pensent de nous que de ce que Dieu pense de nous.

Partagez ce message si vous croyez qu’il en vaut la peine, sinon, jetez-le.
Personne ne le saura ! Mais si vous jetez ce processus de réflexion, ne vous plaignez pas du mauvais état du monde dans lequel nous vivons.

PAIX

Témoignages suite à cet e-mail.

Premier stagiaire
J’attends le stage du mois de mars pour répondre, mais à priori je suis complètement réfractaire à ce type de discours. Je commence à m’ouvrir à l’anthroposophie mais je reste complètement fermé à la bondieusophie, mais je suis complètement d’accord avec le fond du message. A débattre. Bises à tous.

Deuxième stagiaire
Merci Michel,
Des courriels comme ça, on devrait en lire un chaque matin avant de se lever;
ça nous remettrait les pendules à l’heure pour mieux démarrer la journée.
Celui-ci, je n’ai pas fini de le transférer ; de toute façon ça fait un petit moment que mon entourage m’a cerné (ou tout l’inverse justement). Je suis déjà grillée alors,…
Encore merci Michel!!!
Bises

J’ai accompagné ce jeune homme.

Depuis l’âge de 20 ans environ, j’avais conscience de mon problème de mâchoire et une gêne au niveau de l’ATM (Articulation Temporo Mandibulaire) gauche qui s’est accentuée avec les années.
C’est à 28 ans que je prends le taureau par les cornes; je me sens de plus en plus mal dans ma bouche, avec des douleurs fréquentes et fortes.
Je vais voir plusieurs orthodontistes(3) et tous me disent qu’il faut : soit arracher des dents pour faire de la place, soit intervenir par une opération lourde et bien sur un traitement à bagues . Ce qui ne m’a pas rassuré, c’est qu’ils avaient tous un avis bien différent.
A l’époque j’étais mal dans ma peau et complexé ; l’idée de devoir subir un traitement lourd (de conséquences?) renforçait mon mal être, mais je n’avais guère de choix et je commençais à me préparer psychologiquement pour rencontrer le chirurgien sur Lyon afin qu’il m’explique son intervention.
Parallèlement, en jouant au foot avec des amis, je me blesse au talon.
La douleur persistante me pousse à aller consulter un ostéopathe. C’est à la fin de l’examen que je décide de lui expliquer mon problème à la mâchoire : il me donne le numéro de téléphone d’un dentiste pratiquant une méthode surprenante avec une tout autre approche.
C’est avec curiosité que je décide de prendre rendez-vous.
Je suis tout simplement conquis par cette méthode douce présentée sous le nom de dentosophie.
Le discours de Michel Montaud, ce jour-là, me parle viscéralement. J’ai la conviction que ce traitement est fait sur mesure pour moi.

Début du traitement le 18 octobre 2006 :

Je n’ai jamais réussi intellectuellement à passer le cap du complexe physique même avec l’aide d’un psy et des efforts permanents; la relation avec mon corps m’était pénible et problématique (depuis mon adolescence) ; c’est comme si je ne voulais pas l’accepter dans sa totalité. Je ne savais pas pourquoi.
Je trouvais ça ridicule mais pourtant c’était toujours en moi.

Dès le début du traitement, j’accepte volontiers l’activateur et je le garde vite la nuit.
Je fais mes exercices tous les jours, 2 fois 20 mn.
Au bout de 4 mois de traitement, je constate (avec méfiance au début) la disparition de mon complexe physique que je traîne depuis l’adolescence et qui était omniprésent.
Ce qui est encore plus étonnant, c’est que cela s’est passé dans la discrétion et la douceur totale sans aucun effort mental. (Je mâche à l’époque l’activateur d’abord et uniquement pour me soigner les dents).
Je ne peux que constater l’avant et l’après.

Aujourd’hui, après presque 2 ans et demi de dentosophie et d’exercices, je suis très bien avec mon corps : on ne fait qu’un et tout ça c’est… oublié !
J’aime toujours faire ces exercices de respiration et c’est au jour le jour que je trouve l’énergie pour continuer : c’est un moment à moi ; un temps où je me retrouve.

J’ai une adorable fille de 10 mois qui est arrivée au monde très rapidement et par hasard.
Sa mère et moi, nous nous sommes séparés, il y a plus de 2 mois.
La vie continue de me surprendre et elle se passe bien. Je suis très lié avec la maman de ma fille et c’est réciproque; nous sommes dans un profond respect mutuel. Nous mangeons ensemble de temps à autre; nous partageons encore des activités communes et la principale est concentrée dans l’éducation de notre beauté.
Je suis très heureux d’avoir eu cet enfant avec elle.

Je me dirige aujourd’hui vers un choix artistique.
Je mets des actes et de l’énergie à mes inspirations ; je passe enfin à l’action (autrefois c’était trop difficile)…

Petit à petit j’avance, je prends le temps qu’il faut et, même si le monde est imparfait (comme moi), je trouve un sens véritable et plus juste dans ce que je vis aujourd’hui.

J’ai accompagné cette jeune femme.

Témoignage après 2 ans de traitement
J’ai rencontré la dentosophie dans un parcours personnel de recherche d’une dimension plus humaine de la médecine.
Je dois quand même admettre, qu’au début du traitement, je recherchais surtout des résultats visibles dans mon aspect buccal extérieur. En effet, je cherchais à rationaliser l’utilisation de l’activateur : je DEVAIS faire les exercices pour VOIR les résultats.

Après une consultation avec mon praticien j’ai compris que seulement un changement de mon fonctionnement pouvait changer mon bien-être. Mon rapport avec l’activateur a donc été transformé car j’ai commencé à exprimer mes sentiments et mes désirs.
J’ai découvert la difficulté d’accepter toutes mes sensations que la vie offre même celles négatives comme la colère, la frustration, l’anxiété et la vengeance.
Dans le passé, au contraire, j’utilisais un système « économique » : je subissais pour ne pas avoir de discussions ! Maintenant, j’attends le bon moment pour dire ce que je pense mais je sais aussi que je ne peux pas changer le monde entier.
La dernière phase à laquelle je suis arrivée c’est que maintenant j’ai une écoute de mes propres ressentis, de mon corps, de mes désirs, des relations.
Maintenant j’ai ENVIE de travailler avec l’activateur.
Cette envie m’est venue à la suite d’une expérience après une séance avec l’activateur. Pour la première fois j’ai eu une vraie sensation de global bien-être ; j’ai ressenti mon corps se transformer, j’ai écouté mes os craquer et, à la fin, j’ai eu un véritable soulagement.

Patiente accompagnée par une amie dentosophe

Ce qui est clair, c’est que voir ma bouche de plus en plus belle me remue beaucoup.
Je ne sais pas si quelqu’un peut imaginer l’émotion que je ressens lorsque je sens que ma bouche se ferme presque normalement sans que mes incisives supérieures ne mangent la moitié de ma lèvre inférieure.
Je ne pensais pas qu’une telle renaissance serait possible un jour et je me rends compte à quel point j’ai pu souffrir de ce déséquilibre.
Je me suis fait un magnifique cadeau avec ce traitement mais il faut certainement digérer tout ça.
Ce travail me renvoie aussi au manque d’intérêt que mes parents ont pu avoir pour moi alors que j’étais petite fille.
Ces dents de travers les ont toujours beaucoup amusées… Moi non.

J’ai accompagné cette personne.
Son témoignage peut paraître long mais je l’ai laissé dans son intégralité car il est précis et met en évidence les non-dits, enfouis au plus profond de nous, qui se transforment en traumatismes et ‘’mal à dits’’.

SITUATION AVANT LE PORT DE L’ACTIVATEUR
Je souffre de problèmes digestifs et de fatigue chroniques depuis l’enfance. A noter également une sensibilité très vive qui n’est peut être pas étrangère à ces problèmes qui ont pris une intensité particulière au fil du temps notamment à la suite de trois épisodes marquants suivant :
1/ 1983 : Péritonite appendiculaire

2/ 2002 : Infection dentaire récurrente ( déclenchée, semble t-il, par un bris d’instrument dentaire resté coincé dans un coude de racine; bris que l’on a finalement pas pu extraire d’où un arrachage de la dent au bout d’un an ).
– entre-temps, la prise de plusieurs traitements antibiotiques a entrainé une candidose intestinale chronique assortie de diverses intolérances (gluten, lactose, sucres, viande etc ), début d’ostéoporose, déminéralisation, perte de 12 kg en quelques mois etc…
– Cette situation a entraîné un épuisement physique tel que j’ai, par la force des choses, à la suite d’un arrêt de travail de 3 mois, perdu pied petit à petit sur le plan professionnel. Je n’avais plus l’énergie nécessaire pour assumer les responsabilités qui m’incombaient.
Je fais depuis lors l’apprentissage d’une « placardisation » de fait d’autant plus douloureuse que j’avais eu jusque là une vie professionnelle réussie;

– Au terme d’un arrêt de travail de trois mois, une médecin de la Sécurité Sociale en vint même, au cours d’une visite de contrôle en 2004, à s’opposer à ce que je reprenne mon travail à plein temps, exigeant que je lui communique les coordonnées du médecin du travail de mon entreprise afin de l’informer qu’elle me décrétait manu militari en mi temps thérapeutique pendant 6 mois .( ! )
Cela au motif que, selon elle, je ne prenais pas assez « soin de moi » ( sic) .
«  Madame, votre santé est en jeu , vous êtes trop maigre , vous travaillez trop  » , «  je commence à en avoir assez des Services Marketing, ils sont remplis de gens surmenés qui ne s’en rendent même pas compte » etc .
C’était le monde à l’envers. Comment décrire mon effarement en sortant de cet entretien insolite et mon angoisse pour la suite sur le plan professionnel (je pressentais que cette décision allait me faire perdre la direction de mon service) .
Ne parlons pas de la surprise du médecin du travail lorsqu’il me relata sa conversation téléphonique avec la Sécurité Sociale. La Sécu ne l’avait pas spécialement accoutumé à ce type d’orientation ;

– Docile et surtout déterminée à me rétablir rapidement, j’ai fini par admettre l’hypothèse d’une dépression inconsciente et ai même pris les antidépresseurs + anxiolytiques que l’on m’avait prescrit. Au bout d’un mois, j’ai pris la décision de tout arrêter en raison d’accès de tachycardie survenus concomitamment à la prise de ces médicaments. Et puis je n’étais pas convaincue de l’utilité des anti dépresseurs dans mon cas.

3/ Janvier 2010 : Nouveau problème dentaire via le dépôt d’un vieil amalgame datant de 1970. Mon dentiste avait par ailleurs diagnostiqué une mal-occlusion liée à l’absence de la dernière molaire supérieure gauche (arrachée en 2003 pour les raisons précitées) Il s’agissait donc également, selon elle, « de redresser la mal-occlusion » en comblant l’absence de cette molaire par une dent sur pivot.
Je n’ai pas donné suite à cette recommandation car ma santé s’était encore détériorée

– Suite à la dépose de l’amalgame, j’ai en effet souffert pendant deux mois de brûlures affreuses dans la bouche (gencives, lèvres et langue), de crampes très douloureuses au ventre et d’insomnies épuisantes consécutives à ces douleurs et brûlures.
Une analyse d’urine a mis en évidence des taux anormaux de mercure, d’arsenic et de nickel ; ce nouvel épisode dentaire a été suivi d’une nouvelle dégradation de mon état général avec les symptômes suivant : fortes tachycardies (notamment après les repas), crampes et ballonnements quasi permanents, apparition d’un d’acouphène à l ‘oreille gauche, tension très basse, détérioration de mon sommeil avec insomnies répétées .. J’étais d’autant plus désemparée que c’est dans un sommeil structurellement de bonne qualité que j’avais trouvé depuis l’enfance le fondement de mon équilibre à la fois physique et nerveux .

– A noter que les multiples examens, radios, écographies etc effectués entre 2002 et mars 2010 n’ont rien donné. Seules les analyses de sang indiquent depuis 2003 un niveau faible des globules blancs (défenses immunitaires) et une déminéralisation très prononcée ;

Pour conclure :

Le diagnostic des « hommes et femmes de l’Art », qu’il s’agisse de mon médecin traitant et les différents praticiens rencontrés au fil des années, a toujours été peu ou prou le même : épuisement et surmenage professionnel, dépression « rentrée » ..

– De mon côté, je ne me sentais ni spécialement « dépressive » ni particulièrement « surmenée ». Découragée, oui, sûrement ; et même souvent, mais pendant de courtes périodes. Dépressive, non, vraiment je ne crois pas ; peut être est ce parce que j’aime la vie, même si mon corps est épuisé.
Et puis, en dépit de toutes ces déconvenues de santé et de ces orages digestifs, j’avais conservé (sauf en période de crise) un bon appétit. Ce qui n’est pas un indice caractéristique de la dépression.

– Le conseil que j’ai reçu le plus souvent :
« changez de vie », ou bien aussi « faites une psychothérapie » .

– Toutes ces péripéties de santé ont été une belle opportunité d’expérimenter différentes solutions de médecine douce et naturelle qui m’étaient étrangères (naturopathie, homéopathie, bains dérivatifs, alimentation biologique etc ).
Cela étant, leurs bienfaits (pour certains qu’ils aient été) ont toujours eu une portée limitée, surtout dans la durée.

– En revanche, ces épreuves ont certainement été une chance ou pour mieux dire une grâce, sur un plan plus fondamental de développement intérieur.

MON RETOUR D’EXPÉRIENCE AVEC LA DENTOSOPHIE (7mois)

C’est dans ce contexte et cet état d’esprit que j’ai découvert le livre de
Mr MONTAUD, un après midi d’avril 2010.
Après avoir lu l’ouvrage, une première fois, j’ai eu l’intuition d’une démarche loyale et audacieuse dans sa simplicité.

– Le 15 Avril, j’ai adressé un mail à Mr Montaud pour lui exposer ma situation. Dès réception de sa réponse, j’ai appelé son cabinet et pris RV.

– Le 19 Mai, j’ai rencontré Mr Montaud. Entre temps, j’avais relu son livre deux fois; — le 16 juin, au terme de notre second entretien, je suis repartie avec l’activateur que j’ai expérimenté le soir même en arrivant à Paris.

La première chose que j’ai constatée est une amélioration aussi inattendue que spectaculaire de la qualité de mon sommeil. Cette amélioration est intervenue de manière quasi instantanée, en quelques jours. J’ai retrouvé le sommeil profond et dense que j’avais lorsque j’étais jeune. J’avais oublié que l’on pouvait dormir aussi bien ; Depuis le 16 juin, je n’ai connu qu’une seule nuit d’insomnie ; les douleurs abdominales ont cessé d’être une cause de privation de sommeil.
En cas de douleur, j’ai constaté qu’en mâchant aussi sereinement que possible l’activateur, je parviens à me rendormir. Compte tenu de l’importance du sommeil dans mon équilibre général, c’est un progrès et un bien être que je savoure chaque jour.

Le second point constaté est une amélioration sensible du rythme cardiaque. J’ai moins de crises de tachycardie, même après les repas.

La troisième chose est que je me sens moins fatiguée, plus résistante. En effet, depuis la mi novembre, les désordres digestifs semblent s’espacer peu à peu ; je me suis permise à Noël des petits écarts alimentaires qui ont été globalement bien tolérés ; j’ai aussi moins de ballonnements et de douleurs abdominales ; j’ai noté aussi que je n’ai plus mauvaise haleine au réveil.

– A noter un épisode amusant : suite à une infection de la main après un accident ménager en novembre dernier, j’ai suivi un traitement antibiotique pendant 10 jours sans le moindre désordre digestif.

Je porte cet activateur régulièrement et sans difficulté chaque nuit pendant 8 heures environ. J’ai dû le perdre en dormant deux ou trois fois seulement en sept mois. Pendant la journée, je le porte à nouveau 2 heures en moyenne de manière inactive, et également de manière active lors de deux séances par jour, de détente d’une demi heure chacune, que je ressens comme étant très bienfaisantes .

– Avec ces améliorations de mon état général, mon moral est évidemment meilleur.
– Je me sens par ailleurs plus régulière, plus constante dans l’effort quel qu’il soit, plus sereine, plus dans le présent alors que j’étais constamment enfouie dans le passé ; peut être moins émotive aussi ;
– Je note aussi des progrès en musique (chant et piano), tout particulièrement en rythme où j’ai toujours eu d’énormes problèmes.

Voilà le bilan de ce premier point d’étape au bout de sept mois. Les acquis me confortent à persévérer ; d’autant qu’ils arrivent à un moment crucial où je souhaite donner un nouveau sens à ma vie

A suivre !

Objet / Retour d’expérience concernant le port de l’activateur / 2) étape

Evolution du contexte général :

J’ai finalement trouvé le courage d’entamer un processus de réconciliation avec ma fille ainée.
Les dernières semaines ont donc été marquées par de grands désordres sur le plan digestif résultant des grands bouleversements intérieurs que je vis en ce moment.
Sur le chemin, j’ai pris conscience qu’il y avait un préalable incontournable : à savoir me réconcilier avec moi même . J’ai réalisé que retrouver ma place auprès de ma fille, et par extension au sein et à l’extérieur de la famille, impliquait nécessairement d’accepter pour la première fois depuis plus de quarante ans :
– de revenir sur mon passé dont elle était une des conséquences,
– de réfléchir sur les faits et leur enchaînement,
– et de les analyser aussi rationnellement que possible.
En m’efforçant de laisser de côté, le temps de ce face à face, les souffrances et les peurs, une culpabilité dévorante et un puissant sentiment d’infériorité sur le plan affectif depuis l’âge de 16 ans.

Résultats observés sur le plan santé :
Pas de progrès de ce côté là en raison du contexte.
En dépit de fortes turbulences digestives récurrentes depuis plusieurs semaines (concomitantes à ma prise de décision de passer à l’action), je n’ai souffert que de deux insomnies et suis parvenue à dormir le reste du temps. Ce qui est primordial pour mon équilibre. La qualité du sommeil est beaucoup moins bonne que pendant la première période mais j’en comprends les raisons et prends les choses sereinement.
Pour résumer, je dirais que les acquis (sommeil et énergie) de la première période sont globalement préservés et « résistent » aussi bien que possible à la pression des événements .

Résultats observés sur le plan psychique :
Des progrès très significatifs pendant cette période. C’est dans ce domaine que le soutien de l’activateur est le plus flagrant. C’est presque le miroir inversé de la première période. En plus accentué et cette fois en faveur de la part psychique.
Curieusement, tout se passe comme si les choses se pacifiaient plus rapidement sur le plan moral et psychique et que le corps renâclait et restait à la traîne.
De manière inattendue, j’ai vécu l’écriture de cette lettre différemment de ce que j’avais imaginé. J’ai gardé pendant ces moments là l’activateur en permanence dans la bouche, ce qui m’a beaucoup aidé à me rasséréner et me concentrer.
Dès lors que j’ai commencé à écrire, un immense soulagement a commencé a m’envahir. Et lorsque enfin j’ai posté cette lettre hier, j’ai éprouvé un sentiment ineffable de légèreté et de liberté vis à vis de moi même et du reste du monde. Rien de plus. Ni fierté ni joie particulière, juste comme si les choses étaient en ordre tout simplement. En Italie, pour dire tout va bien, on dit joliment « tutto a posto » soit littéralement « tout est à sa place » ..
Quelque soit la réaction de ma fille et la décision qu’elle prendra, je sais que d’une certaine manière j’ai déjà retrouvé ma place. Au moins à mes propres yeux ce qui n’est pas si mal. J’attends donc la suite avec confiance ;

Régularité du port de l’activateur :
JOUR : Comme je vous l’ai dit lors de notre dernier entretien au mois de mai, j’ai beaucoup manqué d’assiduité dans ma pratique de l’activateur pendant la journée sur le mode de relaxation. Je m’efforce de reprendre au moins une fois par jour. D’autant que cela m’est très bénéfique ; par contre, je le porte deux bonnes heures par jour de manière passive, c’est à dire en vaquant à diverses occupations domestiques ou pour jouer du piano. (Cf également l’écriture de la lettre.)
NUIT : En revanche, je le porte chaque nuit sans exception. Il m’est tout simplement indispensable ;

Conclusion au terme de cette seconde étape de 6mois

La rédaction de cette lettre et le travail sur moi même qui l’a précédé sont le temps fort de cette étape. Cela m’a épuisée physiquement mais tout s’est passé dans des conditions psychologiques paradoxalement exemplaires eu égard au sujet traité.
A suivre ..

Objet / Retour d’expérience concernant le port de l’activateur / 3ème étape

Bonjour Monsieur,
Veuillez excuser le retard avec lequel je vous envoie ce troisième point d’étape ; les évènements que je traverse en ce moment sont à la mesure de la métamorphose que je vis sur tous les plans sans exception depuis juin 2010.

1/ Etat du contexte :
Il ne s’agit pas d’une révolution (tant il est vrai que je n’ai aucune intention de revenir à mon point de départ !) mais bien d’une transformation profonde qui impacte mon existence à tous les niveaux. Une remise en cause totale de ma vie relationnelle au travers d’un repositionnement familial et professionnel, les deux étant la conséquence directe d’un repositionnement intérieur ;
C’est donc une période d’intense effervescence : d’abord une lutte interne constante avec de vieux réflexes émotionnels parasites qui renâclent à abandonner la partie ; et aussi le chemin persévérant pour retrouver une juste place au sein de ma famille après tant d’années d’abdication douloureuse et silencieuse ; j’ai l’impression de vivre l’expérience d’un soldat porté disparu pendant de nombreuses années et dont la seule existence vient bouleverser le nouvel ordre établi en son absence ;
En conclusion à ce stade : le contexte extérieur par rapport au dernier point d’étape de juin dernier s’est plutôt radicalisé et aggravé. Si l’on s’en tient à l’ordre visible des choses, toutes les démarches engagées se sont soldées par des échecs répétés. Elles ont pourtant toutes été inspirées par un désir profond d’harmonie et d’amour.
Ce qui est saisissant, c’est le décalage avec les progrès ressentis dans le même temps au plan intérieur.
Il y a 18 mois, c’est à dire avant le port de l’activateur, j’aurais vécu ces échecs comme autant de blessures qui m’auraient anéantie ;
Je vis en effet paradoxalement ces échecs apparents avec une sorte de tranquillité apaisée et les considère comme une illusion momentanée.
L’essentiel est que je suis enfin sortie d’un état de passivité douloureuse qui a duré quarante ans ; c’est merveilleux de sentir grandir en soi la force d’agir ; et de le faire avec le plus de discernement possible au plan émotionnel ; j’avance donc désormais même si à petits pas et au jour le jour, avec confiance. En revenant de moins en moins sur le passé et en restant souplement ouverte aux développements positifs à venir ;

2/ Situation au plan santé :
De gros progrès par rapport au point d’étape de juin dernier. De bonnes choses ont été consolidées :
1/ Sommeil profond et paisible est devenu l’ordinaire. C’est un bienfait que j’apprécie et savoure presque quotidiennement avec reconnaissance. A noter la manifestation de rêves qui se multiplient depuis plusieurs semaines et qui sont l’illustration parfaite ( rêvée ! ) de l’harmonie familiale à laquelle j’aspire … C’est très curieux, car le ressenti dans ces rêves est d’une telle intensité radieuse que j’en ressens les bienfaits prolongés bien après mon réveil. Et pourtant, je vis une réalité pourtant aux antipodes de ces rêves.

2/ Digestion : beaucoup mieux à tous égards ; moins de spasmes, moins de crampes , des crises de plus en plus espacées ; quasi disparition de maux de tête (qui étaient toujours liées aux désordres intestinaux). Déclarée très intolérante au gluten, au lactose et au sucre après examens médicaux en 2003, je recommence à manger des pâtes et un peu de pain (avec joie!). L’intolérance au gluten est en train de se résorber. Seuls le sucre et les laitages résistent encore.
Je n’ai pas encore repris tous les kilos qui me manquent mais suis très confiante pour la suite.

3/ Energie, dynamisme : tout va de mieux en mieux ; sans comparaison avec «  avant » . Suis beaucoup moins et moins souvent fatiguée.

4/ Moral, optimisme : sans comparaison avec « avant ». Pour la simple raison que j’ai la conviction d’avancer, indépendamment du résultat et en dépit des obstacles.
Ces bienfaits (sommeil, digestion ; énergie) me rendent émotionnellement plus résistante et solide ;

5/ Port de l’activateur : je porte l’activateur toutes les nuits sans aucune exception ; je suis beaucoup plus régulière avec le port «  de jour » depuis quelques mois ; à raison de deux à trois fois par jour (durée : une demi heure à chaque séance) .
Je reconnais que c’est extrêmement régénérateur. Je parviens (en tous cas il me semble ) à un « lâcher prise » rapide ( 5/10 min environ) et à un état de relaxation profond tout en restant consciente . Après les séances, je me sens recentrée et paisible ce qui m’encourage à une régularité persévérante. En général, je fais un peu de musique (piano ou chant ) après ces séances de relaxation ;
J’ai noté avec le retour d’expérience que c’est à l’expire que le serrement de la mâchoire sur l’activateur est le plus efficace en terme de relaxation profonde. Par ailleurs, plus le serrement de la mâchoire sur l’activateur est léger et subtil, plus la respiration devient paisible, le battement du cœur régulier et la relaxation profonde ;

Pour conclure, j’expérimente au jour le jour l’intimité profonde qui relie le corps à l’esprit.
Voilà l’état du « chantier » à ce jour.

J’ai accompagné cette personne.

Après la lecture du livre de M. Michel MONTAUD, j’étais fort intéressé d’utiliser l’activateur, car j’ai une supraclusion importante, et de plus je suis atteint de ronchopathie, et je fais des apnées du sommeil chaque nuit, ce qui fait que je me lève le matin plus fatigué que je me suis couché le soir.
Ma compagne a eu l’occasion de constater que lors de ces apnées le corps était comme paniqué, pris de soubresauts à la fin de ces apnées.

Lors de la deuxième visite, le mardi 16 février 2011, M. Michel MONTAUD m’a remis un activateur plurifonctionnel, en m’expliquant son mode d’utilisation. Le soir même j’ai porté l’activateur, et là, oh ! Surprise, pour ma compagne, disparition des ronflements, et des apnées du sommeil, ce qui fait que dès le lendemain matin au réveil je me sentais en forme.
Je continue à porter l’activateur la nuit, et à l’utiliser le jour, et aujourd’hui mardi 21 juin 2011, ma compagne me confirme que je ne ronfle plus du tout, que je ne fais plus d’apnées du sommeil, et que le sommeil est calme et le corps paisible.

Compte tenu de ces résultats spectaculaires, je tiens à faire ce témoignage, pour qu’il puisse inspirer des personnes atteintes de ces pathologies, à tenter l’expérience.
Je peux aussi ajouter qu’avec ce sommeil calme, je fais chaque jour une quantité de rêves importante, et très souvent, fort symboliques, qui m’éclairent sur mon chemin de vie.

Tous mes remerciements à M. Michel MONTAUD pour son livre, qui m’a inspiré à utiliser l’activateur, et m’a ainsi permis de transformer…mes nuits.

J’ai accompagné cette personne.

J’étais consciente depuis des années que je n’allais pas bien. Des difficultés professionnelles et des difficultés relationnelles avec mon fils m’incitèrent à entreprendre une démarche thérapeutique.
Pendant une année, j’ai pratiqué une thérapie sous hypnose.
Dès le début, au bout de quelques séances, j’ai fait une crise d’angoisse très importante. J’ai cependant continué les séances jusqu’à une autre crise, un an après la première.
La nuit qui a suivi, je me suis réveillée en proie à une douleur indescriptible, à la fois physique et morale. A ce moment -là, la seule façon pour moi d’y mettre fin était de me supprimer. Je suis donc allée à la salle de bains dans un état second et j’ai commencé à me taillader les bras et à avaler tout ce qui était à ma portée.
Mon mari s’est alors réveillé, a appelé mon médecin traitant.
J’ai ensuite été hospitalisée en clinique psychiatrique pendant 2 mois. Après une cure de sommeil de 12 jours, je prenais des médicaments et j’avais un entretien quotidien avec un psychiatre. Durant les longues heures d’oisiveté, je fumais beaucoup et j’éteignais les mégots en les écrasant sur mes bras.
Au bout de 2 mois, contre l’avis du psychiatre mais au vu du peu d’amélioration de mon état, mon mari m’a fait sortir de cette clinique et 1 mois après, je reprenais tant bien que mal mon travail.
Les mois qui ont suivi ont été très difficiles car, si l’état de crise était passé, le mal-être était toujours là.
Cette expérience m’avait au moins appris à décrypter les symptômes dans mon comportement qui m’invitaient à réagir.
Cinq ans après, je me suis sentie assez « reconstruite » et en même temps consciente de ce mal-être qui persistait pour entreprendre une démarche psycho-générationnelle.
Durant un an, j’ai vu un thérapeute qui m’a aidée notamment en me proposant des exercices pratiques se traduisant par des actes.
Par exemple : choisir 5 personnes avec qui j’avais ou non de bonnes relations, aller les voir avec un petit cadeau, leur exprimer ma gratitude pour ce qu’elles m’avaient apporté (y compris si nous avions eu un différend) , ou bien construire un petit autel avec des figurines représentant mes parents, grands-parents et aller le regarder plusieurs fois par jour, ou encore écrire à mon père tout ce que je n’avais pas pu lui dire avant sa mort et dire à ma mère que je l’aimais et que je la remerciais de m’avoir donné la vie.
Tout cela était difficile mais je sentais que le fait d’être actrice concrètement inscrivait du mieux.
Quelques années après, j’ai intégré une association de développement spirituel et depuis 2 ans, je pratique la dentosophie.
Je suis beaucoup moins angoissée, moins dépendante du regard des autres. Donner un sens à sa vie est devenu une réalité et non plus une théorie intellectuelle.
La psycho-généalogie puis la dentososphie m’ont bien fait comprendre que nous sommes acteurs de notre vie, de notre santé sur tous les plans.
Toutes ces démarches ont été entreprises avec, bien sûr, l’idée d’aller mieux, de moins souffrir. Mais au-delà de « ma petite personne », je les ai faites aussi pour mes enfants et, encore au-delà, pour amener du positif à l’humanité autant que possible.

J’ai accompagné cette personne.

Bonjour
Ce message pour vous dire comment je vais depuis le début du traitement en dentosophie. 
Les effets sont assez spectaculaires sur différents plans. Cela ne fait que 6 mois que je mâche l’activateur.
Avant de démarrer le traitement, j’étais une personne très anxieuse, tout le temps en train de penser à l’instant d’après, à craindre le pire… Particulièrement épuisant… !
Nous sommes maintenant en aout, et je suis étonnamment calme, le petit vélo mental a cessé et même s’il y a des situations stressantes, je ne m’inquiète pas, je m’en moque littéralement.
Je pratique l’ostéopathie biodynamique et même mes patients ont noté la différence : ils sentent désormais ce qui se passe dans leur corps pendant la séance, les sensations sont nettes, profondes, en corrélation avec se qui se passe sous mes mains, et de plus en plus de personnes sortent du cabinet en étant déjà mieux alors que d’habitude cela mettait 3 jours pour que le mieux-être se mette en place.
Donc, vivement la suite car cela est vraiment efficace sur moi.
Merci beaucoup.
A bientot

J’ai accompagné cette personne.

Bonjour, je m’appelle Aurélie, j’ai 34 ans.
Je tiens à faire ce témoignage car la rencontre avec Michel Montaud à changer beaucoup de choses dans ma vie…

« Je constate avec frayeur que mes dents ont énormément bougé… Ma béance majeure et mon asymétrie, diagnostiquées par les chirurgiens et les orthodontistes, se prononcent d’avantage et les difficultés pour manger et mastiquer s’aggravent… Mon comportement s’en ressent aussi tellement mes dents m’inquiètent…
D’après les chirurgiens et les orthodontistes, il faudrait m’enlever 4 dents, puis porter un appareil dentaire pendant 2 ans suivi d’une intervention chirurgicale maxillo-faciale, elle-même suivie du port d’un appareil dentaire pendant environs 6 mois…. Pour être franche, cela me fait très peur… Je ne connais pas les conséquences d’une telle intervention et nul ne sait me donner les réponses à mes questions (la place de la langue, les douleurs, …..). Je prends donc mon temps pour réfléchir car le doute m’envahit. Finalement, ma réflexion s’oriente vers la DENTOSOPHIE, pratique dont j’ignorais totalement l’existence.
Lors de ma première consultation avec Michel Montaud, mon mari m’accompagne et nous avouons être « bluffés » (excusez-moi l’expression) par ses propos…
En effet, Michel Montaud a su me décrire avec perfection sans même me connaître ,ni m’avoir déjà vu !!! J’en reste sans mot tellement une bouche vous dévoile tous ses maux….enfouis dans votre corps…A travers ma bouche et mes dents, il m’a ouvert les yeux sur de multiples vérités.
Aujourd’hui, à J+9 mois, le résultat est spectaculaire ; mais finalement, le plus spectaculaire est surtout dans ma façon d’être aujourd’hui. Sincèrement plus objective, plus sûre de moi, plus réaliste face au monde qui m’entoure, je vous assure que la pratique de la dentosophie devrait être utilisée par tout le monde.
Une prise de conscience de soi est peut-être difficile à accepter mais réellement nécessaire pour avancer…..et faire bouger ses dents !!!!!
Je ne peux qu’être fière de moi d’avoir fait ce choix et dire MERCI.
Cordialement avec tout le respect que je vous dois ».

J’ai accompagné cette personne.

Il me semble avoir lâché prise avec le passé et me demander d’y revenir pour pointer les étapes de mon « histoire » depuis mon entrée en dentosophie, m’a amenée à relire des exercices d’observations de moi dans les 3 centres (physique, émotionnel et intellectuel), que j’ai rédigés pendant plus de 2 ans, à l’occasion de situations de la vie ordinaire.
J’y ai redécouvert une personne remplie d’illusions sur elle-même et le monde, persuadée d’avoir raison dans un grand nombre de circonstances, rigide, exprimant des exigences incessantes, égocentrée, perpétuellement en colère, dans la fermeture, le refus, la fuite, le besoin de reconnaissance et d’approbation, et donc parfaitement infantile malgré plus d’1/2 siècle d’existence. Rien d’extraordinaire, finalement, et tout à fait humain…
L’incisive de gauche de la mâchoire supérieure était vraiment proéminente, je trouvais cela très laid et j’évitais de sourire trop largement. Depuis un certain temps, elle a pratiquement réintégré le plan de sa voisine. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à avoir vu son implantation se transformer, j’ai pu m’en apercevoir sur une photo récente où je ne me « reconnaissais » pas vraiment.

Par rapport à vous, Michel Montaud, je désire noter qu’après vous avoir copieusement insulté et méprisé intérieurement à la suite de notre 1er RV, j’ai assez vite appris à reconnaître ce que vous m’apportiez comme soutien et reconnaissance. Je pense que j’attendais de vous comme un rôle de père, la 1ère année nous discutions beaucoup et confrontions des opinions parfois opposées. Progressivement, j’ai commencé à vous écouter, ou pas, mais je savais que ressortirait un élément qui me serait vraiment utile. Le jeu avec Martine F, au retour, était de trouver et s’échanger ce quelque chose qui nourrirait la suite du travail. Jusqu’en juin 2011.
A mon RV suivant, ceci n’avait plus lieu d’être, depuis une semaine, une phrase s’était imposée à moi, « reliée mais pas attachée ! » et elle convenait à beaucoup de situations et de relations dans ma vie. Comme si quelque chose en moi prenait son envol ou un nouveau départ.

Mais pour en arriver à ce stade, je suis passée par quelques chocs conscients. Un accident d’abord, qui m’a laissée sans voiture et avec 2 côtes cassées. Je crois que je n’acceptais pas la réalité telle qu’elle était et, en dormant, j’ai foncé dedans. J’ai commencé à mieux percevoir toutes les « belles » qualités mentionnées plus haut. Mais, incapable d’y faire face, je me suis fâchée (mais pas durablement) avec toute ma famille plus quelques autres au mariage de mon fils une semaine plus tard. Pourtant, le processus de transformation était enclenché, avec une suite d’acceptations et de lâchers prise réels aux situations extérieures, mais également intérieures.
Jusqu’au décès de mon frère : nous étions au restaurant, il s’est affaissé ; j’ai tout de suite su qu’il était mort et que les secours ne pourraient pas le réanimer. J’étais consciente de tout ce qui se passait autour de moi et en moi, émotions et sentiments, pensées et sensations physiques. J’ai fait face à tout ce qui a suivi, pratiquement seule, avec calme et efficacité et je ne savais pas que j’en serais capable.

Pour ce qui concerne le travail de dentosophie, au début je mastiquais l’activateur avec une espèce de rage, violence, force, acharnement, comme un désir de destruction : je n’étais que dans les dents, je n’étais que mes dents.
J’ai fini par rechercher et trouver la détente dans la pratique, comprenant que la présence et la conscience à la fois dans la tension et le relâchement étaient importantes puisque ces 2 phases concourent à une harmonie et un équilibre. Actuellement, je me concentre plutôt sur la détente dans tout le corps.

Je terminerai en nuançant le tableau du début : 2 ans ½ plus tard, le lâcher prise et l’acceptation de ce qui est, des autres et de moi-même, dans une forme de respect, de douceur et de joie, se manifeste davantage.
Quelque chose en moi est plus droit et plus fort, en route vers l’autonomie et plus d’assurance. Et ceci est le résultat de la dentosophie conjointement à la pratique d’un véritable chemin spirituel.
Je sais aussi que je n’en suis qu’au commencement, les quelques résultats obtenus ne peuvent masquer la nécessité de persévérer dans l’approfondissement de ce travail qui est finalement le but de la vie, ou du moins de la mienne.

J’ai accompagné cette personne.

Bonjour Michel,

Avant de rencontrer la dentosophie je cherchais quelque chose comme une âme qui sait qu’elle doit trouver un truc et que ce truc est dedans elle, mais je ne savais pas comment y accéder (même si avec le yoga et la méditation j’avais déjà eu accès a ça. Mais cela était éphémère et très court dans le temps).

J’ai commencé avec l’activateur il y a 1 an et demi. Mais ces derniers 6 mois ont été le vrai changement.
J’ai l’impression d’avoir plus progressé dans moi-même en 6 mois que dans toutes les 25 années de ma vie précédente.

Je suis loin d’avoir atteint la vraie conscience et le vieux cerveau est toujours là, qui veut retourner à sa place, mais chaque jour je m’éloigne un peu plus de lui.

Merci d’avoir utilisé ta conscience pour aider l’éveil des autres.

J’ai accompagné cette personne.

Bonjour

Avant que je démarre le traitement dentosophique, j’étais quelqu’un d’assez angoissée, avec un petit vélo constant sous la boite crânienne, phénomène épuisant au quotidien. Les relations avec les parents n’étaient pas vraiment au beau fixe.
Je ne me permettais même pas de croire que je pouvais changer quelque chose dans ma vie.
J’avais des rêves mais je n’osais pas y penser.

La première chose qui s’est arrêtée, c’est ce fameux petit vélo : incroyable !
Peu à peu, je me suis rendu compte et j’ai osé me l’avouer, que je ne m’éclatais plus du tout dans mon boulot actuel. Pendant un certain temps, ce n’était pas forcément très confortable car je ne savais vraiment plus quoi faire de ma vie.
Puis, les rêves que j’avais enfouis se sont réveillés.
Pourquoi justement ne pas tout faire pour les vivre ? Ce serait pitoyable de regretter ensuite de n’avoir rien entrepris.
A l’heure actuelle, je commence une formation en chant pour 4 ans : c’est complètement dingue, je n’ai jamais chanté de ma vie et je suis appelée par ça!

Les relations avec mes parents ont changé ; complicité, échanges, écoute sont désormais au rendez-vous !
Le plus, cela a été l’accueil que m’a réservé mon père en fin d’année. Cet homme, en bon Anglais, n’a jamais été expressif au niveau émotionnel ; j’ai eu droit à une sacrée embrassade et mon frère témoin de la scène en était abasourdi…
Je suis loin d’avoir fini le traitement dentosophique et malgré cela, beaucoup de changements se sont opérés.
J’ai hâte de voir la suite… !
Merci beaucoup en tout cas !

J’ai accompagné cette personne.

« J’ai lu votre livre Mr Montaud. J’ai bien envie d’y croire. Je sens bien au fond de moi que cela me correspond parfaitement. Je me lance dans l’aventure car, après l’avis d’un ‘’spécialiste ‘’, arracher des dents, ouvrir les gencives, ‘’brider’’ mes dents… me fait horreur. Je n’ai pas envie d’être bridée. `

Il existe donc autre chose, une autre façon d’arrêter mes dents d’avancer. J’ai 50 ans passé ; j’ai porté un appareil toute mon enfance ; on m’a arraché je ne sais combien de dents. Le dentiste s’énervait, même avec ça cela ne rentrait pas… Je suis resté avec une dentition qui ne me convenait pas ; je m’y suis habituée, j’ai fait avec… et voilà que maintenant ça me dérange vraiment, on me le fait remarquer.

Je suis dans une période affective difficile avec une séparation douloureuse. A la maison je me lance dans des travaux, depuis très longtemps en projet, occupée à courir partout et des travaux même dans ma bouche, ça bouge partout.

Dans les débuts avec l’activateur en bouche, c’est le tour de France dans ma tête mais je me pose… 3 fois 20 minutes c’est long et c’est court… il me faut au moins ça pour m’arrêter. Et même si autour de moi c’est encore agité je trouve au fond le calme et la détente.
J’avais souffert quelques mois auparavant d’une hyperthyroïdie sans vraiment comprendre… j’aime bien comprendre pourquoi ? Et les réponses elles sont où ? Faut-il tout comprendre ?
Quand je vois le résultat dans ma bouche j’y crois, c’est évident, ça se voit.

Mais alors si ce sont les événements, la vie, les choses de la vie qui font tout ça, comment réagir et ne plus laisser imposer des éléments qui ne nous correspondent pas.
Sans violence, sans contraintes et sans lutte.

Chercher au fond de soi les réponses qui nous sont ‘’justes’’.
Celles qui nous font avancer à notre rythme sur notre propre chemin (CF Michel Montaud)
Je comprends maintenant.

Je n’en suis encore qu’au début… les gens qui me connaissent me trouvent plus calme, plus posée.
J’ose affirmer mes opinions, sans vouloir forcément que les autres pensent comme moi. Je n’impose rien, je m’affirme… sans violence.

J’ai accompagné cette personne et son fils.

J’ai commencé la dentosophie il y a plus d’un an, en janvier 2013. J’avais en effet des douleurs dans les mâchoires (par manque d’espace) et surtout des rhumes et une otite séreuse chronique. Mes incisives supérieures centrales se chevauchaient largement.

Aujourd’hui, un an après, mes douleurs dans les mâchoires ont disparu. J’ai la sensation d’avoir de l’espace dans la bouche, ce qui est très agréable et détendant ! Mes rhumes sont beaucoup moins fréquents et surtout beaucoup moins longs et intenses. J’ai appris à respirer par le nez, alors que je ne respirais avant que par la bouche. Aujourd’hui, quand je n’ai pas l’activateur, j’ai le réflexe de respirer quand même par le nez ! Côté otite, ça n’est pas encore résolu.

Mes incisives du haut se superposaient beaucoup. Aujourd’hui, elles sont alignées de manière quasi parfaite! C’est incroyable. C’est également ce qui s’est produit pour mon fils de 10 ans, qui a commencé aussi la dentosophie.
Il avait une canine, côté droit, qui ne pouvait pas sortir, faute de place. On nous avait donc dit de faire de l’orthodontie, ce que nous ne voulions pas. En très peu de temps, sa canine est sortie et ses dents se sont réalignées.

Il y a eu évidemment des changements en parallèle au niveau psychologique. Pour ma part, je suis une formation assidue pour devenir art-thérapeute, ce qui fait que je travaille sur mes conflits intérieurs, avec une approche spirituelle (méditation, rêves éveillés…). La dentosophie et ma formation vont donc dans le même sens.
Il est étonnant de voir que, en même temps que je résolvais le conflit avec mon père, mes canines supérieures gauche et droite reprenaient leur place.
J’ai vécu face à mon père très autoritaire, de la colère, le sentiment de ne pas être écoutée ni reconnue. Il est mort violemment sous mes yeux d’une crise cardiaque, il y a bientôt 4 ans. Aujourd’hui, je suis en paix avec tout ça (mon passé avec lui, sa mort).

Quant à mon fils de 10 ans, il semble plus épanoui et mieux dans ses baskets. Le plus spectaculaire est son écriture (ce qui révèle les changements intérieurs psychologiques). En effet, il avait depuis toujours une écriture petite, irrégulière et qui reflétait sa tension nerveuse. Quelques mois après (2 ou 3), son écriture est devenue ample, régulière, arrondie, belle et témoignant de beaucoup plus de sérénité !

La dentosophie permet donc de résoudre les problèmes d’orthodontie de manière douce, et en conscience, et d’éviter l’artillerie lourde de l’orthodontie classique, qui ne respecte absolument pas l’être humain.
C’est énorme !
Par ailleurs, les moments passés à mâchouiller l’activateur permettent de se poser, de prendre un temps pour soi, ce qui n’est pas négligeable.
Enfin, la résolution de conflits internes entraine la remise en place harmonieuse des dents.
L’harmonie revient dans l’être à tous les niveaux, et donc le niveau physique suit.
C’est certainement la seule méthode d’orthodontie qui devrait exister aujourd’hui…

Patiente accompagnée par un ami dentosophe

J’ai commencé le traitement en Juin 2013 pour redresser mes dents. Au départ le but était principalement esthétique.
En effet j’ai porté un appareil dentaire « classique » pendant 3 ans et demi. J’étais au départ satisfaite mais petit à petit mes dents se sont à nouveau écartées et progressivement elles reprenaient le même chemin qu’au départ. J’envisageais même de reporter un appareil dentaire à 23 ans…

Puis j’ai connu par chance que ce traitement existait.
Cela me paraissait bien et surtout cohérent dans le sens où le fait d’accompagner les dents à se remettre en place, à travers des exercices quotidiens de relaxation plutôt que de les forcer avec douleur à se redresser, me semble bien plus approprié.
Bref, j’ai commencé les exercices en augmentant petit à petit la durée des séances. En quelques mois ma bouche a été transformée.
C’était vraiment impressionnant, je dois avouer que moi même j’en ai été surprise.

Mais là où je veux en venir, c’est que le traitement n’a pas qu’une visée esthétique, accompagner les dents fait partie d’un tout.
En apprenant à me relaxer, à me détendre, à lâcher les boulets que je traînais aux pieds depuis des années et là je parle de vécu, de tout ce qui a pu arriver et qui me pesait, je me suis sentie mieux.
Bien sur, ça n’arrive pas comme ça, j’ai du m’investir dans le traitement et c’est toujours le cas, me remettre en cause, pardonner, mais je sens que je progresse, que je me guéris, que je répare.

Je précise aussi que j’ai eu des tumeurs bénignes dans les seins à l’âge de 20 ans, j’ai été opérée mais cela est rapidement revenu sans que l’on m’explique pourquoi. J’ai compris que ce n’était pas arrivé par hasard, mais parce que mon corps à dû faire face à ce que je traversais alors et il a surproduit des cellules qui ont dégénéré. Quand on y pense, ça serait plus logique tant le phénomène est venu intensément et de façon répétitive, sans compter la douleur.
Bref, j’ai compris qu’il fallait que je lâche du lest et c’est ce que j’essaie de faire depuis 10 mois maintenant.
J’ai beaucoup moins mal au seins qu’auparavant et je pense vraiment que c’est lié au traitement qui physiquement me fait du bien mais aussi à une prise de
conscience.

Pour résumer, je dirais simplement que le traitement m’a appris énormément.
J’ai appris à me relaxer, à comprendre que ma respiration était fondamentale, à la maîtriser.
J’ai aussi appris à pardonner parce que ça fait du bien à soi même d’être le plus en paix possible, du bien au corps.
Quand on souffre, le corps s’exprime à sa façon et de saisir cela, je crois que ça permet d’entreprendre une autre réflexion sur sa façon de vivre.

Ce que je retiens c’est que c’est en commençant par faire des exercices quotidiens de relaxation que j’ai pu progressivement me faire du bien, sentir que j’allai enfin dans le bon sens.
Tout n’est pas parfait mais ça m’a vraiment enrichie.

Patiente accompagnée par une amie dentosophe

Bonjour M Montaud,

Je  suis suivis par Mme X depuis juin, elle m’a mis mes premiers collages aujourd’hui (je n’avais plus qu’un contact!!, beaucoup d’usure à seulement 25 ans). J’aurais voulu qu’elle en mette plus tôt (elle préférait attendre) car je sentais que je me fatiguais avec l’activateur, là c’est beaucoup plus facile et efficace.
Et bien il  n’y a pas de mots pour décrire le bienfait que ça procure. J’ai l’impression qu’on m’enlève des tonnes de boulets des épaules! Je suis sortie et j’ai eu envie de gambader alors que je me traînais depuis des mois ; une partie de mes peurs ont tout de suite diminué etc.
J’avais besoin de l’exprimer à quelqu’un qui comprend.
Je me remercie de m’être lancée dans cette aventure qui me sauve la vie et vous de m’avoir conseillé Mme X avec qui j’ai un relationnel « sensass ».
Bonne fin de journée M Montaud.

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