« Ce que nous allons entreprendre, c’est une expédition ensemble, un voyage de découverte dans les recoins les plus secrets de notre conscience. Et pour une telle aventure, on doit partir léger, on ne peut pas s’encombrer d’opinions, de préjugés, de conclusions : de tout ce vieux mobilier que nous avons collectionné pendant deux mille ans et plus. Oubliez tout ce que vous savez à votre propre sujet ; oubliez tout ce que vous avez pensé de vous-mêmes ; nous allons partir comme si nous ne savions rien.

Krishnamurti

Je ne connais pas de paroles qui conviennent mieux que celles-ci pour introduire la Dentosophie et l’Anthroposophie.

Je fais part dans cette rubrique de certaines réflexions, fruits d’un parcours personnel et professionnel. Ces idées n’engagent que moi et je suis, bien sûr, prêt à dialoguer autour d’elles, dans la convivialité et l’amitié.

Michel Montaud


dernière minute: le Corniaud virus


Le phénomène Corona virus

Nous sommes confrontés à nos peurs qui se transforment en panique.

Pour énormément de gens cette peur est contagieuse et se dissémine sur toute la planète. Cette peur nous montre à quel point nous avons du travail pour, non seulement la voir, la constater, mais surtout pour commencer à la dépasser, la surmonter, car c’est la seule issue de la survie de l’humanité.

Mais comment surmonter la peur ?

La peur est toujours le symptôme le plus grand de l’égoïsme, du fonctionnement égoïste de l’homme. Nous avons devant nous l’exemple, à l’échelle mondiale, qu’une petite bête, qui s’appelle Corona virus, peut faire tout oublier, faire tout s’effondrer parce que chacun ne voit que sa propre personne. Plus rien n’existe que sa propre survie, sa propre peur d’attraper une maladie qui, éventuellement, tue les personnes de plus de 80 ans. C’est spectaculaire de voir à quel point l’homme perd tout sens intellectuel, tout sens pratique, tout bon sens, dès que la peur s’installe.

Et puis, qu’est ce que la peur ?

La peur est synonyme d’ignorance. Nous avons toujours peur de quelque chose que nous ne connaissons pas, que nous ne maitrisons pas. Pour les contrecarrer, pour les dépasser, donc pour grandir de nos peurs, il faut accéder à la connaissance, aller voir là où nous ne savons pas et nous allons prendre conscience en fait que nous n’avons aucune idée réelle de la connaissance de l’homme de, ‘’qui nous sommes réellement’’.

Tout doit commencer par là, c’est-à-dire revoir tout notre savoir acquis et se pencher véritablement sur la réelle connaissance de, qui est l’homme, vers son fonctionnement profond.

C’est à ce prix, et à ce prix seulement, que nous pourrons comprendre réellement nos peurs et dépasser l’objectif unique de l’évolution, l’excès d’égo, le paroxysme de l’égo : l’égoïsme.

L’égoïsme nous emmène vers la contagion de peur. Ce phénomène-là d’épidémie virale, de pseudo épidémie mortelle nous le prouve. Si nous faisons le travail sur l’égoïsme nous allons automatiquement rencontrer son contraire, l’amour.

Arrivé à ce stade, la peur ne peut plus exister.

Le Corona virus nous apporte une poignée de morts mais la peur provoque des milliards de victimes. Nous sommes entre 7 et 8 milliards d’êtres humains sur Terre et le corona virus va ‘’peut-être en tuer’’ quelques milliers. L’homme a, me semble t-il fait ‘’plus fort’’ lors de la ‘’guerre de 40’’.

Ce n’est pas le virus qui est contagieux mais c’est la peur qui inocule la virulence du virus dans l’homme.

La grande question que la science pourrait se poser est :

nous sommes confrontés à des milliards de milliards de virus et bactéries, durant toute notre vie, sans aucun problème pour notre santé, alors pourquoi un virus, un jour, agresse t-il l’homme ?

C’est la peur du virus qui tue l’homme.

Ce n’est pas le virus qui tue l’homme.

Aucun virus au monde n’a le pouvoir de tuer l’homme, si celui-ci ne le veut pas.

Il peut venir à moi n’importe quelle personne contaminé par le virus ; elles peuvent éternuer sur moi, cracher sur moi, rouler sur moi avec leurs mains sales, je n’aurais pas l’adresse d’attraper la maladie, sauf si pour moi il est temps de mourir.

Nous ne mourrons pas de maladie mais une maladie arrive parce que le temps est venu, pour nous, de mourir.

Donc tout le monde peut guérir de ce virus sans aucun souci, sauf ceux qui doivent mourir de ce virus. Parce qu’il est venu le temps, pour eux, de passer à un autre état de conscience.

Il y a déjà un siècle, un être hors du commun, qui s’appelait Rudolf Steiner, a décrit le processus lié au virus et à la peur.

Rudolf Steiner 1917 (‘‘Derrière le voile des événements’’ Editions Triades)

« Il existe à notre époque une sorte de peur qu’on pourrait à bon droit comparer avec la peur des fantômes qu’on avait au moyen-âge ; c’est la peur des microbes. Au fond, ces deux états de peur sont identiques, toutes proportions gradées.

Le moyen âge avait une certaine foi dans le monde spirituel ; et naturellement ce qui lui inspirait de la crainte était de nature spirituelle. L’époque moderne a perdu cette foi dans le monde spirituel et ne croit plus qu’au matériel. Ce qui lui fait peur ce sont les êtres matériels, si petits soient-ils.

Ce qui nous importe en tout cas pour aujourd’hui, c’est de remarquer que les bacilles ne peuvent vraiment être dangereux que s’ils prolifèrent. Il ne faut pas les cultiver ; c’est là une évidence sur laquelle tout le monde s’entend. Or, quand nous examinons du point de vue spirituel ce qui stimule la prolifération des bacilles, nous arrivons à une conclusion sur laquelle nous ne nous entendons plus avec les matérialistes. Car les microbes trouvent un terrain particulièrement favorable en nous lorsque dans notre sommeil nous emportons rien d’autres que des pensées matérialistes. Leur meilleur bouillon de culture, c’est lorsqu’on ne s’endort qu’avec des idées matérialistes.

Il n’y a pas de meilleur moyen de cultiver les microbes dans un foyer d’épidémie, ou bien de maladies endémiques, que de n’avoir rien d’autre en esprit que des images de la maladie, d’être empli de terreur à l’égard de la maladie. Lorsqu’on ne trouve rien à opposer par soi-même à cette peur des maladies qui se dégage d’un foyer d’épidémie et que l’on s’endort le soir avec cette idée de peur, il se développe dans l’âme des reflets inconscients, des échos, des imaginations traversés de crainte, et c’est là un bon moyen pour nourrir et cultiver les microbes. Si l’on arrive à calmer son anxiété par un amour actif, par exemple, par des soins aux malades qui ne vous laissent plus le temps de penser à vous-même, à la contagion possible, etc… on diminue par là fortement aussi la prolifération des bacilles.

La science spirituelle ne nous enseigne pas seulement ces choses pour moraliser contre l’égoïsme humain, mais pour décrire des réalités précises du monde spirituel. Dans la vie, nous rencontrons partout le monde spirituel, car nous-mêmes déployons positivement une activité des mondes spirituels entre le temps où nous nous endormons et celui où nous nous réveillons. Et mieux que tous les médicaments ou prescriptions pour lutter contre les bacilles, la pensée humaine peut agir ; si elle se dégage du matérialisme et ressent l’aiguillon d’un amour actif de l’esprit, son action est mille fois plus féconde que tous les remèdes. Il faut qu’au cours de ce siècle de plus en plus se propage la connaissance que le monde spirituel a de l’importance jusqu’à l’égard du corps physique, une importance qui pénètre dans l’univers physique, parce que, en réalité, pendant notre sommeil nous plongeons au sein du monde spirituel et agissons de là sur le corps physique demeuré dans l’inconscience.

Bien que cette action ne soit pas perceptible aux sens, elle n’en existe pas moins. »

Ce que nous sommes en train de vivre avec le Corona virus est un coup de semonce, qui nous est donné par le monde spirituel, pour élever notre niveau de conscience et nous inciter progressivement à passer de l’égoïsme à l’Amour.

Approfondissement sur le confinement – Mars 2020

Confinement ???

Cette période de confinement doit nous permettre de nous questionner. Elle amène certaines personnes à des constats encore plus prononcés sur la façon de fonctionner de l’homme. Ces constats sont indispensables pour permettre de montrer que les mécanismes mis en place par l’humanité, depuis maintenant plusieurs siècles, sont obsolètes. Ces constats sont nécessaires mais sont inutiles, si nous n’en faisons rien, si nous nous contentons encore et toujours de seulement les énumérer. Les constats sont des symptômes comme le sont ceux d’une maladie. Ils ne sont que conséquences.

Mais comment peut-on arriver aux véritables causes, si nous nous penchons seulement sur les conséquences ?

Nous sommes face à quelque chose aujourd’hui, qui est d’une évidence suprême. Un petit ‘’truc’’, appelé virus, que nous ne connaissons absolument pas, que nous ne maitrisons absolument pas, mais dont la médecine nous fait croire qu’elle sait ; ce petit ‘’truc’’ va nous révéler le fonctionnement de l’humanité. Ce petit ‘’truc’’ est capable d’arrêter tous les rouages des systèmes économique, politique et juridique, culturel ; il est capable de mettre l’humanité entière à l’arrêt total. Et personne, je dis bien personne ou en tout cas de ceux qui parlent, n’est allé chercher le véritable pourquoi.

Pourquoi ce virus-là est capable de faire arrêter la machine infernale de l’humanité ?

Ce virus met en évidence, dans un premier temps, le fonctionnement de la médecine. Cette dernière comptabilise les morts, essaie de répartir, comme elle peut sur tout le territoire, les malades qui ont besoin de réanimation. Elle est impuissante devant les symptômes que provoque le virus et attend le pic de l’épidémie pour ensuite faire un bilan de cette épidémie, c’est-à-dire énumérer encore et seulement des constats. Elle nous dit que le virus est contagieux et que la seule façon de le combattre est de rester à la maison. Elle nous dira, à la fin de l’épidémie pour justifier ses décisions, que c’est le confinement qui a permis de la stopper plus rapidement.

Et la plupart de l’humanité va la croire sans aucune preuve de tout cela.

Or, il s’avère que toutes les épidémies s’arrêtent d’elles-mêmes après le pic et qu’il n’a existé que très peu de confinement par le passé.

La médecine, qui sait, nous dit aussi, un jour, qu’il est inutile de porter des masques non conformes car ils ne servent à rien. De plus les masques ne sont pas utiles en dehors des personnes ‘’exposées’’. Puis, quelques jours plus tard, qu’il serait peut-être souhaitable que tout le monde porte un masque, même les masques qui étaient inefficaces quelques jours auparavant… et tout le monde ‘’gobe’’ ces affirmations sans sourciller. La médecine joue ‘’aux apprentis sorciers’’ et montrent encore qu’elle ne maitrise rien.

Et pourtant l’humanité reste totalement robotisée.

Mais comment est-il possible de rester muet devant une telle manipulation mentale ?

On nous dit, ailleurs, que nous sommes en guerre et que dans une guerre on doit se battre. Ces mots prononcés à six reprises par un chef d’état sont d’une violence inouïe. J’ai beaucoup pensé, lors du discours de ce monsieur d’une quarantaine d’année qui n’a jamais connu une guerre, à toutes ces personnes qui l’ont vécue, perdu des proches, à toutes ces personnes qui ont été mutilées à vie, voire torturées.

Comment ont-elles pu réagir en attendant le mot guerre à propos d’un virus ?

Ces mots ont entrainé une psychose indescriptible qui met en exergue le fonctionnement actuel de l’homme, à savoir un fonctionnement géré uniquement par la peur. Le mot est lancé : la PEUR

La peur est l’un des ingrédients le plus puissant qui entretient le fonctionnement égoïste de l’homme. Chaque fois que l’homme a peur, il ne pense qu’à lui et c’est seulement après, lorsqu’il est en sécurité, qu’il se tourne éventuellement vers les autres. Mais le réflexe premier de la peur est de fuir… ou de mordre. C’est le reflexe de l’animal. La peur reflète le fonctionnement animal dans l’homme. A ce stade, l’homme est un ‘’animal pensant’’ et n’a pas encore atteint le titre d’être humain. Dans les deux cas, fuite ou morsure, sont des conséquences, des symptômes, sont des constats de peur.

Si nous voulons réellement chercher le pourquoi des conséquences de ce petit virus, il nous faut accepter de voir le véritable comportement de l’homme, à savoir son mode de fonctionnement égoïste. Nous allons alors comprendre le processus de la contagion. La contagion est véhiculée par la peur. C’est la peur dans l’homme qui rend le virus virulent et donc contagieux. Il se propage comme l’éclair parce que l’homme en a peur.

Mais comment peut-on faire pour contrecarrer nos peurs ?

La peur est toujours synonyme d’ignorance. L’homme a toujours eu peur de ce qu’il ne savait pas. La peur nous maintient toujours dans un système de dépendance. Lorsque l’homme a peur, il est à la merci de celui qui est censé savoir. Celui qui est censé savoir va utiliser tous les subterfuges pour faire croire qu’il sait.

C’est de cette façon que la médecine maitrisent les hommes depuis plusieurs siècles.

Pour contrecarrer nos peurs il faut aller chercher la véritable connaissance de l’homme. Si nous nous penchons sur la réelle connaissance de l’homme, nous retrouvons aussitôt la notion de spiritualité, cette notion qui a totalement disparu au profit du matérialisme.

Pour comprendre tout cela, il nous faut faire un rapide résumé de : qui est l’homme ?

Nous arrivons sur la Terre empli de l’Amour Universel, un Amour incommensurable totalement inconscient, puisque la conscience ne s’est pas encore révélée. Nous allons revivre, pendant les trois premières années de notre vie, toute l’histoire de l’évolution de l’homme. A partir de l’âge de trois ans, l’enfant va commencer à dire ‘’moi’’ ; c’est le réel début de l’individualisation. L’homme va croitre et devenir de plus en plus conscient de son individualité, jusqu’à devenir individualiste. Ce passage à l’individualité est un passage nécessaire de l’évolution de l’homme. Il s’accompagne simultanément d’une perte de la prépondérance de l’esprit au profit d’une vision de plus en plus matérialiste. L’apogée du matérialisme a été l’année 1900.

Le moi – ou égo – de l’homme va prendre toute la place et, inconsciemment, il va glisser vers son paroxysme, l’égoïsme. A ce stade, l’homme est allé trop loin et va véhiculer un égoïsme qu’il va vivre, le plus souvent, dans l’inconscient.

Le but de toute l’évolution de l’humanité est d’amener sa réalisation – l’être humain – à devenir un être unique, libre et indépendant. Cela va passer par une phase d’égoïsme inconscient. Le chemin va être alors de voir son propre égoïsme, c’est-à-dire de l’amener à la conscience. Il va passer d’un égoïsme inconscient à un égoïsme conscient. A partir de ce stade, l’homme va pouvoir travailler sur son égoïsme, puisqu’il le voit. Si l’homme travaille sur son égo exacerbé il va pouvoir le transformer. Et lorsque nous dépassons l’égo, nous nous tournons automatiquement vers les autres. A ce moment-là, nous accédons au contraire de l’égo en excès, nous tutoyons… l’Amour.

L’homme, à la naissance, est donc un être empli d’un Amour pur et, très rapidement, il va être confronté au système de ‘’domestication sociale’’, qui va nous inculquer ce que nous devons faire.

A partir de cet instant, nous ne pourrons jamais penser par nous mêmes. Nous sommes éduqués par le penser des autres qui, eux-mêmes, ont été formatés par les pensées de leur prédécesseurs ; et c’est un cercle vicieux qui nous amène au fonctionnement actuel de l’humanité. Nous nous servons uniquement du savoir de ceux qui nous précèdent.

Ce passage est un passage nécessaire, obligatoire. Tous les êtres humains passent par ce stade. Il fait partie de l’évolution. Mais nous pouvons et, surtout, nous devons dépasser ce stade.

Si nous ne remettons jamais en question ce savoir, nous ne pourrons pas accéder à la connaissance de l’homme. Accéder à la connaissance de l’homme nous oblige à penser par nous-mêmes. Nous allons alors nous apercevoir que nous avons été imprégnés par un savoir qui s’avère erroné.

Savoir et connaissance ne sont pas synonymes. Le premier a été intégré dans notre subconscient sans notre consentement, alors que le second nous amène à la réelle conscience, celle qui est le fruit de nos propres recherches.

Alors, nous allons véritablement comprendre le fonctionnement intérieur de l’homme et pourquoi il peut être sujet à des maladies et à un virus qui va tout arrêter.

Nous sommes obligés de tout remettre en question, de ne plus vouloir fonctionner avec le mode de penser du passé ; nous allons être obligés de changer totalement de paradigme.

‘’Nous ne pouvons pas régler les problèmes avec le même cerveau que celui qui les a causés.’’

Cette phrase a été prononcée par A. Einstein. Il nous dit, qu’il est impossible de résoudre un problème avec le même mode de fonctionnement intellectuel que celui qui a provoqué le problème.

Parce qu’en fait nous nous trompons de cerveau. Le cerveau qui est le maître de l’homme est le cerveau du cœur. Le cerveau de la tête, c’est-à-dire le fonctionnement intellectuel, doit être à son service. Or nous avons mis en place un système de société où l’homme se sert uniquement du cerveau de la tête et oublie complètement les informations du cerveau du cœur. Le cerveau du cœur agit en tout premier ; c’est celui qui ressent et nous le savons tous, nous avons d’abord une émotion et après seulement nous analysons cette émotion avec le cerveau de la tête. Le cerveau de la tête agit toujours en second mais, s’il domine le cerveau du cœur, ce dernier ne peut plus s’exprimer. Nous allons retrouver cette analogie avec le masculin et le féminin dans l’homme *. Le féminin pourrait être assimilé au cerveau du cœur et le masculin à celui de la tête.

Actuellement, nous pouvons observer que nous avons créé une société totalement masculine, où seul le cerveau de la tête domine, société qui va annihiler sa partie féminine et faire taire le cerveau du cœur. C’est pourtant cette partie féminine qui doit de nouveau rencontrer sa partie masculine pour que l’être humain s’équilibre.

Si l’être humain s’équilibre, il équilibrera alors la Terre et les virus n’auront plus rien à nous dire.

Nous savons que la peur est toujours le synonyme de l’ignorance et que tant que nous maintenons les gens dans l’ignorance, nous alimentons leur peur. Et pourtant, est ce qu’une seule fois pendant cette pandémie, ‘’une sommité médicale’’ est venue expliquer au peuple, ce qu’était réellement un virus ?

Pour la quasi totalité de l’humanité, un virus est un ‘’petit truc’’ minuscule –puisqu’invisible à l’œil – qui se propage d’êtres vivants à êtres vivants. Ils peuvent toucher les animaux seulement sans transmission à l’homme ou ils peuvent aussi se transmettre à travers l’espèce humaine en passant par l’animal ou pas. La médecine nous parle à ce stade uniquement de la contagion ; elle n’explique rien, mais par contre nous fait peur avec le mot, contagion, car devant la contagion l’homme est impuissant… et lorsque l’homme passe d’ignorant à impuissant, il ressent encore plus la peur et passe à l’angoisse qui peut aller jusqu’à la détresse… qui peut alors devenir respiratoire.

Mais en fait, qu’est ce qu’un virus ?

Le virus est créé par l’homme lui-même ; ce sont nos propres cellules en souffrance qui vont expulser ce que la médecine a appelé virus. C’est un ‘’poison’’ rejeté par la cellule qui s’empoisonne, ‘’poison’’ qui va aller se greffer sur sa membrane.

Dans le cas du corona virus, il affecte le fonctionnement de l’oxygène dans la cellule… l’oxygène impacte totalement le cycle de l’eau dans l’organisme ; eau qui est l’essence de la VIE – sans eau la vie sur Terre n’existerait pas – et qui est le porteur de l’information ondulatoire dans le corps humain. L’oxygène affecte directement le système cœur-poumon chez l’homme. Et quels sont les symptômes terminaux de l’action du corona virus ? Une détresse respiratoire par une atteinte du système cardio-pulmonaire.

Le virus est toujours issu de l’homme malade qui n’est que le fruit de ses cellules malades ; et l’homme malade n’est que la conséquence de son fonctionnement de vie déséquilibré. Ce fonctionnement de vie déséquilibré qui l’a amené à fonctionner de manière égoïste et à être, de ce fait, continuellement submergé par les peurs… peur, entre autres, d’un virus qui va devenir contagieux, de l’extérieur, mais en fait qui est véhiculé et entretenu par les peurs… et la peur est le vecteur, tout en amont, de toutes les maladies.

La boucle est bouclée. Ce sont nos peurs qui sont contagieuses, non le virus.

Nous sommes encore une fois devant un constat extraordinaire ; le confinement nous oblige à l’arrêt de toutes les activités humaines et on assiste à une pause de la destruction de la terre. On voit la pollution disparaître, on voit des animaux reprendre leur territoire, des dauphins aux portes de Marseille, des poissons dans les eaux de Venise, de partout dans le monde la vie reprend ses droits. On voit le climat et tout un écosystème essayer de reprendre la place qu’ils avaient perdue à cause de l’activité des hommes. On a l’impression que la Terre mère souffle, qu’elle reçoit une bouffée d’oxygène comme pour la personne qui est sur le point de se noyer et qui reçoit une bouée de sauvetage. Ce confinement est en train de nous montrer que tout, je dis bien tout, ce que l’homme a mis en place n’est pas juste et qu’à travers son fonctionnement il est sur le point de se détruire et de détruire la planète, parce que la planète Terre existe uniquement parce que l’homme existe ; sans l’homme il ne pouvait pas y avoir de Terre et sans Terre il n’y aura plus d’hommes.

Nous ne pouvons pas comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là, si nous continuons à fonctionner avec les pensées que nous avons acquises.

Rappelons-nous la phrase d’A. Einstein : ‘’Nous ne pouvons pas régler les problèmes avec le même cerveau que celui qui les a causés.’’

Cela signifie que tout ce que nous avons accumulé venant du passé, et que nous croyons juste, est en fait faux. Nous avons construit une société, à l’aide de notre cerveau de la tête, sur des concepts erronés que nous avons considérés comme juste et à partir desquels nous avons élaboré des analyses. Tout notre système de penser repose sur des concepts erronés, issus du monde de la matière, et je vais donner un exemple qui va être une réelle bombe pour certaines personnes. Cet exemple devrait interpeller la médecine actuelle.

Toutes les maladies viennent de l’intérieur. Il n’existe aucune maladie qui vient de l’extérieur. 

Toutes les maladies de l’homme sont provoquées par l’homme lui-même, de l’intérieur.

Nous pouvons extrapoler ce concept à tout le fonctionnement de l’humanité, c’est-à-dire tous les événements qui arrivent à l’homme sont provoqués par l’homme lui-même. Tout ce qui vient de l’extérieur est provoqué par l’homme.

C’est le fonctionnement intérieur de l’homme qui va créer les événements dont il a besoin. Passé, présent, futur ne sont pas séparés ; ils agissent simultanément ; c’est l’acte, réalisé dans le présent, qui se sert de son fonctionnement passé pour choisir le futur dont il a besoin. Nous n’allons pas vers notre futur. Tous les futurs potentiels sont déjà là. Nous choisissons le futur qui nous est nécessaire dans l’instant présent.

Nous assistons depuis des siècles et des siècles à des constats qui ne sont que des conséquences, conséquences que nous avons transformées en causes. Et à partir de ces conséquences transformées en causes, nous avons élaboré des fonctionnements intellectuels.

L’exemple du virus est quelque chose de probant car il nous montre que certaines personnes vont mourir, que d’autres vont être malades à des degrés différents et que le reste des personnes n’aura aucun symptôme de la maladie virale. La seule question que nous devons nous poser est :

Pourquoi ce virus-là provoque t-il cette épidémie alors que nous sommes confrontés toute notre vie à des virus ?

Les réponse de la médecine est : il existe des gens plus résistants que d’autres, qui ont une immunité plus forte ; ils ont un meilleur terrain.

Une nouvelle fois la médecine répond par des constats. Elle voit qu’il existe différentes catégories de personnes face à la maladie, mais à aucun moment la médecine va chercher à comprendre le véritable pourquoi, pas le pourquoi, qui consiste à dire ‘’ ils ont un meilleur terrain’’, mais le pourquoi qui cherche à comprendre ‘’pourquoi ont-ils un meilleur terrain ? ’’

Et puis cette analyse ne répond toujours pas à la question :

Pourquoi ce virus-là provoque t-il cette épidémie, alors que nous sommes confrontés toute notre vie à des virus ?

Nous ne pourrons jamais espérer arriver au véritable pourquoi en continuant à fonctionner avec un raisonnement que nous considérons comme scientifique et qui est en fait un raisonnement purement matérialiste. Nous sommes arrivés au summum du matérialisme dans tous les domaines de la vie et nous pouvons prendre conscience, si nous le voulons, que ce mode de fonctionnement matérialiste n’explique rien mais est en train de détruire la planète toute entière. Si nous voulons espérer accéder au réel pourquoi, nous allons être obligés de nous tourner vers l’authentique connaissance de l’homme et pas seulement son savoir scientifique matérialiste.

Il va falloir accepter l’idée que le corps humain n’est que la condensation de l’esprit. Alors nous pourrons espérer trouver les solutions à notre situation.

L’homme, comme tout ce qui existe sur la planète, n’est que condensation de l’esprit. Cela signifie que l’homme est un être totalement spirituel, et j’ai bien dit spirituel et pas religieux.

Ce que ce confinement est en train de mettre en exergue, c’est toutes les maladies que l’homme a mises en place au niveau planétaire. Le confinement nous montre tous les symptômes des maladies que la terre est en train de vivre. Et, que le fait d’arrêter le fonctionnement de l’homme sur la planète, pendant quelques jours, permet de supprimer quelques symptômes qu’il a créés, à savoir la pollution, la destruction de l’écosystème, le problème du réchauffement climatique etc…

Les pathologies que la planète nous montre sont du même ordre que les pathologies que l’homme accumule depuis des siècles. Les maladies sont des symptômes pour nous dire, ‘’le mal a dit’’, pour faire prendre conscience à l’homme que son mode de fonctionnement n’est pas juste.

La maladie est présente pour éclairer l’homme sur son mode de fonctionnement.

Nous mangeons et digérons, la plupart du temps, sans aucun problème. Tout le mécanisme de la digestion se déroule de façon inconsciente. Puis, un jour, pour une raison qui nous échappe, nous ne digérons plus. Et là, apparaissent des symptômes qui nous éveillent au fait que nous ne digérons pas bien. La médecine va observer ces symptômes, les constater puis les cataloguer en maladies et va chercher à l’extérieur les moyens pour arrêter les symptômes, c’est-à-dire les conséquences de la maladie. Dans ce cas précis, la maladie ne peut pas nous inciter à aller chercher le réel pourquoi, puisque la médecine a enlevé l’alarme ‘’qui nous dit’’. Par analogie, on peut comparer cette situation au voyant rouge d’une voiture qui nous alerte sur un défaut de fonctionnement. Nous pouvons aller voir où se trouve le défaut ou bien éteindre le voyant rouge pour qu’il ne nous embête plus.

La médecine va se contenter de travailler sur les conséquences et faire croire, à ceux qui ne savent pas, qu’elle connaît les raisons originelles de la maladie.

Si nous étions capables d’arriver au réel pourquoi de la maladie, elles n’existeraient plus. Or, de nos jours, la médecine vit grâce aux maladies et à un système économique qui s’est mis en place par le fait que l’homme est sans cesse malade. Parce que, si la médecine guérissait réellement, il ne devrait plus exister de malades ! Cherchons l’erreur. Nous sommes devant un puits sans fond.

Le ‘’mal a dit’’ est présent pour nous dire. Le corps est notre meilleur ami ; il est le temple de l’homme. Il va nous prévenir à chaque instant que notre fonctionnement intérieur n’est plus juste. Il va alors créer des symptômes pour nous faire prendre conscience de ce qui demeurait dans l’inconscient, lorsque nous digérions normalement.

La définition de la santé est en fait, ‘’guérir en permanence’’. Nous provoquons régulièrement nos maladies, mais nous avons un mode de fonctionnement intérieur qui nous permet de guérir systématiquement de ces maladies. Nous créons des micro cancers à chaque instant, micro cancers qui se guérissent tous spontanément. Cela s’appelle, dans le langage médical, l’homéostasie ou la physiologie de l’homme. C’est la normalité. C’est le mode de fonctionnement de tous les organismes vivants sur la Terre. Et tout ce mécanisme repose sur un rythme qui est propre à chaque espèce. La plante perd ses feuilles à l’automne et en retrouve d’autres au printemps. Tout est rythme dans la nature et nous le retrouvons chez l’homme à tous les niveaux et de façon évidente avec son système cardio-respiratoire.

Puis, un jour les symptômes nous montrent que nous ne guérissons plus ; ils sont là pour éveiller notre conscience au fait, que notre façon de fonctionner précédemment n’était pas juste. Le ‘’mal a dit’’ est présent pour nous dire, pour que nous prenions conscience que c’est notre propre mode de fonctionnement qui nous amène à la maladie.

Les maladies vont alors se répéter, se déplacer, autant de fois qu’il sera nécessaire, pour nous éveiller au fait que notre mode de fonctionnement n’est pas juste. Jusqu’à la maladie suprême qui va entrainer la mort, parce que la personne ne s’est toujours pas éveillée à un fonctionnement juste.

Les personnes, qui ne fonctionnent pas de façon juste, représentent la quasi totalité de l’humanité. Elles vont donc créer un mode de fonctionnement planétaire qui n’est pas juste ; celui-ci va donc créer des maladies de la Terre, pour nous faire comprendre que le mode de fonctionnement planétaire n’est pas juste ; et ce mode de fonctionnement planétaire pas juste existe parce que le mode de fonctionnement intérieur de l’homme n’est, lui aussi, pas juste.

Pour comprendre tout ce processus il va être nécessaire de revenir à la notion fondamentale de la partie spirituelle de l’homme. L’homme, qui vit actuellement, agit selon des pensées matérialistes, mécanistes, où tout est basé sur l’économie, sur l’argent.

Et ce confinement, qui nous fait tout arrêter et met tout en veilleuse, nous fait voir, que le mode de fonctionnement, à travers la pollution qui diminue, à travers tout un tas de symptômes qui disparaissent de la mère Terre, que ce mode de fonctionnement n’est pas juste.

Nous devons retrouver notre partie spirituelle égarée, cette partie spirituelle qui nous a amené sur la Terre en étant des êtres portés par l’Amour, des êtres tournés vers les autres. Cette partie spirituelle, ayant disparu, a été remplacée progressivement par un égoïsme de plus en plus puissant ; cet égoïsme qui nous permet maintenant de créer des actes qui sont en train de détruire toute la planète. Un des actes les plus caractéristique de notre égoïsme matérialiste est internet et son apogée actuelle, la 5G ; Cette toile d’araignée électro magnétique entoure la planète d’ondes tueuses sur du court, moyen et long terme. Mais comme ces ondes sont invisibles à l’œil, les matérialistes, qui ne croient seulement ce qu’ils voient, réfutent vigoureusement la dangerosité de ces ondes. Pourtant, personne ne peut y échapper. Et c’est le ‘’fameux’’ terrain de chacun, inexploré par la médecine, qui va faire la différence entre ceux qui vont être touchés tout de suite et ceux qui le seront plus tard.

Nous sommes des êtres électriques ; nous avons 50000 milliards de cellules qui sont polarisées négativement à l’intérieur et positivement à sa surface, sur la membrane. Chaque cellule développe 1,4 volt soit 70000 milliards de volt au total dans notre organisme. Nous sommes parcourus de toute part par des courants électriques gigantesques qui véhiculent les informations à travers des ondes. Toutes nos cellules sont interconnectées par un système ondulatoire, par une communication à travers l’eau notamment. Et nous avons vu que ce virus, qui est en train d’attaquer les hommes, est en fait un processus qui atteint le fonctionnement de l’oxygène dans l’eau de l’homme. Et lorsque nous parlons oxygène, nous parlons des fonctions respiratoires des cellules et de l’homme tout entier à travers son cœur et ses poumons.

Et que fait le virus ? Il provoque des détresses cardio-respiratoires.

Le virus est en train de nous montrer les organes touchés par son action. Ce sont les organes du rythme, cœur-poumon. Les organes du rythme, cœur-poumon, sont les premiers affectés lorsque l’homme se trouve dans un mauvais fonctionnement psycho affectif. Nous savons tous qu’une émotion provoque une accélération du rythme cardiaque ainsi qu’une accélération de la respiration.

Mais qu’est ce que le fonctionnement psycho affectif ? C’est la rencontre entre cerveau de la tête –psycho – et celui du cœur – affectif – ou dit autrement entre le masculin et le féminin.

Donc, si nous remontons la chaine, mais que nous ne regardons plus du côté matérialiste, comme la médecine le pratique, si nous élargissons à la partie spirituelle de l’homme, nous prenons conscience alors que c’est tout notre système psycho affectif qui est responsable de nos maladies. Et derrière le système psycho affectif, il y a le fonctionnement profond intérieur de l’homme, c’est-à-dire le dysfonctionnement entre le masculin et le féminin.

Le fonctionnement actuel de l’humanité repose sur la domination du cerveau de la tête et dans la tête, la partie gauche de son cerveau. Cet état d’être a amené l’homme à devenir uniquement matérialiste et à développer davantage son égoïsme qui, lui-même, est véhiculé par les peurs et qui vont permettre au virus de se développer de manière exponentielle.

Si nous voulons sortir d’une ‘’pandémie virale’’ le seul remède universel au monde est le contraire de la peur… c’est la JOIE. La joie, non seulement détruit tous les virus, mais elle empêche aux virus d’exister.

Cette Joie – et je dis bien la joie, pas le plaisir – est le sentiment suprême de l’Amour. Elle ne vient pas de notre égo mais d’ailleurs ; elle nous est donné sans rien attendre en retour, contrairement au plaisir qui nourrit toujours notre égoïsme.

La Joie est comme un cadeau qui nous est donné en récompense d’une bonne conduite dans notre vie quotidienne. Elle est donnée en cadeau à toutes celles et tous ceux qui agissent uniquement dans le but d’aider les autres.

Mais, quel est cet ailleurs ?

C’est notre partie spirituelle égarée à la naissance et retrouvée à travers un amour naissant, amour qui nous permet de nous tourner vers les autres en maitrisant notre égo pour qu’il devienne enfin à notre service, pour qu’il ne soit plus manipulé par un fonctionnement purement matérialiste, qui maintient l’homme dans l’égoïsme.

Si l’homme maitrise son égo, cela signifie qu’il a accompli la jonction physiologique entre son féminin et son masculin ; les deux sont alors équilibrés et chacun va nourrir l’autre grâce à ses qualités.

Le bien retrouve sa place, car le mal est toujours un bien qui n’est pas à sa place, soit en excès, soit en défaut. Le trop de masculin nous amène à trop de cerveau de tête, trop de ‘’psycho’’, trop de rigidité et le trop de féminin nourrit trop le cerveau du cœur, à savoir trop ‘’d’affectif’’, trop d’émotionnel.

Une fois l’égo équilibré, ce sont nos propres décisions que nous transformerons en actes volontaires, basés sur une conscience morale qui pourront alors mettre réellement en œuvre la magnifique triarticulation, ‘’Liberté – Egalité – Fraternité’’, triarticulation qui n’a encore jamais été appliquée.

Nous pourrons alors ajouter un adjectif à l’expression, ‘’ devenir un être unique, libre et indépendant ‘’… celui de spirituel.

L’homme sera alors passé du stade de l’animal pensant à celui d’Etre Humain.

La peur sera alors éradiquée de la surface du globe… et tous les virus et autres ‘’trucs’’ qui vont avec.

Avec tout mon Amour

Michel Montaud

* voir mon livre ‘’ De l’égoïsme à l’Amour ‘’ (site www.dentosophie.com)

Avril 2020

Se taire, alors que nous savons que les propos entendus sont erronés, c’est subir et je ne veux pas subir ! Subir, c’est aussi le féminin en l’être humain qui ne peut toujours pas prendre sa place.

C’est pourquoi, j’ai décidé de parler, parler et parler encore à toutes celles et ceux qui, pour le moment, n’ont pas pu s’exprimer et ressentent de quelle façon ces propos vibrent dans leur cœur.

J’ai aussi décidé de parler à toutes celles et ceux qui auront la volonté de parler à leur tour.

Mes écrits peuvent paraître par endroit répétitifs, mais ils me sont donnés dans cet ordre comme s’il était nécessaire de répéter, répéter…. répéter.

Toutes les réflexions que j’écris depuis plusieurs années peuvent paraître correspondre à de multiples sujets différents. Elles sont en fait toutes reliées entre elles, et nous pouvons les tourner dans tous les sens, elles se rejoignent tout le temps.

Ce texte fait partie de ces réflexions qui me sont venues dans la période que nous vivons actuellement, période qui doit nous amener à … dire.

Liens avec le tout

La science médicale a pris le pouvoir en créant une hyperspécialisation pour s’éloigner du tout. Cette hyperspécialisation a créé un gouffre inaccessible entre celui qui sait et celui qui ne sait pas. Ce gouffre lui permet de se cacher derrière la sempiternelle phrase, ‘’c’est prouvé scientifiquement’’. Confronté à cette phrase, le monde profane ne peut que se taire parce qu’il ne sait pas et pense que la médecine sait, puisque cela est prouvé.

Mais qui est allé voir ‘’ les preuves scientifiques’’ ? Personne ne va s’y hasarder, car le monde profane croit en sa médecine.

La médecine a créé des spécialistes censés être plus performants que les médecins généralistes. Elle a fait en sorte d’isoler chaque organe pour une prétendue meilleure connaissance. Or il est nécessaire de comprendre qu’il est impossible de comprendre le réel fonctionnement de l’homme en le divisant en morceaux. Utiliser cette façon de penser est le meilleur moyen de maintenir l’homme dans l’ignorance – et donc dans ses peurs – car nous serons toujours confrontés aux conséquences mais jamais aux causes.

La seule façon d’accéder à la compréhension de l’homme est au contraire de revenir à l’unité originelle et partir de l’infiniment grand pour arriver à l’infiniment petit puis, partant de l’infiniment petit (le premier couple spermatozoïde-ovule), comprendre ‘’ l’infiniment grand’’, à savoir le corps humain.

Au tout début, il y a la rencontre entre le spermatozoïde et l’ovule. Cette rencontre constitue la première cellule de l’homme. C’est la représentation de l’unité dans l’infiniment petit, comme il a existé une unité primordiale, à l’origine de tout, dans l’infiniment grand. Dans cette unité cellulaire, il existe déjà TOUT le programme de l’homme.

A partir de cette cellule originelle, nous allons assister à une première multiplication cellulaire que la biologie appelle cellules indifférenciées, parce que toutes ces cellules sont identiques. Puis les cellules indifférenciées vont se différencier en cellules spécifiques à chaque organe ; nous allons voir apparaître des cellules du poumon, du rein, du cœur, du cerveau etc. Chaque cellule va remplir le rôle pour lequel elle est programmée… mais programmée par qui ?

Qui peut me dire par quel miracle telle cellule va se diriger vers le cœur et telle autre vers le rein ? On va me répondre : c’est le fruit de l’évolution.

Mais a t-on réellement répondu à la question, lorsqu’on se contente de dire cela ?

Et puis que connaît la science de la réelle évolution à part en donner quelques hypothèses qu’elle a admises comme des vérités ?

Si nous grattons un peu plus en amont sur cette question la science devient impuissante à répondre sur ce sujet. Elle ne propose que des hypothèses qui se sont transformées en ‘’ses vérités.’’

Nous avons 50000 milliards de cellules dans le corps humain. Pendant que j’écris ces lignes, quelques milliards de ces cellules fonctionnent en même temps, se connectent les unes aux autres pour me permettre simplement d’écrire. Tout cela s’effectue en dessous de mon niveau de conscience. Je n’ai aucune idée du mécanisme intérieur cellulaire qui me permet d’écrire. Et pourtant je dois me rendre à l’évidence. Quelle beauté de la création que représente l’être humain.

C’est une alchimie gigantesque que ce corps humain en vie. Aucune machine, la plus perfectionnée soit-elle, ne peut accéder à cette performance.

Mais comment expliquer cette alchimie ?

Qui peut nous expliquer le fonctionnement magnifique de la biologie de l’homme ?

Qui peut nous expliquer véritablement la VIE ?

La médecine s’est occupé des morceaux de l’homme ; elle est allée jusqu‘à l’infiniment petit mais toujours par des constats. Elle n’est pas capable de ‘’recoller’’ les morceaux pour retrouver le tout.

La science expérimentale nous en donne la preuve.

L’homme maitrise totalement le monde de la matière. Il est capable de construire des machines de toutes sortes, de les démonter, de les remonter sans aucun problème. Il est aussi capable de ‘’démonter’’ puis d’analyser les composants d’un végétal, d’un animal, d’un homme mais il est incapable de les reconstruire, parce qu’il ne maitrise pas la VIE.

Il n’a toujours pas le pouvoir de répondre à :

Qui a programmé cette alchimie qui a donné la Vie?

Comment, d’une seule cellule peut-on arriver à 50000 milliards de cellules, qui collaborent de concert, alors que chaque cellule a son identité propre ? C’est une solidarité sans faille que nous propose le corps humain à travers le fonctionnement autonome mais altruiste de ses cellules.

Et maintenant tournons nous vers les 7 ou 8 milliards d’êtres humains, uniques eux aussi par leur fonctionnement propre, et imaginons qu’ils sont les cellules de l’organisme Terre, c’est-à-dire qu’ils fonctionnent eux aussi de concert pour que la Terre vive naturellement, selon sa biologie propre. Nous obtenons alors une solidarité parfaite, seule garante de l’harmonie du tout.

Alors nous passons de nouveau de l’infini petit à l’infini grand.

Dans tous les domaines l’hyperspécialisation s’éloigne du tout, de l’unité originelle. Chaque discipline a adopté ce mode de fonctionnement et s’est développée chacune à sa façon en s’éloignant de la globalité. Cette hyperspécialisation permet à tous les secteurs d’activité de se cacher derrière leur propre savoir.

Chaque cellule de l’organisme Terre fonctionne dans l’individualité mais s’est séparée du tout.

Le confinement actuel nous amène à des constats. D’abord que tout notre système humain est réellement basé sur l’économie et l’argent. Que tout s’effondre dès que l’économie disparaît. Un simple virus remet tout en question.

La science médicale détient le pouvoir et fait croire au monde, qu’elle sait, qu’elle maitrise. Et quand elle ne maitrise plus rien, comme pour la pandémie actuelle, elle veut montrer encore qu’elle a le pouvoir de décision et la puissance. Pour cela elle a apporté le dogme, la pensée de ‘’la contagion’’. Ce dogme lui permet de rester le maître de la situation. A travers ce dogme, elle donne ses ordres pour contrer la ‘’contagion’’.

Mais qui peut remettre en question le principe de cette contagion, en restant figé sur les bases scientifiques qui nous amènent au dogme de la contagion virale?

La science médicale et la science en général ne veut pas entendre d’autres idées, d’autres réflexions qui vont à l’encontre de ses ‘’certitudes’’. Tout ce qui sort de leurs ‘’certitudes’’ ne peut pas être audible.

Mais ce faux dogme qu’est la contagion virale va nous permettre de vivre quelque chose d’unique et peut-être de voir le fonctionnement de l’homme.

Sur quoi est basée la contagion virale ? Elle repose sur la peur de transmettre mais surtout de contracter la maladie. A l’origine, il y a la peur de tomber malade. Puis nous allons, encore une fois, créer un autre mode de pensée en faisant croire que nous sommes des altruistes et que nous ne voulons pas transmettre la maladie aux autres. Cette pensée devient noble aux yeux du monde mais elle est un alibi pour ne pas montrer notre égoïsme, à savoir la peur de contracter la maladie pour nous ou pour nos proches.

Ce système de confinement nous montre l’égoïsme de chacun, lorsque nous voyons les gens se ruer dans les supermarchés pour stocker de la marchandise, sans se soucier s’il en restera pour les autres. Où se situe l’altruisme et le ‘’civisme’’ évoqués par tout le monde, alors que nous sommes encore face à nos peurs.

Ce phénomène de ‘’pseudo contagion’’ nous amène au constat du fonctionnement égoïste généralisé de l’homme actuel.

Nous sommes partis de la science médicale, de la science en général. Nous sommes partis de l’hyperspécialisation dans tous les secteurs pour arriver au constat d’un fonctionnement généralisé de l’égoïsme dans l’homme. Devant ce fonctionnement égoïste, qui est insupportable à nos yeux, nous allons utiliser tout un tas de théories pour faire croire aux hommes qu’ils pensent aux autres, car il est bien plus respectable, vénérable, d’avoir un fonctionnement altruiste qu’un fonctionnement égoïste. Nous savons tout cela ; nous ne supportons pas l’égoïsme chez les autres mais nous ne voyons pratiquement jamais notre propre comportement égoïste.

Nous voudrions bien être altruistes mais nous en sommes, actuellement, incapables.

Si maintenant nous évoquons la pensée que la contagion d’un virus n’existe pas, mais que c’est la peur ‘’d’attraper’’ – pour les plus adroits – ce virus qui est contagieuse, en sachant que la peur est une des facettes de l’égoïsme, alors que se passe t-il ?

Toutes nos théories médicales s’effondrent ; tout notre pouvoir scientifique s’écroule ; le monde médical, qui a le pouvoir sur les autres, n’est plus crédible. Mais pour cela il va falloir changer de paradigme et ne plus se contenter de réflexions matérialistes. Il va être nécessaire d’élargir de façon drastique la connaissance véritable de l’homme.

Qui sommes-nous réellement ?

Si nous voulons véritablement faire avancer la science médicale, on ne peut plus

fonctionner intellectuellement sur la base de la loi de ‘’cause à effet’’, qui s’applique seulement au monde de la matière. Il nous faut prendre conscience que cette loi ne peut s’appliquer au vivant, que la science médicale ne connaît pas la vie, n’explique pas la vie ; elle se contente de la constater et elle utilise les lois de la mécanique qui ne peuvent pas s’appliquer à la biologie.

Pour expliquer la vie il va falloir sortir du concept, cellules, pour entrer dans la physique et la médecine quantique et parler d’ondes et d’énergie vibratoire. Les ondes sont véhiculées dans le corps par l’eau et c’est le fonctionnement vibratoire de l’eau dans le corps qui peut nous permettre de commencer à comprendre autrement la vie. Ces mouvements ondulatoires prennent tous leur sens lorsque nous constatons que nous avons créé un électromagnétisme gigantesque qui entoure et asphyxie toute la planète. Ce phénomène vibratoire électromagnétique vient bien évidemment perturber le fonctionnement ondulatoire intra cellulaire de l’homme car l’homme est un être électrique.

Un simple aimant est capable de transformer de la limaille de fer ; cela signifie qu’un tout petit courant magnétique est capable de modifier la structure moléculaire d’un métal ; cela nous l’observons avec nos yeux physiques. Et nous sommes incapables de penser qu’à l’échelle mondiale, les courants électromagnétiques aient un effet sur l’homme, uniquement parce que nous ne pouvons pas les observer avec nos yeux !

Toutes nos cellules ont un fonctionnement électromagnétique propre qui permet la circulation de l’énergie vitale. La puissance électromagnétique environnementale vient perturber le fonctionnement intérieur de ces cellules et particulièrement la fonction de l’oxygène dans l’eau.

Ce dysfonctionnement de l’oxygène cellulaire va entrainer des symptômes au niveau des organes.

Et quel est le système le plus touché en tout premier lieu ? C’est le système cardio respiratoire et les organes poumons-cœur, qui sont les ‘’organisateurs’’ de l’oxygène dans le corps humain. Et quels sont les symptômes provoqués par le fameux ‘’corona virus’’ ? Ce sont des détresses respiratoires et cardiaques.

La ville de Wuhan, d’où est partie ‘’l’épidémie’’, est la première ville au monde qui est entièrement sous l’emprise de la 5G. La 5G multiplie de façon vertigineuse la vitesse de connexion du système Internet. Donc elle multiplie de façon vertigineuse les ondes électromagnétiques. Depuis plusieurs dizaines d’années maintenant, il existe des études indépendantes qui ont prouvé les effets destructeurs de la communication sans fil et notamment des téléphones portables. Pourtant une poignée de personnes continue à mettre en place la destruction de l’homme, en augmentant de façon drastique les fréquences des ondes électromagnétiques… avec l’aval des hommes qui sont devenus tous dépendants de leur téléphone portable.

Les hommes sont responsables ‘’du processus viral’’, qui est en fait la conséquence de l’empoisonnement des cellules, qui progressivement succombent à l’agression incessante de l’électromagnétisme, agression portée à son paroxysme par l’activité totalement destructrice de la 5G *. Les hommes les plus vulnérables vont mourir ; ceux un peu moins atteints vont tombés malades et les autres ne vont pas développer la maladie pour le moment, mais toute l’humanité est touchée par l’électromagnétisme et ces épisodes ‘’pseudo épidémiques’’ vont se répéter de plus en plus fréquemment pour que l’homme prenne enfin conscience (ou pas) de l’urgence d’arrêter cette course folle à l’électromagnétisme… et donc au fonctionnement matérialiste poussé à son paroxysme.

«  Les virus sont simplement l’excrétion d’une cellule empoisonnée ; les virus sont des morceaux d’ADN ou d’ARN, ou de quelques autres protéines ; elles sont expulsées de la cellule. Ils apparaissent quand la cellule est empoisonnée. Ils ne sont la cause de rien.»

R. Steiner a dit cela en 1918.

Certains vont rétorquer, ce sont des stupidités ; d’autres, plus respectueux, vont parler d’hypothèses sans fondement !

Mais alors, soyons réellement scientifique et surtout de réels chercheurs, c’est-à-dire des personnes qui veulent trouver coûte que coûte, sans état d’âme, sans vouloir faire coller leur recherche à leurs ‘’certitudes de bases’’. Allons vérifier ces hypothèses, plutôt que de les rejeter sous prétexte qu’elles vont à l’encontre de nos propres idées.

Je fais partie de ces chercheurs qui ont été capables, d’accepter de remettre en question leur enseignement acquis, lorsque celui-ci montre ses limites, pour pratiquer le ‘’pourquoi pas’’ de chaque nouvelle idée, et surtout de ne pas les juger avant d’avoir fait le travail nécessaire pour les approfondir.

J’ai fait, je fais et je continuerai à faire ce travail au sujet de l’héritage que nous a laissé R. Steiner. Je peux dire, à l’heure actuelle, que je n’ai encore jamais rencontré un travail aussi cohérent, un travail qui englobe autant la totalité de l’humanité et du cosmos et que je suis disponible à dialoguer devant n’importe quelle personnalité sans aucune polémique.

Seulement il existe un petit problème. Pour pouvoir dialoguer avec la communauté scientifique, il est nécessaire de faire partie de celle-ci.

C’est elle et elle seule qui décide des ‘’données actuelles de la science’’.

C’est elle et elle seule qui répète inlassablement la phrase, ‘’c’est prouvé scientifiquement’’. C’est donc un réel cercle vicieux auquel nous nous confrontons, car il est impossible d’apporter des hypothèses nouvelles à une structure qui s’auto alimente par des raisonnements qui ne peuvent jamais être remis en question. Ne faisant pas partie de la communauté scientifique, je ne pourrais donc jamais échanger avec elle.

Le deuxième problème est que cette communauté scientifique est la seule à pouvoir communiquer à travers les médias. Les autres n’ont aucun droit à la parole, donc ils ne peuvent pas apporter des idées nouvelles, à partir desquelles nous pourrions penser peut-être autrement.

La communauté scientifique a donc un pouvoir dictatorial, car aucune remise en question n’est possible. Nous sommes devant une réelle manipulation mentale… et une manipulation mentale est le synonyme de secte.

Et pourtant, si nous grattons réellement nous arrivons à un constat qui remet en question toutes les ‘’certitudes médicales’’ :

Aucune maladie ne peut être véhiculée par l’extérieur ; toutes les maladies sont créées par l’homme lui-même et les virus en font partie.

Il n’y a pas d’épidémie véritable. Il n’existe pas de contagion due à une épidémie. Il existe des avertissements du monde spirituel, sous forme de maladies internes à chaque homme, maladies qui ne peuvent pas être transmises aux autres, si la peur et l’égoïsme ne dominent pas, mais qui doivent permettre d’élever notre conscience. Pour cela il va être nécessaire de remettre en question tout notre ‘’savoir’’ médical pour aller chercher la connaissance véritable de l’homme.

Il va falloir accepter de revoir ‘’toutes les données actuelles de la science’’, derrière lesquelles la médecine se cache et nous fait croire qu’elle sait.

Mais comment remettre en question les ‘’données actuelles de la science’’ alors qu’elles sont entre les mains des mêmes personnes qui en sont les garants ?

Elles ont acquis un énorme pouvoir et avec cela l’argent qui va de pair. Elles ne veulent surtout pas perdre ce pouvoir ; donc elles n’acceptent pas les autres voies de recherche possibles ; elles n’acceptent même pas de les entendre et les dénigrent sans les connaître.

J’ai la preuve de tout cela. Cela fait plus de trente ans que nous observons des changements profonds physiques et psychiques chez les personnes qui ont utilisé la voie de l’humano-dentosophie. Nous n’en sommes plus au stade des hypothèses mais des certitudes. Et pourtant personne ne connaît l’humano-dentosophie dans les facultés de médecine, donc dans le grand public.

Depuis de nombreuses décennies (et même des siècles, ou des millénaires, si on se réfère à la médecine chinoise traditionnelle) de réels chercheurs de tous bords apportent des solutions à notre médecine décadente mais ils sont totalement ignorés.

La science médicale ne veut absolument pas entendre d’autres hypothèses que ses certitudes mais pourtant, dans la situation actuelle, elle nous montre son incapacité totale à comprendre l’événement. Elle n’agit que sur des conséquences et nous fait croire que le confinement est la seule solution. Lorsque l’épidémie sera terminée, elle va nous dire que cela est dû au confinement, alors qu’il a existé de nombreuses épidémies dans le passé et toutes se sont éteintes d’elles-mêmes sans confinement. Une ‘’épidémie’’ apparaît, atteint un pic puis disparaît lorsque toutes les personnes qui devaient la vivre sont soit mortes, soit guéries.

Pourquoi certaines personnes ne sont pas touchées par la ‘’contagion’’, si la contagion est réelle ? On nous répond qu’elles sont immunisées ou plus résistantes. Mais alors pourquoi sont-elles plus résistantes ? Si nous sommes de réels chercheurs, allons étudier cette résistance qui épargne de la ‘’contagion’’.

Ou peut-être, n’y a t-il pas de contagion ? Et alors cette contagion, proclamée par la médecine, ne serait qu’un subterfuge pour masquer l’ignorance et l’impuissance de cette médecine ! Car, si la contagion n’existe pas, la médecine doit alors chercher le pourquoi d’une telle hécatombe de malades et remettre en question toutes les certitudes qu’elle véhicule en nous faisant croire depuis plus d’un siècle que les maladies viennent de l’extérieur et que nous pouvons les guérir grâce aux médicaments et à tout ce qu’ils rapportent économiquement.

Les épidémies apparaissent pour nous ouvrir les yeux comme les tsunamis, comme toutes les catastrophes qui s’accumulent de plus en plus fréquemment depuis quelques années.

Nous devons recoller les morceaux des hyperspécialistes. L’hyperspécialisation nous amène dans des impasses intellectuelles et pratiques et nous ont permis de mettre en place un système de fonctionnement de l’homme totalement erroné où la pensée et le respect de l’autre n’existent pas véritablement. Chacun ne pense qu’à lui-même et seulement après il se tourne éventuellement vers l’autre.

Ce mode de fonctionnement égoïste est un passage obligé de l’évolution de l’homme ; nous devions passer par là mais maintenant il est nécessaire de prendre conscience que nous devons revenir à l’origine, c’est-à-dire à l’amour inconditionnel, celui qui nous permet d’aimer autant notre voisin que nos enfants.

Cet amour inconditionnel passe obligatoirement par la gestion de l’égo. L’égoïsme est toujours un paroxysme d’égo, un égo qui n’est plus à sa place, soit en défaut soit en excès. Nous devons retrouver cet équilibre dans l’égo et nous avons la possibilité de voir ce déséquilibre dans la bouche des hommes. Nous avons les moyens de voir extérieurement de façon physique et palpable le fonctionnement intérieur de l’homme à travers sa bouche. Toutes les expériences réussies à travers le travail de l’humano-dentosophie nous montrent que les êtres humains rencontrent petit à petit le contraire de l’égoïsme… l’amour.

Nous devons tirer les leçons de cet épisode viral sinon nous allons en voir arriver de plus en plus.

Le fonctionnement de la société dépend totalement du fonctionnement interne de l’homme. Pour espérer créer une société libre, égale et fraternelle il est impératif de comprendre le fonctionnement interne de l’homme, c’est-à-dire la liberté intérieure, l’égalité intérieure et la fraternité intérieure. Nous sommes arrivés à un point où nous ignorons pratiquement tout du fonctionnement intérieur de l’homme. C’est une remise en question totale et les événements du pseudo virus nous en apportent la preuve.

Le fonctionnement intérieur de l’homme ne pourra être compris que si la science médicale accepte de voir toutes ses limites et de remettre totalement à plat les ‘’données actuelles de la science’’. La physique et la médecine quantique sont sur ce chemin et elles remettent en question, au niveau de la biologie, toute la physique de Newton et la médecine actuelle.

Mais nous ne pourrons pas nous arrêter à ce stade. Si nous voulons sortir de l’hyperspécialisation et retrouver l’unité primordiale de l’homme, il va falloir rejoindre obligatoirement la plus grande partie, qui a été occultée par le monde matérialiste, à savoir la partie spirituelle de l’homme et j’ai bien dit spirituelle et non religieuse. Il peut exister une grande confusion entre spiritualité et religion. Pour certaines personnes ces deux mots sont pratiquement synonymes. Or il s’avère que la religion est une goutte d’eau dans l’océan de la spiritualité. La religion a été créée par les hommes à la suite du passage de l’entité christique sur Terre, à une époque où l’humanité avait totalement perdu son lien avec sa spiritualité atavique. Elle était alors nécessaire pour permettre à l’homme de tenter de se relier (religion vient du mot ‘’religare’’ qui signifie, relier) à cette spiritualité disparue.

Aujourd’hui, il nous est demandé de retrouver notre partie spirituelle ‘’égarée’’, dont la réelle science physique est issue ; c’est cette partie spirituelle qui nous permettra de faire disparaître l’égo en excès au profit d’un Amour, qui attend depuis longtemps de retrouver sa place.

L’homme doit passer progressivement d’un égoïsme inconscient à un égoïsme conscient, à savoir voir son égoïsme pour pouvoir le traquer et par la suite le supprimer. L’égoïsme inconscient correspond à l’état d’être actuel de l’homme. L’homme est, pour l’instant au stade de ‘’l’animal pensant’’, c’est-à-dire un égoïste qui pense. Il doit accéder un jour au stade d’Etre Humain, c’est-à-dire un ‘’Homme qui aime’’.

La définition d’un être humain pourrait être : l’Amour qui circule en l’Homme.

Pour le moment l’égoïsme inconscient de l’homme entretient son déséquilibre. C’est son fonctionnement déséquilibré qui provoque ses propres maladies, maladies qui créé une société déséquilibrée, donc une Terre qui est en train d’exprimer ses propres maladies, à savoir, entres autres, les épidémies.

Le but de la formation de la Terre est l’apparition de l’humanité. La Terre s’est développée progressivement, tout au long de son évolution, pour permettre à l’homme d’apparaître. La Terre ne peut exister sans l’homme et l’homme ne peut pas vivre sans la Terre.

Si nous voulons soigner la Terre et régler les dégradations que nous lui avons causées, il ne faut pas se tromper de cible et se pencher sur chaque dégât en particulier. (Par exemple vouloir s’occuper de l’agriculture séparément de la pollution ou du politico-juridique ou de la médecine etc…)

Les maladies de la Terre sont des conséquences aux agissements de l’homme. Si nous voulons faire disparaître les conséquences, il faut s’adresser aux causes, c’est-à-dire aux hommes et aller comprendre leurs maladies.

Pour résoudre les problèmes de la société et de la Terre, il faut que l’homme s’équilibre et fasse le lien irremplaçable entre sa partie terrestre, matérielle, et sa partie cosmique, spirituelle. Ou dit autrement et de manière plus accessible à l’écoute actuelle, entre sa partie masculine et sa partie féminine.

Cela passe par un changement drastique de notre fonctionnement purement intellectuel, qui a pris toute la place dans une société tournée actuellement totalement vers le masculin.

J’insiste sur le fait que je parle bien du féminin et du masculin dans l’être humain et non de la femme et de l’homme en tant que sexe et qu’il existe donc aussi des hommes à dominante féminine et des femmes à dominante masculine.

Seule la rencontre entre ces deux pôles peut amener l’harmonie dans l’Homme et c’est toute la Tâche que doit accomplir l’humanité si elle veut continuer son évolution.

Nous avons la possibilité de voir les fonctionnements en excès – féminin ou masculin – dans nos bouches. Nous avons donc une lecture physique capable de suivre notre propre évolution spirituelle, de visualiser nos propres blocages et d’avoir la possibilité, si nous le voulons, d’y remédier.

Dans la phrase précédente les mots ‘’si nous le voulons’’ sont capitaux, car ils nous emmènent vers un univers pratiquement méconnu… les forces de volonté de l’homme. En effet nous sommes, à peu près tous, persuadés que nous avons de la volonté. Nous effectuons tous les jours, durant notre travail, des actes issus de notre volonté ; enfin, c’est ce que nous croyons. En fait nous agissons par la réaction à des événements, qui nous sont tous dictés de l’extérieur ; nous obéissons à nos parents, lorsque nous sommes enfants, puis, lorsque nous sommes adultes, à nos dirigeants, à nos supérieurs, à des règles propres à chaque profession, à des situations de concurrence etc. Nous réagissons en fonction de notre éducation aussi, guidée uniquement par le processus de ‘’domestication sociale’’, c’est-à-dire tout ce que nos parents, nos enseignants, la société nous ont appris. Tout ceci nous a amené à, ‘’être pensé’’ et a utilisé des ‘’réactes’’ robotisés face à des situations devenues habitudes.

Nous ne sommes pratiquement jamais dans la volonté véritable, qui demande de mettre en route des forces intérieures le plus souvent inexploitées. Ces forces vont entrainer des Actes, qui dépendent uniquement de nous, et qui sont le fruit d’un cheminement intérieur qui nous oblige, dans un premier temps, à nous arrêter sur le moment présent, car seule la présence à soi est susceptible de nous permettre de penser par nous-mêmes.

Alors seulement nous pouvons mettre en place des actes en conscience alors que les ‘’réactes’’ sont effectué dans l’inconscient, de façon machinale, par habitude.

Nous en avons un exemple extraordinaire avec l’épidémie virale actuelle.

Nous sommes tous devenus des ‘’zombis’’, obéissant à des ordres venant du ‘’Père’’, comme tous les enfants le font naturellement au moment de leur apprentissage, car, à cette période de leur vie, les enfants ne peuvent pas encore penser par eux-mêmes.

Mais, nous ne sommes plus des enfants et pourtant nous continuons à accomplir des gestes sans comprendre. Nous allons tous nous confiner parce que le ‘’Père’’ a dit, sans chercher à savoir si, ce que dit le ‘’Père’’, est juste ; mais surtout, si nous sommes sûrs que le ‘’Père’’ lui-même soit certain de ce qu’il dit.

Essayons d’analyser la situation actuelle. Nous avons les plus hautes instances médicales ‘’qui savent’’ et tout le monde en est persuadé. Ce comité scientifique va informer le président de la république qui va donner ses ordres au peuple. Donc la décision repose sur les plus hautes instances médicales. Tout ce que va dire ces instances va être suivi à la lettre sans que personne n’ait la possibilité de dire autrement.

Et si, ce que disent les plus hautes instances médicales n’était pas juste ?

Qui est allé vérifier ce que disent les plus hautes instances médicales, dans cet événement précis, et plus en général, dans tous les domaines de la médecine ?

Donc les plus hautes instances médicales ont tout pouvoir et surtout celui de vie ou de mort sur la population.

Il existe de nombreuses personnes, dont je fais partie, qui ont amassé suffisamment de preuves pour remettre totalement la médecine actuelle en question. Seulement nous le savons, la médecine détient le pouvoir ‘’des données actuelles de la science’’ et c’est elle, et elle seule, qui décide de ses données actuelles. Et si une personne a l’audace d’apporter des idées nouvelles, elle est mise au banc des accusés comme lanceur d’alerte, complotiste, ou sectaire.

Les plus hautes instances médicales se cachent derrière la phrase qui règle tous les problèmes : ‘’c’est prouvé scientifiquement.’’

Derrière cette phrase plus aucune discussion n’est possible. Cette phrase s’adresse à tous ceux ‘’qui ne savent pas ou ne croient pas savoir’’ ; alors ces derniers se taisent devant ceux qui ‘’savent’’, mais surtout sont persuadés ‘’qu’ils ‘’savent’’.

Alors arrêtons nous un instant devant l’incohérence des ‘’savants’’. Et posons les questions auxquelles nous n’avons aucune réponse causale.

Quelqu’un dans la population sait-il réellement à quoi correspond un virus ?

Pourquoi une épidémie virale arrive t-elle ?

Les épidémies existent depuis très longtemps et toutes, sans exception, s’arrêtent toute seule. Pourquoi celle-ci nécessite t-elle un confinement ?

Pourquoi tous les médias ont rejeté tout autre sujet d’information et annonce en boucle tous les jours le nombre de morts à la télévision ?

Est ce que lors d’une épidémie de grippe, on annonce les morts chaque jour ?

Les instances médicales sont au courant que cette épidémie tue moins que la grippe, alors pourquoi avoir créé cette psychose ?

Pourquoi interroge t-on à la télévision uniquement les personnes qui entretiennent cette psychose ?

Plus ce confinement se prolonge et plus nous assistons à une agressivité sous-jacente, vis à vis de ceux qui ne respectent peu ou pas les ‘’ordres’’. On parle alors de manque de civisme, alors que seule la peur pour soi est importante pour la grande majorité des gens. Cette situation crée cette agressivité par manque de connaissance.

Le ‘’savoir’’ de la médecine est impuissant devant la connaissance véritable, mais il nous conduit à l’infantilisme et à rejeter la faute sur les autres. Il n’explique rien mais décide de tout et l’homme, ou plutôt ‘’l’animal pensant’’, obéit comme le chien à son maître.

La ‘’pseudo-contagion virale’’… pourquoi ‘’pseudo’’ parce que la contagion n’est pas virale, elle est de PEUR.

C’est la peur qui véhicule le virus et déclenche la maladie – comme toutes les maladies d’ailleurs -, non le virus lui-même, sinon il va falloir m’expliquer pourquoi tout le monde n’est pas touché ?

– La médecine répond : certains sont plus résistants que d’autres.

Alors pourquoi certains résistent plus ?

– La médecine répond : parce qu’ils ont un système immunitaire plus performant.

Mais alors pourquoi ce système immunitaire est-il plus performant ?

Où sont les réelles réponses médicales à ces questions ?

La médecine se contente de mots qu’elle distribue à ‘’ ceux qui ne savent pas qu’elle n’en sait rien’’.

Qu’est ce que le système immunitaire ? C’est une nébuleuse qui est censé nous dire que c’est le système qui permet de combattre les ‘’agresseurs’’ de l’organisme. Cela est encore une définition, un constat.

Mais pourquoi est-il plus performant chez certains ?

Elle se situe à cet endroit la véritable recherche.

Tout d’abord ramener à la conscience que chaque être humain est unique au monde et qu’il est donc impossible de le mettre en tableau ou en statistique. Ensuite aller comprendre pourquoi cet être unique va développer un système immunitaire plus performant que son voisin, de la même façon qu’une cellule du corps peut dysfonctionner ou pas.

Pour répondre à ces questions il est urgent de sortir du ‘’savoir’’ de la médecine et de prendre conscience qu’elle n’a aucune réponse à donner à toutes ces questions.

Alors pour espérer trouver des réponses, il faut s’investir personnellement, penser par nous-mêmes, aller chercher nos propres forces de volonté, qui vont nous faire agir pour aller voir les ‘’mensonges’’ de notre médecine.

Nous ne pouvons plus ‘’avaler’’ bêtement tout ce qu’ON nous dit sous prétexte ‘’qu’ils savent’’.

Non, c’est faux, ils ne savent pas et les preuves de leur ignorance existent.

Nous avons encore une preuve de tout cela.

Lorsque l’homme arrive sur la Terre, il va être doté de plusieurs sens qui vont lui permettre de percevoir et de faire les liens indispensables entre le monde extérieur et son monde intérieur. Il en existe cinq connus, qui sont le toucher, le goût, l’odorat, la vue, et l’ouïe, et sept sont restés inconnus au savoir de la médecine.

Tous ces sens sont nécessaires mais pas indispensables à la vie sauf une exception, celui du toucher.

Si un enfant n’est pas touché dès la naissance, il dépérit. Le sens du toucher est le seul sens vital. Puis les hommes vont grandir et vont ressentir le besoin suprême de se toucher, de s’enlacer, de s’embrasser, de vivre des contacts corporels.

Par ses gestes l’homme accède à sa réelle nourriture terrestre. S’il n’a plus cette nourriture, il devient fou mais cela peut passer, dans un premier temps par l’agressivité puis la violence quelque fois chez certains.

Et que nous proposent les décideurs face à cette épidémie ?

De ne plus nous toucher et même de nous repousser, de ne plus avoir aucun contact physique. Ceci ne peut pas être juste car si nous poussons ce raisonnement à l’extrême c’est la perte de la race humaine. Et nous observons que cette attitude provoque de plus en plus d’agressivité. Le confinement nous apporte encore une preuve que, non seulement il ne faut pas s’écarter lors de cette pseudo-contagion mais qu’il faut au contraire s’enlacer, s’embrasser, se toucher. Nous nous apercevrons alors que l’épidémie ne sera pas plus importante, mais pour cela il faut faire l’expérience, expérience qui a déjà été réalisée lors d’épidémies de grippe il y a quelques années.

Je l’ai déjà écrit dans ma précédente réflexion.

Nous arrivons sur la Terre empli de l’Amour Universel, un Amour incommensurable totalement inconscient, puisque la conscience ne s’est pas encore révélée. Nous allons revivre, pendant les trois premières années de notre vie, toute l’histoire de l’évolution de l’homme. A partir de l’âge de trois ans, l’enfant va commencer à dire ‘’moi’’ ; c’est le réel début de l’individualisation. L’homme va croitre et devenir de plus en plus conscient de son individualité, jusqu’à devenir individualiste.

Le moi – ou égo – de l’homme va prendre toute la place et, inconsciemment, il va glisser vers son paroxysme, l’égoïsme. A ce stade, l’homme est allé trop loin et va véhiculer un égoïsme qu’il va vivre, le plus souvent, dans l’inconscient. Il va se retrouver en état de manque d’amour toute sa vie, manque qu’il va vouloir compenser par le seul moyen qu’il a mis en place actuellement… l’argent.

Or cela est impossible car cet amour est la seule NOURRITURE vitale de l’homme. L’homme ne peut pas vivre sans amour… actuellement il ne fait que survivre. Si l’homme manque de sa nourriture amour, le seul et unique remède existant sur la Terre, dont il a un besoin urgent, est justement cet Amour.

Les dégâts de la Terre ont été créés par les hommes malades ; seuls les hommes guéris auront les actes justes pour guérir la Terre.

Donc, pour sauver la Terre, il faut en premier lieu que les hommes se sauvent.

Pour cela ils doivent accéder à la compréhension réelle de leur propre fonctionnement.

L’homme malade a créé la médecine ; c’est parce que l’homme est devenu malade que la médecine a existé. Elle a pris le train en marche. La médecine est la conséquence de l’homme malade, donc elle n’a pas le pouvoir de trouver la solution à l’homme malade, puisqu’elle n’en est que conséquence.

Pour que l’homme malade recouvre la santé, il ne peut plus fonctionner en pensant guérir à l’aide des pensées issues de conséquences, à savoir la médecine. Car la médecine utilise le même cerveau pour comprendre les maladies, que le cerveau qui a servi à l’homme pour se déséquilibrer.

Ce savoir médical doit disparaître au profit d’un autre mode de penser, basé sur les causes profondes qui ont amené l’homme à devenir malade.

C’est à ce prix, et seulement à ce prix, que nous pourrons sauver l’homme et sa planète.

Car l’homme, devenu sain, ne pourra pas fonctionner autrement qu’avec des pensées saines qui entraineront des actes justes.

Actuellement le monde égoïste, donc le monde malade nous propose des solutions ‘’malades’’. Le monde d’amour nous demande de nous toucher, de nous enlacer ; le monde égoïste, à travers ses ‘’plus hautes instances médicales’’, nous oblige à nous confiner, à nous repousser. Une humanité déséquilibrée ne peut que proposer des solutions déséquilibrées.

J’ai un ami, Roger Mc Gowen, condamné à mort pour un crime qu’il n’a pas commis, qui a vécu 33 ans dans le couloir de la mort au Texas. Les prisonniers y sont totalement confinés, sans contacts, et la plupart deviennent fous.

Roger va descendre en ‘’enfer’’, ‘’vivre l’enfer’’ pendant plusieurs années, avant qu’il ne ressente sa spiritualité enfouie quelques années après sa naissance.

Il va rejoindre alors l’Amour qui va devenir son compagnon de cellule.

Roger a dépassé toute haine et développé un Amour inimaginable aux yeux du monde égoïste.

Roger a vécu les deux humanités, celle de l‘égoïsme d’abord et celle de l’Amour ensuite. C’est la Tâche de tout homme sur cette terre. Il est un exemple que cela est possible.

Roger nous a dit que, ce dont il a le plus souffert, c’est de ne pas pouvoir prendre un ami dans ses bras. Il se déclare totalement libre, car la réelle liberté ne se situe qu’en esprit. Une seule chose lui manque … le contact avec les autres êtres humains, avec les autres cellules de l’humanité, de la même façon que la santé est la réalisation de l’unité de toutes les cellules de notre corps. De la même façon que le corps humain a besoin de l’harmonie parfaite entre toutes ses cellules, la Terre a besoin de la fraternité parfaite entre tous ses humains, c’est-à-dire de la complémentarité de tous les hommes. Nous avons tous besoin les uns des autres ; l’évolution ne pourra pas se réaliser si chaque être humain fonctionne individuellement sans se préoccuper du tout.

C’est pourquoi le confinement des hommes sera toujours une solution opposée à la vie.

Ecoutons ce que dit notre cœur et arrêtons d’écouter les autres qui fonctionnent seulement avec leur tête.

Nous ne nous pouvons plus nous contenter de parler d’amour, de chanter l’amour, maintenant il faut le vivre, en être contagieux partout où nous nous trouvons.

Elle se situe à cet endroit la réelle contagion.

Coluche a dit :

‘’ Ce n’est pas parce qu’un million de cons disent la même chose, qu’ils ont raison. ’’.

Je vais simplement rectifier son propos en enlevant le jugement et dire :

‘’ Ce n’est pas parce que des milliards de personnes disent la même chose, qu’elles ont raison. ’’

Il nous est demandé maintenant de dire les choses, de parler, de s’exprimer.

Toutes les personnes qui ressentent ces propos comme justes, qui sont touchées par ces propos au niveau du cerveau du cœur, et pas seulement au niveau du cerveau de la tête, doivent en parler.

Si nous nous taisons cela signifie que nous acceptons, que nous sommes toujours au niveau du ‘’zombi’’ et de ‘’l’animal pensant’’.

Si nous voulons retrouver le statut d’être humain, nous devons nous exprimer, dire et faire les choses que nous ressentons comme justes.

Nous n’avons plus le droit de nous taire.

Les personnes, qui pensent autrement que la pensée actuelle et qui se taisent, sont encore sous l’emprise de la peur, donc de leur égoïsme. Elle cautionne cette pensée, en se taisant, et se comporte en victime.

Il ne suffit pas de penser à l’amour, de parler d’amour, il nous faut agir par amour.

Agir par amour, cela commence par dire les choses que nous ressentons comme justes, même si ces choses vont à l’encontre des paroles de milliards de personnes.

Puis faire les choses comme, par exemple, ne plus accepter ce confinement sans rien dire.

Alors, quand allons–nous, tous, nous réveiller ?

Avec tout mon Amour

Michel Montaud

* Voir la vidéo ‘’5G l’apocalypse’’.

Immunité et vaccin – Mai 2020

Le corps physique ne peut pas être malade, puisque le corps physique seul est le cadavre ; or un cadavre, n’a pas de vie donc ne peut pas être malade. Pour que la maladie existe, il est nécessaire que la vie soit présente. C’est la vie intérieure de l’homme qui crée ou pas la maladie. La maladie est donc une fonction biologique naturelle provoquée par le corps humain dans sa totalité, c’est-à-dire Corps Physique, Corps de Vie, Corps Astral et Moi. Seul le Moi de l’homme peut ‘’décider’’ de la maladie ou de la santé, en sachant que la maladie est une santé qui n’est plus à sa place.

Le rôle de la maladie est de prévenir en conscience le Moi, qu’il vient de développer une maladie dans son inconscient. La maladie amène à la conscience ce qui serait resté inconscient sans son intervention.

La maladie ne vient jamais de l’extérieur ; elle est toujours provoquée par nous –mêmes soit de façon consciente, mais le plus souvent de façon inconsciente.

Tout ce que la médecine nous donne comme cause des maladies, venant de l’extérieur, ne sont en fait que des agents déclenchants, surajoutés à un terrain – le corps – géré par le Moi de l’homme.

Le concept de la médecine, qui consiste à penser que la maladie est provoquée par l’extérieur, est erroné et donc, la guérison ne pourra jamais venir des médicaments et des vaccins.

Que nous dit la médecine ? Qu’est ce que l’immunité  pour elle ?

Il se situe à cet endroit le drame actuel ; la médecine joue aux apprentis sorciers avec une immunité dont elle ne connaît pratiquement rien, à part l’avoir constaté ; elle nous fait encore croire qu’elle sait, alors qu’elle ne connaît absolument rien du déclenchement exact de l’immunité.

La médecine a constaté que notre système immunitaire était capable de créer des anticorps face à des agresseurs, qu’elle a nommé ‘’antigènes’’. Elle a décortiqué le processus physico-chimique, c’est-à-dire les mécanismes que le corps met en place lors d’agressions extérieures. Elle fonctionne selon la logique de cause à effet, c’est-à-dire sur un mode de raisonnement, valable pour le monde de la matière mais incomplet dès que nous touchons à la vie dans l’homme. Car la vie est gérée uniquement par le Moi de l’homme, qui est totalement individuel et ne peut pas être mis, ni en pourcentage, ni en statistique, qui sont pourtant les seuls moyens dont dispose la médecine pour annoncer ses ‘’preuves’’ considérées comme indiscutables.

Mais à aucun moment la médecine répond à ces questions :

Par quel miracle le corps met-il en route tous ces mécanismes de défense ?

Qui orchestre tout cela ?

Depuis Pasteur, elle fait croire à l’humanité que l’homme ne peut pas se défendre seul et qu’il a besoin qu’ON lui provoque ses anticorps.

Les vaccins sont élaborés après chaque épidémie, c’est-à-dire après que de nombreuses personnes soient mortes ou immunisées. Donc nous allons injecter des vaccins pour que les autres n’attrapent plus la maladie, alors qu’ils ne l’ont pas contractée lors de l’épidémie. Et puis ces vaccins, censés nous immuniser, doivent être réinjectés car ils ne sont plus efficaces au bout d’un certain temps, alors qu’une immunité naturelle immunise la personne à vie. Alors, qu’est ce que touchent réellement ces vaccins ? Certainement pas l’immunité naturelle, puisqu’il est nécessaire de faire des ‘’rappels’’. Nous sommes encore dans le flou absolu, mais toujours en jouant sur la santé et la vie des hommes.

La médecine a constaté des effets secondaires gravissimes chez certaines personnes vaccinées, mais elle se sert alors de la fameuse phrase ‘’bénéfice risque’’ pour se disculper et justifier les effets secondaires immédiats de cette façon.

Le ROR – rubéole ; oreillons, rougeole – est en train de contredire cela car il fait grandir le nombre d’enfants autistes de façon exponentielle. Les preuves sont là et un documentaire sérieux a été censuré par le monde médical, puis médiatique, alors que la plupart ne l’ont pas visionné. – documentaire ‘’Waxxed’’-. Cette étude alarmante et indiscutable, car malheureusement réellement visible, prouve le lien indiscutable entre la vaccination du ROR et le développement de l’autisme de façon exponentielle en passant de 1cas pour 10000 enfants à un cas pour 100 enfants ; et si rien n’est décidé pour l’arrêt de la vaccination sous cette forme, la courbe prévoit 1 enfant autiste sur 2 naissances en 2030. Cela est pour les effets immédiats.

Maintenant préoccupons-nous des effets à plus long terme.

A aucun moment, la médecine s’est penchée sur le long terme, sur la possible nocivité de ces injections chimiques sur tout l’organisme, car elle a décrété qu’il n’existait aucune complication, tout ceci sans aucune preuve, puisque rien n’a été fait pour tenter de le prouver. C’est une affirmation de plus.

Et puis tout cela est improuvable, car comment imaginer mettre en cause les vaccins sur telle ou telle maladie, sur telle ou telle faiblesse de l’organisme, sur la baisse possible de l’immunité qui n’est plus stimulée naturellement, sur la fragilité d’un enfant aux agressions microbiennes, nécessitant alors des traitements antibiotiques à répétition, jusqu’à ce qu’on se rende compte que les antibiotiques sont de moins en moins efficaces ? Tout ceci est réellement improuvable et ne le sera jamais sur du long terme, tant que la médecine ne décidera pas de porter son attention sur ces recherches, à savoir comparer des groupes d’enfants vaccinés à des groupes d’enfants non vaccinés. Ceci est le protocole de base de tous les médicaments mais n’est pas appliqué pour les vaccins. Pourquoi ?

L’homme arrive sur cette Terre avec une immunité physiologique naturelle qu’il va développer de façon naturelle au contact de tous les microbes qu’il va rencontrer. J’ai vu des enfants de nomades mauritaniens sucer des crottes de chameau, à l’âge de deux ans, et je n’en ai vu mourir aucun.

Injecter un produit chimique, qui vient de l’extérieur, à un nouveau-né, pour stimuler une immunité qui ne demande qu’à se développer seule, est un crime… qui a créé et crée une manne financière colossale pour certains. Chaque vaccin ‘’homologué’’ rapporte 30 milliards d’euros par an à celui qui décroché le jack pot. Serait-ce derrière cette manne financière, que la médecine se cache ?

Continuons notre réflexion et parlons des dégâts causés par les maladies infantiles et toutes les autres pathologies qui sont venues se greffer pour justifier les vaccins. Observons simplement le nombre de décès et de complications provoquées par tous ces ‘’agresseurs’’. Nous allons alors constater qu’ils représentent une poignée en comparaison aux centaines de millions de décès, à travers le monde, dus aux cancers, aux maladies cardiovasculaires, à la faim, à la guerre, à etc…etc. Existe t-il des vaccins pour tous ceux-là ?

Est ce que nous nous soucions de tous ces morts, à part les constater et quelquefois y participer grandement ?

Alors pourquoi tout d’un coup nous intéressons-nous à des pathologies insignifiantes sur le plan ‘’des dégâts’’ ? Si nous appliquons la fameuse phrase ‘’bénéfice risque’’, utilisée pour justifier les vaccins, alors nous devons arrêter tout de suite toute vaccination obligatoire, en laissant le choix à ceux qui désirent être vaccinés.

Elle se situe encore à cet endroit, la dictature de notre ‘’démocratie’’.

ON nous dit qu’il faut au moins 80% de personnes vaccinées pour que l’immunité de la population totale soit efficace. Cette ‘’vérité’’ n’a jamais pu être prouvée ! Pourquoi 80% ? Personne ne le sait. Et puis comment pourrait-on prouver pareille affirmation sinon de se baser encore sur des formules mathématiques ?

Mais cette ‘’vérité’’ est l’argument suprême à nous faire ‘’avaler’’ pour que nous acceptions toutes les vaccinations et notamment celles de nos tout petits enfants.

Posons-nous encore cette question : Pourquoi faudrait-il vacciner tout le monde ?

Si les vaccins sont réellement efficaces, les vaccinés ne peuvent plus craindre ‘’d’attraper’’ la maladie… et les autres ont le droit de décider s’ils veulent prendre le ‘’risque’’ de tomber malade ou de subir les effets secondaires des vaccins et d’affaiblir l’immunité des plus petits.

Continuons notre tour d’horizon.

Nous constatons que toute épidémie s’arrête bien avant l’arrivée du vaccin.

Aucune preuve n’a jamais démontré que les vaccins stoppaient une épidémie.

Cette preuve est irréalisable par rapport au réel ; elle ne peut exister que par des projections mathématiques qui sont considérées comme des ‘’preuves’’, alors que nous savons que ces projections sont fausses, car elles apportent une ‘’vérité’’ qui est totalement différente de la réalité.

Exemples : en 2009 la grippe H1N1 devait tuer des millions de personnes, alors qu’elle a été beaucoup moins meurtrière que la grippe saisonnière.

Pour le virus actuel il a été annoncé un minimum de 500000 morts, alors que nous ne dépasserons pas les 30000. De plus ces chiffres ne sont vérifiables par personne ; ils ne font aucune différence entre les décès provoqués réellement par le virus et les décès avec le coronavirus, c’est-à-dire les personnes qui sont décédés, pendant cette période, d’une maladie en phase terminale.

Personne n’est capable de diagnostiquer la cause réelle du décès d’une personne. La médecine ne peut que supposer et de ces suppositions, elle en fait ses ‘’vérités’’. Elle constate simplement que telle personne est décédée d’un arrêt cardiaque mais le pourquoi de l’arrêt cardiaque est réellement inconnu. La médecine va donner ses raisons, qui peuvent être hypertension, tabagisme, stress etc… mais ces causes proviennent d’un fonctionnement profond de l’homme, qui l’a amené progressivement à l’hypertension, par exemple, et au décès ensuite. De plus, nous savons qu’il existe des gens qui vont mourir d’un infarctus, alors qu’ils étaient sportifs et qu’aucun examen n’avait décelé une anomalie cardiaque. La médecine n’apporte alors aucune explication et met dans l’oubli les cas, qui ne rentrent plus dans leurs cases de compréhension.

Donc il est très facile de manipuler les cas de décès, comme cela a déjà été fait au sujet du SIDA en Afrique. Avant l’apparition du SIDA, certaines personnes décédaient de dysenterie et après le VIH, elles mourraient du SIDA.

Je n’ai aucune animosité vis à vis des médecins, car la grande majorité ne savent pas et agissent en leur âme et conscience, en fonction de l’enseignement qu’ON leur a donné et, surtout, par la suite, en fonction des ‘’études’’ effectuées par les grands laboratoires pharmaceutiques, au sujet de LEURS médicaments ou vaccins. Les médecins n’ont aucun moyen de prouver les manipulations de ces études, car ceux qui les valident sont en relation de travail avec ces laboratoires.

Mais il y a quelque chose de très important à savoir. Pour qu’un médicament soit commercialisé, il est nécessaire qu’il subisse de nombreux contrôles et notamment les essais en double aveugle, à savoir on donne les comprimés du médicament à un groupe de personnes et un autre groupe reçoit un placébo – c’est le même comprimé en apparence extérieur (couleur, forme) mais il ne contient aucun produit chimique – Double aveugle signifie que personne théoriquement ne devrait savoir qui reçoit le médicament et qui reçoit le placébo. Puis on observe alors en pourcentage, l’efficacité potentielle du médicament. Si le pourcentage n’est pas significatif, le médicament ne devrait pas recevoir L’AMM – Autorisation de Mise sur le Marché -.

Pour les vaccins, ces études ne sont pas effectuées ; on ne compare pas un groupe de personnes vaccinées avec un groupe placébo. Aucun médicament ne pourrait recevoir l’AMM, si le protocole d’étude était celui utilisé pour la commercialisation des vaccins.

La grande question que le monde peut se poser est pourquoi ?

Il n’existe aucun hasard sur cette Terre ; rien n’est hasard, tout a un sens, tout est utile.

Tout ce qui a été créé sert à quelque chose. Les minéraux, les végétaux, les animaux puis les hommes vivent en interconnexion totale. C’est ce que nous avons appelé l’éco système ou le bio système, le bio rythme, la bio harmonie.

Les cellules qui constituent l’être humain nous le confirment. Elles sont l’aboutissement actuel de toute l’évolution depuis son origine. Les 50000 milliards de cellules sont en harmonie parfaite. Elles agissent en autonomie totale tout en faisant partie du tout et surtout en respectant ce tout. Aucune ne peut agir seule et, lorsqu’elle le fait, l’harmonie disparaît et la maladie arrive.

Si nous commencions à penser de cette façon au niveau des êtres humains ; nous sommes les cellules de l’humanité… et notre dysharmonie a créé tout ce que nous avons mis en place sur la Terre. A l’instar de nos cellules nous avons la solution. Elle passe par l’harmonie entre nous tous, cellules de la Terre, qui doivent œuvrer individuellement à la santé de tous, pour retrouver la triarticulation non encore respectée, ‘’liberté, égalité, fraternité’’. Ces trois mots ne doivent pas rester des théories, placardées sur les portes des mairies, mais devenir des réalités.

Si les cellules nous montrent, depuis leur apparition dans l ‘évolution, l’exemple que la vie est un regroupement, une solidarité, une communauté et que l’une ne peut pas exister sans l’autre. Comment pouvons-nous espérer la vie en étant écarté les uns des autres, alors que notre corps nous montre tout le contraire, en ne nous touchant plus, en ne nous voyant plus, en ne nous parlant plus, au profit d’une communication virtuelle qui est une véritable catastrophe, puisqu’elle fait bondir de façon exponentielle les radiations électromagnétiques, via internet.

Tout cela va à l’encontre de la vie, tout ça va à l’opposé de la vie ; donc tout ça amène à la mort, mais une mort qui n’est plus la suite normale de la vie, mais une mort provoquée par l’homme lui-même.

Nous devons faire fondamentalement l’inverse de ce que les ‘’autorités’’ nous demandent. Nous devons nous rencontrer, nous parler, nous enlacer, nous embrasser… en un mot nous aimer, comme le font toutes nos cellules. Elles s’aiment et nous le prouvent par l’harmonie qu’elles manifestent dans le corps humain.

L’être humain est au contact de milliards de bactéries et virus de toutes sortes et tous, à part de rares exceptions, ne provoquent aucun symptôme, aucune maladie ; Donc les vraies questions que nous pouvons nous poser sont :

pourquoi quelques microorganismes sont-ils capables de provoquer les maladies, que nous appelons infantiles ?

Pourquoi la quasi totalité des enfants les vivent sans aucun problème pour la suite de leur vie ? En effet, ce n’est qu’une poignée d’enfant qui va vivre des complications ou des décès consécutifs à ces maladies infantiles… et ces décès sont insignifiants, par leur nombre, en comparaison aux centaines de millions par famine, cancer ou maladies cardiovasculaires entres autres. Mais nous allons fabriquer des vaccins pour ‘’empêcher’’ ces décès, sans aucun preuve de leur efficacité, mais en constatant quand même leurs effets secondaires qui peuvent être terribles pour la vie entière du vacciné.

Maintenant, je vais aborder un sujet que peu de gens connaissent malheureusement, mais qui peut donner un éclairage nouveau sur les maladies infantiles qui, rappelons le, sont à l’origine de la création des vaccins obligatoires.

Les maladies infantiles existent pour apporter une nouvelle conscience dans la connaissance de l’être humain. Si nous sommes réellement observateur de l’enfant, nous pouvons constater qu’après chaque maladie infantile l’enfant change, passe un cap dans la connaissance de soi. Il s’éveille un peu plus après chaque maladie infantile. Elles sont indispensables à l’évolution de l’homme. Les vaccins vont empêcher cette croissance naturelle de l’éveil de soi, en supprimant l’accès à la maladie infantile. Et ces vaccins sont injectés dès le plus jeune âge, pendant la période – entre 0 et 3 ans – la plus importante, car c’est à cette période que l’enfant va intégrer pas à pas son Moi, jusqu’à pouvoir dire, seulement à 3 ans, JE, MOI. Pendant ces trois années, il va passer des paliers jusqu’à la toute première notion de son individualité.

Et encore une fois, R. Steiner nous parle. Il nous parle des vaccins qui vont empêcher l’homme d’accéder à sa partie spirituelle, qu’il a enfouie dans son inconscient, dès l’âge de trois ans ; car il va falloir encore expliquer pourquoi l’homme – à part de rares exceptions – ne peut plus se rappeler ce qu’il a vécu entre la naissance et ses trois ans ; A cette période l’enfant n’a pas la conscience de son Moi, donc n’est pas encore capable de

se rappeler.

L’époque matérialiste s’efforce, à partir de certains cercles de personnes, de paralyser toute évolution spirituelle de l’humanité, de la rendre impossible; d’amener les hommes à ce qu’ils rejettent, simplement par leur tempérament, par leur caractère, tout ce qui est spirituel et à ce qu’ils le considèrent comme de la folie. Un tel courant – chez certains individus, il est déjà perceptible aujourd’hui – se renforcera de plus en plus. Le désir intense naîtra de voir tout le monde défendre le point de vue que le spirituel, les choses de l’esprit, sont extravagance, sont folie! – On essayera d’y parvenir en produisant des vaccins contre, en trouvant des vaccins qui influencent le corps humain d’une manière telle que celui-ci n’offre point asile aux penchants spirituels de l’âme. On vaccinera les hommes contre leur disposition à nourrir des idées spirituelles. Du moins, s’y efforcera-t-on : on essayera des vaccins pour que les hommes perdent dès l’enfance leur soif de vie spirituelle.”

Rudolf STEINER – 1917 – (derrière le voile des événements – Triades)

Et si nous sommes simplement des observateurs et des gens de bons sens, non pollués encore par le savoir enseigné, nous ne pouvons que constater que nous sommes une humanité qui a perdu le lien avec son essence spirituelle, même si elle essaie par tous les moyens de se rattraper à la religion. La religion a été créée par les hommes ; elle n’est pas LA spiritualité ; elle utilise les mêmes textes, mais elle ne peut pas encore les avoir intégrés spirituellement ; cela est encore un passage dans l’évolution que l’homme doit franchir… la compréhension réelle des textes sacrés.

Il est intéressant de s’apercevoir simplement par les observations, c’est-à-dire des constats, sans aucun jugement que, ce que Steiner nous dit encore dans ce domaine se révèle exact.

Nous sommes devant la constatation que les propos que R. Steiner a développé dans les années 1900 se révèlent exacts.

Les hommes sont manipulés par des forces qui nous échappent –ce que j’ai appelé dans mon livre ‘’ de l’égoïsme à l’Amour’’ – les forces adverses. On ne peut pas nier qu’il existe sur la Terre la notion du bien et du mal, même si certains n’acceptent pas cette dualité – et ils ont raison car effectivement ce n’est pas une dualité, mais ce serait trop long à développer dans cet écrit – Donc nous allons rester à cette dualité pour le propos actuel.

Il est de notre choix de décider de faire le bien ou de faire le mal, mais quelque fois nous pouvons faire le mal de façon totalement inconsciente et les forces adverses nous poussent vers ce mal inconscient dans le but de ne pas pouvoir faire le lien avec notre partie spirituelle. Nous avons mis en place tout un tas de techniques permettant de nous éloigner de cette partie spirituelle, et les vaccins en font partie.

Nous sommes bien loin de la polémique vaccin-antivaccin, liée à ses effets secondaires, aux ‘’bénéfices risques’’, voire à la mort ; nous sommes loin de tout ce débat, utile certes, mais qui nous maintient toujours dans la matière.

Pour renforcer l’idée de la vaccination du corona virus actuel, ON va encore faire croire que le virus ne va pas disparaître et que le vaccin est une obligation, si nous ne voulons pas revivre un nouveau confinement. Comme ce confinement est très mal vécu par tout le monde ou presque, le vaccin sera accepté et les laboratoires pourront continuer à s’enrichir.

Pendant ce temps le virus aura muté – cela ils le savent tous – et le vaccin ne devrait plus être utile, mais cela ne les gêne pas de faire croire – comme pour tous les vaccins de la grippe annuel – que les souches antérieures au virus sont toujours un peu efficaces et atténuent la maladie… c’est pour cela qu’il y a 10000 morts de la grippe, par an, en France… ces personnes sont mortes atténuées.

Sur ce simple petit développement nous pouvons nous apercevoir, si nous voulons faire l’effort de réfléchir par nous-mêmes, et plus par personne interposée, que TOUT ce que nous vivons à travers ce virus est basé sur des affirmations sans preuves réelles mais mathématiques et statistiques, preuves qui ne sont que virtuelles et qui ne pèsent plus très lourd lorsqu’on se penche sur la REALITE.

Et si nous extrapolons un peu. Cette médecine nous manipule, aujourd’hui, au sujet d’un virus. Mais comment imaginer qu’elle a commencé à nous manipuler seulement maintenant ? Ou qu’elle le fait déjà depuis bien longtemps ?

Qui a été vérifier les dires de ‘’ceux qui savent’’. Ils sont une poignée appelée OMS ou ‘’académie de médecine’’, qui a le pouvoir de décider pour nous, parce qu’ils font croire au monde qu’ils savent et que nous ne savons rien… et comme nous ne savons rien, il est de notre intérêt d’écouter ‘’ceux qui savent’’… et personne ne remet en question leur savoir. C’est un réel cercle vicieux.

Jusqu’à quand et jusqu’où allons–nous continuer à être des ‘’moutons’’ ?


Vie et mort

Qu’est ce que la mort et qu’est ce que la vie ? Qu’est ce qu’on choisit ? Est ce qu’on choisit de combattre la mort ou de faire vivre la vie.

La mort terrestre est considérée comme dramatique parce que, pour la quasi totalité du monde, il n’existe rien derrière.

Aller véritablement comprendre ce qu’est la mort terrestre, c’est aller comprendre ce qu’est la VIE

La mort n’existe pas.

La mort terrestre est en fait un changement de vie.

Nous passons d’une vie terrestre à une vie spirituelle. En fait on ne peut pas dissocier les deux puisque nous sommes des êtres purement spirituels ; tout ce qui existe, minéral, végétal, animal, homme, n’est qu’une condensation progressive de l’esprit, qui à l’origine est chaleur. Nous avons la représentation de cette chaleur originelle, dans notre corps, avec celle de notre sang.

Tout ce qui nous entoure, tout ce qui a été créé est spiritualité et au sein de cette spiritualité, il a été créé un corps physique visible, qui est l’aboutissement, la condensation ultime de l’esprit invisible. J’ai déjà montré la comparaison dans la matière de ce processus spirituel avec l’exemple de la bougie, qui passe d’un organisme de chaleur invisible à un corps solide visible en passant par les états de gaz (analogie au règne animal) puis de liquide (analogie au règne végétal).

Dans cette vie spirituelle, il va exister des vies terrestres et des vies qu’on pourrait appeler, cosmiques.

Ces différentes vies sont en fait des différents états de conscience d’une seule et même vie. Sur la terre nous vivons dans un état de conscience de veille et, dans le monde spirituel dans un état de conscience d’éveil. Ce que nous retrouvons exactement durant le sommeil. Lorsque nous dormons nous accédons à la conscience d’éveil et lorsque nous sommes réveillés nous retrouvons la conscience de veille.

La mort terrestre survient parce que le temps est venu de mourir, comme le sommeil arrive parce qu’il est temps de dormir ; nous ne choisissons pas plus le moment de dormir que nous choisissons le moment de mourir. Nous prenons le sommeil comme il vient et il en est de même pour la mort terrestre.

La mort terrestre, telle qu’elle est vécue par les hommes matérialistes, est un concept erroné.

Penser qu’il n’existe rien après la mort terrestre est faux.

Donc, avoir peur de la mort et se soucier de la mort comme le critère principal à éviter est un raisonnement faux.

D’où, créer des vaccins, pour empêcher l’homme de mourir, est faux.

Penser que nous allons empêcher l’homme de mourir à travers des interventions extérieures est faux.

Nous accédons à la mort terrestre parce que le temps de mourir est venu et rien de l’extérieur ne peut l’empêcher. La médecine a la certitude et fait croire qu’elle est capable d’empêcher la mort par un acte extérieur. Ceci est impossible.

Donc, l’idée d’une maladie, décrite comme virale et contagieuse de l’extérieur, est fausse.

Le décès, dû à une maladie virale provoquée par les autres, est une idée fausse.

Il existe des milliards de bactéries et virus, depuis des millénaires, et personne ne se pose la question :

‘’Pourquoi ce virus-là devient il ‘’contagieux’’ et ‘’mortel’’ maintenant ?’’

La maladie virale arrive à un moment précis dans l’humanité pour nous dire que le mode de fonctionnement actuel de l’homme n’est pas juste. Les cellules vont être empoisonnées et vont donc éjecter le virus. Le virus est le fruit d’un empoisonnement cellulaire. Son éjection est un réflexe de survie de la cellule ; il va alors se greffer sur la membrane cellulaire et provoquer les symptômes nécessaires à une éventuelle prise de conscience du ‘’mal a dit’’. Tout le monde peut produire le virus en fonction du parcours qu’il a accompli non seulement dans sa vie terrestre actuelle, mais aussi dans celles antérieures. Le virus est produit par l’homme lui-même et il ne peut pas passer le virus à son voisin, si celui-ci n’est pas dans la disposition nécessaire pour l’accueillir.

La contagion est une notion totalement fausse.

Nous ne mourons pas du virus d’un autre, nous mourons de la production de notre propre virus.

Oui, la vie terrestre est sacrée et un corps nous a été donné pour accomplir une Tâche sur cette terre. La mort peut être résumée dans ce texte de Gitta Mallasz:

J’ai quitté mon corps,

cet outil précieux qui m’a été donné

pour accomplir ma tâche sur terre.

Il a été trop usé par le temps.

Je sais qu’un autre outil me sera donné,

plus approprié pour une nouvelle tâche.

Toi aussi, tu as une tâche, une tâche unique.

Il est bénéfique de bien l’accomplir

aussi longtemps que ce rare don du ciel

– ton corps terrestre –

est utilisable ;

Sinon tu as vécu en vain.

Le corps terrestre est fondamental et la vie terrestre est sacrée mais, lorsqu’elle disparaît, la vie continue dans le monde spirituel sous une autre forme…la forme que nous connaissons, lorsque nous dormons.

C’est seulement moi, et moi seul, qui vais déclencher inconsciemment le moment de ma mort, comme je déclenche inconsciemment le moment de mon sommeil. Aucune personne terrestre, extérieure à moi, ne peut influer sur ma mort. Voilà pourquoi, lors de crises cardiaques, il existe des gens qui meurent et d’autres qui vont survivre. La médecine est persuadée que c’est grâce à son intervention qu’elle réanime les gens. On ne peut pas réanimer une crise cardiaque, lorsque le temps est venu de mourir.

La mort terrestre fait partie de la vie et il ne sert à rien d’en avoir peur. La mort terrestre est un changement de vie. Véhiculer le spectre de la mort terrestre comme un événement catastrophique, c’est maintenir les gens dans la peur. Et vivre dans la peur provoque toutes les maladies, qui sont là pour nous dire : ‘’arrête d’avoir peur’’.

Et si nous comprenons et arrêtons d’avoir peur, nous guérissons de toutes nos maladies. Faire planer la peur, la mort, puis la peur de la mort permet à la médecine de justifier tous les vaccins, qui sont censés nous empêcher de mourir et de justifier aussi toutes les autres thérapies qui sont censés nous empêcher de mourir.

Or, encore une fois, rien ne peut nous empêcher de mourir de façon terrestre… et cette idée de ‘’mort’’, fabriquée par la pensée des hommes, est en fait une continuité de vie.

La VIE est universelle et omniprésente simplement sous différentes formes.

Vérité et réalité

Parler d’absence de contagion, c’est être un ‘’hérétique’’, qui méritait le bûcher au moyen-âge.

Le principe de la contagion est le dogme nécessaire à la justification des vaccins. C’est la manne financière assurée. Si nous enlevons le concept contagion, le vaccin n’a plus de raison d’être. Nier la contagion, c’est tout simplement s’opposer aux puissances financières de ce monde… et cela est intolérable. Nous comprenons pourquoi c’est le seul sujet qui reçoit une censure extrême.

J’avais depuis très longtemps entendu parler de Krishnamurti, mais je ne m’étais pas penché véritablement sur ses propos. Ce confinement m’en a donné l’occasion et j’ai pu constater la profondeur de ses dires et surtout sa logique et son bon sens. Dans beaucoup de domaines, j’ai retrouvé les paroles de R. Steiner. Dans un de ses DVD, il parle du mécanisme du penser comme quelque chose de nuisible. Il rejoint là aussi R. Steiner.

Krishnamurti nous dit que le penser ne peut être que source de conflit ; je vous invite à aller l’écouter pour approfondir cela mais la réalité est là ; effectivement le penser est source de problèmes, puis par la suite de conflit.

La grande question que se posent tous les philosophes depuis des centaines d’années est : qui pense ?

Nous sommes submergés par des pensées qui nous arrivent de tous côtés, mais qui ne nous appartiennent pas réellement. Elles sont le fruit d’un enseignement, d’un conditionnement de notre esprit. Donc on pourrait dire que nous sommes pensés.

Krishnamurti nous dit que chaque pensée génère un problème. Alors, c’est un réel cercle vicieux, puisque nous allons vouloir résoudre ces problèmes avec nos pensées.

Mais alors, comment penser par nous-mêmes ?

La seule issue pour sortir de notre pensée qui vont créer des problèmes appelés ‘’vérités’’, c’est se pencher sur la réalité.

Partir de ce qui est réel, sans aucune croyance, aucun préjugé, c’est-à-dire faire le vide du conditionnement de notre esprit. Accepter tout ce qui existe dans la réalité, sans jamais se laisser influencer par notre opinion.

Si nous partons de ce concept, par rapport au corona virus, nous effaçons d’abord de notre esprit tout ce qui est dit comme pensée… pandémie, contagion, peur, mort etc…

Maintenant qu’est ce que la réalité nous montre ?

En tout premier lieu, que toute épidémie s’arrête bien avant l’arrivée du vaccin. Aucune preuve n’a jamais démontré que les vaccins stoppaient une épidémie, car aucune étude sérieuse n’a été effectuée dans ce sens, pour la simple et bonne raison que cette étude est tout simplement impossible à réaliser. Nous sommes face à une affirmation gratuite très éloignée du réel.

Le réel nous montre que certaines personnes vont être touchées par ‘’quelque chose’’, certaines vont s’en remettre sans trop de mal, certaines vont avoir des symptômes plus sérieux, certaines vont mourir et certaines ne ressentiront strictement rien.

Un autre constat nous montre que dans un bateau de 800 personnes, qui ont vécu dans un endroit clos pendant plusieurs semaines, on recense très peu de malades.

J’ai vécu avec une personne qui a contracté la maladie, au mois de janvier. Je l’ai embrassé et n’ai eu aucun symptôme de la maladie. Cette même personne a participé à un stage au côté de 20 autres personnes, pendant trois jours, et aucune n’a été malade… peut-être qu’elles n’avaient simplement pas peurs !

La médecine nous dit qu’une personne en contamine 3,3 autres.

1

3,3

9,9

32

107

355

1174

3874

12785
42192
139234
459473
1 516263 (1,51 millions)

5m

16m

54m (15 transmissions)

178m

588m

1Milliards 940m

6M 400m (19 transmissions)

Si nous faisons les multiplications, nous atteignons, au bout de seulement 15 opérations, la quasi totalité de la France et, si nous continuons jusqu’à 19, nous couvrons pratiquement le monde. L’épidémie a débuté en janvier et peut-être avant, bien avant tout confinement ; J’ai été moi-même, et vous aussi certainement, en contact avec de nombreuses personnes. Nous avons dépassé largement la barre des 15, voire des 19 rencontres multiples. Nous devrions donc être tous infectés… et presque tous morts.

La réalité est qu’il n’en est rien.

Alors de nombreuses questions peuvent être posées :

Tout d’abord d’où sort ce nombre de 3,3 ?

Et puis que veut dire 0,3 personne, qui correspond à 1/3 de personne ?

Existe t-il dans l’humanité des tiers de personnes ?

Parlons nous de la réalité, lorsque nous parlons de tiers de personne ou de vérité calculée par les hommes ?

Tous ces chiffres reposent sur des estimations statistiques basées sur des modèles mathématiques… comme pour la grippe H1N1, qui devait tuer des millions de personnes,

Continuons nos questionnements ?

On dit que le virus est parti de Chine ; mais QUI nous dit cela ? Quelle preuve ont-ils pour affirmer cela ?

Il cherche le patient 0, c’est à dire celui qui est à l’origine du déclenchement de l’épidémie selon eux ; mais ce patient n’est jamais trouvé ; et pourquoi ? Parce qu’il est une illusion ; il est une fabrication intellectuelle de plus, toujours sans preuve, mais qui colle à la théorie de la contagion.

Toujours d’après ‘’ceux qui savent’’, ce virus se transmet à la vitesse d’un éclair, donc tout le monde aurait dû être touché bien avant que le confinement, qui a mis plus de trois ou quatre mois, se mette en place.

Or malgré ces retards de ‘’confinement’’, qui je vous le rappelle est ‘’le seul moyen’’ de contrecarrer le virus, seulement 12 % de la population ont été infectés par le virus (chiffre officiel fournis par ceux qui savent).

Donc, toujours d’après ceux qui savent, cela n’est pas suffisant pour immuniser la population.

Mais quelle population, celle qui est déjà immunisée ?

Ou celle qui n’a pas encore contracté le virus, alors qu’avec sa vitesse de propagation estimée TOUT le monde aurait dû être atteint par ce virus ?

Pourquoi cette contagion si ‘’violente’’ n’a touché que 12% de français ?

Nous assistons une nouvelle fois à un contresens. D’un côté nous avons une propagation de contagion astronomique et de l’autre nous avons seulement 12 % de contaminés.

Mais ces 12%, balancé aussi au peuple comme une ‘’vérité’’, prépare ce même peuple à une obligation vaccinale prévue, dès que le vaccin sera prêt, c’est à dire au plus tôt dans un an.

Ceci nous amène au terrible ‘’débat’’, qui n’existe malheureusement pas, sur la vaccination obligatoire.

Car toujours ‘’ceux qui savent’’ nous disent qu’il faut au moins 80% de personnes vaccinées pour que l’immunité de la population totale soit efficace. Cette ‘’vérité’’ n’a jamais pu être prouvée ! Pourquoi 80% ? Personne ne le sait. Et puis comment pourrait-on prouver pareille affirmation sinon de se baser encore sur des formules mathématiques ?

Mais cette ‘’vérité’’ est l’argument suprême à nous faire ‘’avaler’’ pour que nous acceptions toutes les vaccinations et notamment celles de nos tout petits enfants.

Posons-nous encore cette question : Pourquoi faudrait-il vacciner tout le monde ?

Si les vaccins sont réellement efficaces, les vaccinés ne peuvent plus craindre ‘’d’attraper’’ la maladie… et les autres ont le droit de décider s’ils veulent prendre le ‘’risque’’ de tomber malade ou de subir les effets secondaires des vaccins et d’affaiblir l’immunité des plus petits.

L’humanité entière voit mourir de faim des millions de personnes, voit mourir des millions de gens du cancer, de maladies cardiovasculaires, de toutes sortes de pathologies. Ceci est encore la réalité.

Que fait-on pour endiguer la faim dans le monde et pour toutes les personnes qui en meurent ? La mort, à cet endroit, n’a aucune importance pour les hommes.

Que faire pour endiguer ce cancer qui tue toujours autant de personnes depuis des dizaines d’années, alors qu’on nous dit que la science progresse… et je rajoute ‘’et le cancer aussi’’.

Car cela est aussi une réalité.

Lors d’une de mes conférences, j’avais demandé à l’assistance de lever la main, pour connaître celles et ceux qui avaient perdu récemment quelqu’un de leur entourage, des suites d’une ‘’longue maladie’’ – parce qu’on n’ose même plus appeler cela un cancer -. Toutes les mains se sont levées sans aucune exception. Nous avons, toutes et tous autour de nous, des proches et amis qui meurent de cancer régulièrement et personne ne peut le nier. C’est la réalité actuelle.

Donc, si nous regardons encore la réalité, suite au protocole thérapeutique qui est mis en place pour le cancer par exemple – qui est un protocole indiscutable sous peine de sanction pour les médecins qui ne le respecteraient pas -, nous pouvons dénombrer plus de 150000 morts par année.

Ceci est encore une réalité, un constat, et il n’y a aucun jugement.

Maintenant fort de ces réalités, nous pouvons commencer à penser par nous-mêmes.

Le constat de tous ces morts, après thérapie, peut nous faire penser que cette thérapie n’est pas performante et que le chemin, qu’a choisi la médecine pour aller chercher la cause réelle du cancer, n’est pas juste.

A côté de cela, une ‘’pandémie’’ va tuer quelques milliers de personnes face à des millions qui meurent de faim, des millions qui meurent du cancer et des millions qui meurent de crise cardiaque etc… Mais dans le cas de la pandémie, la mort devient le critère principal à éviter.

Mais pourquoi ? Parce que dans ce cas précis cela justifie un vaccin.

Encore une fois on ne peut que constater le réel. On nous dit que le vaccin va empêcher la mort des gens.

Encore une fois, l’observation nous montre que le vaccin est une manne financière gigantesque. Chaque vaccin apporte, aux laboratoires pharmaceutiques, un bénéfice de 30 milliards d’euros par vaccin et par an.

Si on pouvait vacciner contre le cancer, contre les crises cardiaques, on le ferait aussitôt tellement la production de vaccins est rentable.

L’humanité se fiche totalement des autres morts, mais elle agite la peur de la mort seulement lorsque cela l’arrange.

Avec un coefficient de contagion de 3,3, nous sommes devant une contagion exponentielle… puis, on nous dit que 12% des personnes ont été infectées par le virus, en France !

Comment cela est-il possible avec une contagion aussi exponentielle ? Ces deux informations sont totalement contradictoires, mais la seconde a une grande utilité. Elle prépare à l’idée de l’obligation ultérieure du vaccin, car la médecine nous affirme que, pour qu’une population soit totalement immunisée, il est nécessaire que la couverture vaccinale soit de 80%. C’est encore une affirmation sans preuve, car comment peut-on apporter une preuve de cette ‘’certitude’’ ? Qui peut prouver réellement cette affirmation ?

Et puis pourquoi 80% ?

Si le vaccin est efficace, les personnes vaccinées ne craignent plus rien ; qu’il y ait 10% ou 90 % de vaccinés, cela ne change rien pour elles.

Alors pourquoi cette polémique au sujet des vaccins et surtout des vaccins obligatoires ? Une personne doit avoir le choix de décider de sa vaccination. Pourquoi rendre les vaccins obligatoires en se reposant sur des arguments infondés, si ce n’est pour une raison purement financière ?

Quelle autre raison valable peut être donnée pour accréditer l’obligation vaccinale ?

Vérité ou réalité à vous de choisir !


Voici la seule nourriture universelle, indispensable à l’Homme : l’Amour. Elle est la seule source de vie… le reste est survie. S’écarter de ce contact charnel, c’est se rapprocher de la mort.

Nouvel horizon

Je voudrais vous emmener avec moi vers ce nouvel horizon.

Ce confinement m’a permis de rencontrer les écrits de Krishnamurti. Je viens de terminer son livre intitulé, ‘’Tel que vous êtes‘’.

Je ne peux absolument rien enlever de ce qu’il a dit, tellement ses paroles résonnent au plus profond de moi ; il dit d’une autre manière, ce que R. Steiner développe. Mais il est important de décoder aussi Krishnamurti, comme on peut le faire avec R. Steiner, car ses propos peuvent paraître inaccessibles pour beaucoup de monde.

Krishnamurti nous dit que toute pensée est cause de problème.

Mais comment cela est-il possible ? On pourrait répondre que c’est la pensée qui est le maître de tout ce qui existe et que, sans pensée, il ne peut pas y avoir d’actes donc de créations nouvelles. C’est parce que l’homme a pensé, qu’il a créé tout ce qui existe.

Pourtant nous allons voir que son affirmation est juste.

Krishnamurti nous parle du conditionnement de l’esprit, de la même façon que Don Miguel Ruiz – dans ses accords toltèques – nous parle du ‘’processus de domestication sociale’’. Les deux nous disent que, depuis sa naissance, l’homme va être programmé par un apprentissage de ses parents, de l’école, de la société, qui va lui inculquer ce qu’il doit penser, dire et faire. C’est un passage inévitable, donc physiologique du fonctionnement de l’homme. Arrivé à l’âge adulte, il va répéter tout le savoir appris.

Mais alors une grande question se pose :

à ce stade de son évolution, qui pense en l’homme ?

Nous pouvons répondre que nous sommes pensés ; nous ne pensons pas par nous-mêmes, mais par personnes interposées.

Krishnamurti va plus loin et dit que chaque problème est source de conflit. Si nous nous penchons sur cette affirmation, nous pouvons constater que toute pensée d’une personne va entrer en conflit, un jour ou l’autre, avec la pensée d’une autre personne. Toutes les pensées, issues du conditionnement, qui ne nous appartiennent pas sont source de conflit… et qui dit conflit, dit bataille… voire ‘’guerre’’.

Tout ceci n’est qu’un constat et je pense que personne ne peut nier le conditionnement de l’esprit.

A partir de ce ‘’processus de domestication sociale’’, les hommes ont mis en place une société basée uniquement sur la pensée des autres qui, eux-mêmes avaient mis en place des pensées, basées sur leur propre enseignement et ceci depuis la nuit des temps. Il en résulte que la société s‘est développée sur la base de problèmes transformés en conflits, que les hommes ont essayé de résoudre par d’autres pensées, créant d’autres problèmes, puis conflits… jusqu’à ce que nous arrivions à notre époque pour constater tous les problèmes et conflits que nous avons ‘’banalisés’’ et qui commencent à nous sauter à la tête, car nous sommes en train de commencer réellement à les voir – mais pas encore pour tout le monde –

Alors comment pouvons-nous faire pour sortir de ce conditionnement de l’esprit ?

Ce qui nous est demandé est quelque chose de très difficile à atteindre intellectuellement, si nous sommes encore conditionnés. Or nous sommes tous conditionnés. Je le répète, ceci est un passage nécessaire de l’évolution de l’humanité.

Donc tout d’abord, il va être nécessaire de prendre conscience de notre conditionnement. Mais cette prise de conscience n’est pas suffisante. ‘’ Oui ! Je prends conscience que j’ai été conditionné et que je le suis toujours’’, mais comment faire pour m’en sortir ?

Pour sortir de ce conditionnement, nous allons devoir aller vérifier les certitudes qui nourrissent ce conditionnement pour nous apercevoir – par nous-mêmes – que ces affirmations sont inexactes.

J’ai eu le grand privilège de rencontrer la dentosophie, qui m’a obligé à aller fouiller dans le domaine de la médecine et comprendre que tout ce qu’on m’avait enseigné était erroné. Puis par la suite, grâce à l’anthroposophie, je suis allé comprendre que toutes les analyses des hommes étaient basées sur des conséquences, qu’ils ont métamorphosées en vérités.

Donc, pour sortir de ce conditionnement nous devons oublier tout ce que nous avons appris, tout effacer de notre mémoire, et se trouver vide de toute pensée, comme l’enfant qui vient de naître.

Nous allons, pour la première fois, penser par nous-mêmes, en partant de quelque chose d’immuable, la réalité.

Mais attention, pas une vérité intellectuelle de plus, interprétée par nos pensées et considérée généralement comme la réalité, mais la réelle réalité, celle que nous voyons de nos yeux et qui ne se discute pas, qui ne se commente pas, qui ne se juge pas… une réalité qui EST, un point c’est tout. A partir de cette réalité, si nous ne sommes plus pensés et que nous pensons par nous-mêmes, va se passer quelque chose d’extraordinaire – car encore jamais perçu- à savoir que nous allons pouvoir faire les actions justes face à cette réalité. Pour cela nous allons créer le nouveau, le jamais vu, le jamais entendu. Tout ce que nous allons développer ne créera ni problème, ni conflit car la pensée sera devenue saine et fera l’unanimité avec les pensées de ceux qui auront fait le même chemin.

Si les esprits se libèrent du conditionnent des autres, alors ils se rejoignent vers LA vérité car alors vérité et réalité se rejoignent en une unité… l’unité primordiale dont nous sommes issus et dont le fonctionnement altruiste de nos cellules nous en confirme l’existence.

La question qui peut venir à l’esprit de certains :

Comment pouvons-nous savoir que ce nouveau mode de pensée puisse nous permettre d’affirmer que nous accédons à LA vérité et non pas à une autre vérité, instruite par une autre pensée conditionnée ?

Ce nouveau mode de fonctionnement nous connecte au cerveau du cœur, alors que l’ancien nous maintenait dans le cerveau de la tête. A l’aide du cerveau du cœur, nous accédons à la connaissance, alors qu’avec celui de la tête nous entretenons notre savoir, acquis par la domestication sociale. A travers cette connaissance innée – car nous sommes nés avec – nous retrouvons notre moi intérieur, celui qui connaît, et nous savons au plus profond de nous que tout est juste ; il n’y a pas l’ombre d’un doute.

Nous sommes devant une certitude inébranlable, inscrite dans toutes nos cellules, et même le raisonnement intellectuel du cerveau de la tête ne peut plus l’ébranler.

Notre intuition prend la pace du raisonnement, et cette fois l’intuition est écoutée comme la seule idée juste.

Et si le confinement nous permettait de réaliser une belle action. Celle de s’arrêter, parce c’est seulement dans l’arrêt que nous pouvons porter toute notre attention à la réalité et peut-être alors commencer à penser par nous-mêmes.

Faisons l’expérience ensemble et partons de la réalité actuelle.

Réalité

La réalité du corona virus

Le corona virus est manifestement identique pour tous les êtres humains actuels. Pourtant, on note une disparité très nette entre les pays ; certains pays n’ont pas obligé leur population au confinement et ils déplorent moins de décès que dans les pays ‘’confinés’’.

On note aussi que les pays riches sont plus touchés que les pays pauvres.

On note aussi une disparité dans un même pays, dans le nombre de personnes infectées par le virus, en fonction des régions.

On note une différence aussi en fonction des âges.

Pourquoi toutes ces différences, alors qu’on nous dit que le virus est extrêmement contagieux partout et que le confinement est le seul moyen pour l’arrêter ?

On nous a dit aussi, pendant la pleine activité de ‘’l’épidémie’’, que les masques non homologués étaient inefficaces, donc inutiles et puis, une fois le pic de ‘’l’épidémie’’ passé, on nous dit que tout le monde doit porter un masque et que tous les masques sont efficaces.

La réalité de notre système de santé

Les difficultés de notre système de santé, avant ‘’ l’épidémie’’, était déjà mis en exergue.

Encombrement aux urgences et obligation de passer par elles pour une hospitalisation ; ce qui entraine des attentes interminables et des ‘’bavures’’ qui en sont les conséquences.

Surcharge de travail du personnel hospitalier.

Pénurie des médecins de ville.

Augmentation chaque année du déficit de la Sécurité Sociale, par augmentation des dépenses de santé, donc augmentation des hospitalisations et de l’utilisation des médicaments.

La réalité du système juridique

Les tribunaux sont débordés par des procès de plus en plus nombreux. Ce qui signifie que la délinquance augmente. Ceci est confirmé par la surpopulation carcérale.

La réalité du système industriel et commercial

Dans les entreprises, il y a ceux qui dirigent et ceux qui produisent. Les dirigeants sont riches et les producteurs sont pauvres. Lorsque les entreprises prospèrent, les riches deviennent encore plus riches et les pauvres restent pauvres.

La réalité du système culturel

Dans ce domaine, prenons la branche éducation. Nous éduquons les enfants pour les préparer à de futurs métiers et, lorsqu’ils deviennent adultes, ils n’ont pas les métiers correspondants à disposition, et cela génère du chômage.

Et surtout très peu sont épanouis dans leur travail.

La réalité du système économique

Le système économique est basé sur l’argent. Mais qu’est ce que l’argent ? L’argent est un concept, mis en place par les hommes, pour échanger du travail, de la marchandise ou des biens. A l’origine, il avait une valeur réelle, matérialisée par l’or. Puis par la suite, il a perdu cette valeur réelle. L’argent ne se touche plus, il transite de banque à banque et n’a plus de valeur propre.

Alors, l’argent, est-il une réalité concrète ? Nous ne nous pouvons que répondre par la négative. Il ne repose sur rien. Il est passé du réel au virtuel.

Et ce virtuel domine le monde.

La réalité à l’échelle du monde

Au niveau mondial, il existe les pays riches et les pays pauvres. Puis dans les pays riches, il y a aussi les pauvres et les riches.

Dans les pays riches, il y a une surconsommation que l’on appelle croissance. Donc pour que ce système fonctionne, il faut consommer. Cette hyperconsommation nous amène aux constats que nous produisons des déchets, dont nous ne savons plus quoi faire. Certains sont envoyés dans les pays pauvres. Nous les entassons où nous pouvons et nous sommes en train de polluer la terre et les mers.

Cette surproduction utilise toutes les ressources de la terre et est en train de l’épuiser.

Tout ceci ne sont que des constats qui nous montrent la réalité actuelle.

Etes vous d’accord avec ces constats ?

Si c’est le cas, essayez de faire l’expérience de ne plus vous référer au passé, aux notions acquises et mémorisées et, comme si vous ne saviez plus rien, de fonctionner :

Dans un premier temps, avec un bon sens et une logique naturelle, pour analyser ce qu’il se passe aujourd’hui.

Dans un second temps, en imaginant par vous mêmes quelles seraient les nouvelles propositions pour que la société fonctionne, c’est-à-dire que l’être humain fonctionne, car c’est bien l’être humain qui crée la société.

Nous pourrions alors, pour celles et ceux qui le désirent, nous pencher sur ce projet et échanger ensemble sur ces nouvelles propositions.

Masqu…arade

Je vais vous raconter une histoire. Toute ressemblance avec des personnes existantes n’est pas fortuite.

Dans un avenir lointain, les futurs hommes vont se pencher sur l’histoire de l’année 2020 et raconter à leurs enfants ce qu’ils voient, grâce à leur perception naturelle de leurs vies antérieures. Ils vont leur raconter sous forme d’histoire.

A RACONTER A TOUS NOS ENFANTS

Il était une fois, il y a très longtemps, un extraterrestre (ET) est descendu sur la planète Terre. Il a vu tous les Humains avec des masques sur le nez.

ET

Qu’est ce que vous avez tous sur le visage ?

Humains

Ah ! ben ! Nous portons un masque.

ET

Mais pourquoi faire ?

Humains

Pour empêcher un truc, que nous appelons virus, de nous rendre malade

ET

Mais, qu’est ce que c’est, un truc ?

Humains

Un truc… et bien… on ne sait pas… c’est un machin qui se propage d’un homme à un homme et qui le rend malade.

ET

Et pourquoi il se propage d’un homme à un homme et pas d’un homme à une bête ou d’une bête à une bête ?

Humains

Ah ben, c’est comme ça… on ne sait pas ; il y a des virus qui se propagent d’un homme à un homme, d’autres d’un homme à une bête et d’autres d’une bête à une bête, mais on ne sait pas.

ET

Et alors, pourquoi mettez-vous le masque ?

Humains

Parce qu’on nous a dit que le virus se transmet par les postillons, lorsque nous parlons. Donc le masque évite de recevoir la maladie de l’autre et aussi évite d’envoyer la maladie chez les autres.

ET

Mais, qui est ce qui vous dit tout ça ?

Humains

Ce sont des personnes très intelligentes qui ont fait beaucoup d’études et qui savent.

ET

Mais, est ce qu’elles sont sûres de ça ?

Humains

Ah ! oui, oui, oui, oui… elles sont certaines de ça ; c’est pour ça qu’on obéit.

ET

Et, êtes-vous aller vérifier tout ça ?

Humains

Ah, ben ! Ce n’est pas la peine d’aller vérifier tout ça, puisque ces personnes ont fait le travail avant nous et comme elles sont très intelligentes et ont fait beaucoup d’études, elles savent tout.

ET

Mais vous n’avez pas peur de tout ça ?

Humains

Bien sûr que si, nous avons peur, nous avons même très très peur ; c’est pour ça qu’on a obligé les gens à mettre des masques.

ET

Mais alors, vous allez transmettre cette peur à vos enfants ?

Humains

Mais bien sûr et c’est nécessaire ; comme ça le jour où ils seront adultes, ils auront peurs eux aussi et ils pourront se protéger avec les masques.

ET

Mais, les enfants aussi doivent porter des masques et ne pas se toucher ?

Humains

Mais évidemment, c’est indispensable pour eux aussi.

ET

Ah, ils peuvent se passer la maladie entre eux, aussi ?

Humains

Non ! Ils ne l’attrapent pas entre eux, mais on nous dit que c’est bien qu’ils mettent des masques quand même.

ET

Mais, comment allez-vous expliquer à des enfants de ne plus se toucher ?

Humains

On ne va pas leur expliquer, on va leur interdire parce qu’il est impossible d’empêcher des enfants de se toucher, lorsqu’ils sont accaparés par leurs jeux.

ET

Vous allez créer de réels traumatismes à ces enfants, car ils ne comprennent pas, eux, le degré de peur qui vous envahit.

Humains

Oui ! Mais ces traumatismes, ils les oublieront ; nous avons bien fait pareil, lorsque nous étions enfants.

ET

Ah bon ! Vous avez déjà vécu cela, lorsque vous étiez enfant ?

Humains

Non

ET

Donc, si je comprends bien vous faites des choses parce quelques personnes vous disent de les faire et vous obéissez sans chercher à comprendre.

Humains

Oui ! C’est ça.

ET

Et, d’après ce qu’on m’a dit, vous êtes tous malades sur cette terre ?

Humains

Pas tous ! Mais il est vrai qu’il y en a de plus en plus.

ET

Ne serait-ce pas parce que vos pensées puis vos actes ne sont pas justes, que vous tombez malades ?

Humains

Ah ! Non, non ! ça n’a rien à voir. On nous a dit que ça n’avait rien à voir.

ET

Ah ! OK, ce sont toujours les mêmes qui vous disent.

Humains

Ben… bien sûr… puisque c’est eux qui savent. Vous êtes vraiment bêtes, vous !

ET

Merci de m’avoir renseigné de si belle façon sur le fonctionnement des hommes sur la Terre.

J’ai une dernière question à vous poser sans attendre de réponse de votre part, parce que je sais que vous n’en avez pas :

Où se situe votre fameuse liberté-égalité-fraternité, qui a été votre formule référente pendant toute votre vie ?

Nous devons montrer à tous les enfants et non leur expliquer, que nous n’avons aucune peur face à ce ‘’virus’’, que pour le moment, certains d’entre nous sont obligés de mettre des masques, sous peine d’amendes, mais que ces masques sont une réelle stupidité.

Nous pouvons même leur montrer la quantité d’adultes qui mettent les masques sous leur nez et leur dire que le port du masque, alors, ne sert à rien, s’ils éternuent ; ceci pour leur montrer la bêtise des ‘’grands’’ – qu’on appelle adultes -.

Réalité – 18 mai 2020

Les constats

Il y a de plus en plus de malades, puisque les médecins ne peuvent plus répondre à la demande.

Le déficit de la SS ne cesse d’augmenter, ce qui implique une augmentation permanente des dépenses de santé.

Les hôpitaux sont débordés et la réponse à tout cela est qu’il y a un manque de moyen et il est nécessaire d’augmenter le personnel soignant, d’augmenter le nombre de lit pour subvenir à la demande qui est de plus en plus forte.

Pour la médecine de ville, il faut augmenter le nombre de médecins.

Il y a de plus en plus de médicaments vendus. S’il y a de plus en plus de médicaments vendus, c’est qu’il y a de plus en plus de maladies à soigner et donc il faut qu’il y ait de plus en plus de médecins.

La médecine ne s’occupe que des maladies. Elle les combat. Est ce un constat pour vous ?

Les conséquences visibles de ce mode de fonctionnement est notre système de santé qui se dégrade de plus en plus aux yeux de tout le monde.

Est-ce une réalité à vos yeux ?

La solution actuelle pour remanier à cet état est une solution économique. Ceci est aussi une réalité.

Le même problème se situe au niveau de la délinquance. Il y a de plus de condamnés à des peines de prison et il n’existe plus de place pour les recevoir… la solution est aussi économique… par la construction de nouvelles prisons.

Le Monde

Au niveau du monde il existe les pays riches et les pays pauvres ; c’est encore l’économie qui domine. Puis dans les pays riches, il y a aussi les pauvres et les riches.

Dans les pays riches, il y a une surconsommation que l’on appelle croissance. Donc pour que ce système fonctionne il faut consommer, consommer. Cette hyperconsommation nous amène aux constats que nous produisons des déchets dont nous ne savons plus quoi faire. Nous les entassons où nous pouvons et nous sommes en train de polluer la terre et les mers.

Cette surproduction utilise toutes les ressources de la terre et est en train de l’épuiser.

Tout ceci ne sont que des constats qui nous montrent la réalité actuelle.

Industrie

Dans le mode de l’industrie, du commerce, il y a ceux qui amassent l’argent et il y a ceux qui font tourner les entreprises pour que les premiers récupèrent l’argent. Donc les riches deviennent de plus en plus riches et les pauvres restent pauvres. Quel que soit le domaine économique, l’objectif est le profit. Dans un système économique vivant, il est nécessaire que les profits existent (comparé aux cellules). Là où le problème commence c’est lors de la distribution des profits et surtout à quoi doivent servir les profits.

Juridique

Les tribunaux sont débordés par des procès de plus en plus nombreux ; donc il y a un manque de personnel et la solution est encore d’ordre économique.

Culture

Dans ce domaine, prenons l’éducation ; Nous formons des enfants à de futurs métiers et lorsqu’ils sont adultes ils n’ont pas les métiers correspondants à disposition, et cela va générer du chômage.

Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, c’est le tout qui est déréglé et chaque partie du tout est déréglée. Si nous prenons l’exemple de nos cellules, c’est la même chose, il suffit qu’une cellule soit déréglée pour entrainer la maladie du tout. Il ne peut pas y avoir une société où une partie est déréglée, sans que le tout ne soit pas déréglé car tout est relié.

Constat et réalité nous montrent que c’est un monde totalement différent qu’il faut mettre en place. Penser par nous-mêmes, c’est déjà voir les réalités et voir que ces réalités nous montrent que le mode de penser, qui les ont créées, n’est pas juste.

La médecine est censée guérir ; si elle est juste il devrait y avoir de moins en moins de malades, donc de moins en moins de médicaments vendus, donc de moins en moins de médecins, de moins en moins d’hôpitaux.

La réponse à tout cela est financer plus dans les hôpitaux et augmenter le nombre de médecins de ville. Toutes les solutions sont purement d’ordre économique.

Donc deux questions peuvent se poser :

Comment améliorer notre système de santé avec le même mode de pensée que celui qui l’a créé  ?

Ou, ne serait ce pas le système de santé, tel qu’il a été pensé auparavant, qu’il faut changer ?


Réalité, vérité et virtuel

Réalité et vérité sont deux notions fondamentales. Rudolf Steiner et Krishnamurti ont tenté de nous en expliquer l’importance capitale pour le fonctionnement de l’homme, mais manifestement cela n’a pas été entendu. A l’époque où ils se sont exprimés, l’humanité n’était pas encore totalement submergée par le virtuel. Maintenant leurs propos sont de plus en plus inaccessibles, puisque nous sommes complètement soumis au virtuel. Je vais essayer d’apporter ma modeste contribution à cette notion, qui mérite d’être répétée, répétée, répétée autant de fois qu’il le faudra, tellement elle paraît décisive pour l’avenir de l’humanité.

Krishnamurti nous dit que chaque pensée créé un problème puis par la suite un conflit car il n’existe pas de problème sans conflit. Notre pensée est toujours le résultat d’un conditionnement préalable. Nous ne pensons pas par nous-mêmes, mais nous sommes pensés par la pensée de ceux qui nous ont précédés, qui eux mêmes ont été conditionnés par les pensée de ceux qui les avaient précédés etc… Tant que nous fonctionnons avec des pensées, qui ont créé le problème, nous ne pourrons générer que d’autres problèmes. D’autres personnalités l’ont dit, comme A. Einstein : « On ne peut régler un problème avec le même cerveau que celui qui l’a créé. »

Ce mode de fonctionnement est un cercle vicieux sans fin. Ceci est encore un constat, même si celui-ci nous demande une belle réflexion.

Pour se sortir de la pensée ‘’des autres’’ qui nous accapare, il faut partir de la réalité.

Et, à partir de cette réalité, faire le vide total de ce qu’on nous a enseigné, oublier complètement l’ancien, c’est-à-dire vider sa mémoire, pour accueillir le nouveau, le jamais vu, le jamais entendu.

Ce nouvel état d’être, jamais utilisé, nous permet alors d’accueillir des pensées justes, des pensées qui viennent de nulle part. Nous construisons alors nos pensées avec un bon sens inégalé, avec une réelle logique issue du réel et plus du virtuel, créé par nos croyances enseignées et acquises comme étant justes.

Si nous avons toujours l’exigence de partir de la réalité et de ne plus retomber sur le conditionnement du cerveau, notre esprit va de plus en plus fonctionner par lui-même.

Je pense que c’est le chemin qui va nous permettre de découvrir des vérités qui, pour le moment, ne sont pas encore réelles. L’homme va commencer à développer sa propre clairvoyance, c’est-à-dire ce qui était jusqu’alors hypothèse va devenir réalité, puisqu’il va la voir, comme il voit une montagne.

Plus nous allons lâcher le conditionnement du cerveau, plus nous allons nous occuper de la réalité visible, plus nous allons fonctionner par nous-mêmes.

Cela signifie que nous ne pouvons plus nous reposer sur des anciennes pensées, sur la mémoire en fait. Nous n’avons pas à prouver que la montagne existe, puisqu’elle est devant nous ; c’est la réalité. Nous allons chercher des preuves, lorsque nous ne voyons plus la réalité. A partir de là, nous allons élaborer des hypothèses que nous transformerons en vérités. Mais ces vérités ne seront jamais la réalité, puisqu’elles seront toujours la conséquence des pensées, qui sont toujours celles enseignées par les autres, par le conditionnement de l’esprit.

J’ai compris la mise en garde de R. Steiner, au sujet de l’électricité, lorsqu’il a dit que l’électricité ne sera pas nocive tant qu’elle se verra, comme le courant continu ; dès que le courant deviendra alternatif, il ne se verra plus, et alors l’homme ne sera plus confronté à la réalité et va commencer à détourner son esprit. Il va commencer à imaginer avec les pensées qu’il a déjà apprises. Il va fonctionner avec un esprit conditionné pour trouver des réponses à ce qu’il ne voit plus ; arrivé à ce stade, il ne peut plus fonctionner par lui-même… et c’est le début de la fin de la liberté en esprit.

L’homme a décortiqué la matière à la perfection car la matière est visible ; il est devenu un être matérialiste mais il pouvait encore fonctionner par lui-même avec son esprit ; à partir de la réalité de ce qu’il voyait, il a mis en place un système de logique qui reposait sur les lois de ‘’cause à effet’’, qui sont des lois justes, basées sur la réalité terrestre physique et reproductibles à 100%. Il a occulté toutes les lois spirituelles et s’est penché totalement sur la partie physique de l’homme. C’était un passage nécessaire de l’évolution. Il a fait le tour de la matière comme jamais personne ne l’avait fait auparavant.

Mais le piège a commencé à se refermer au moment où il a voulu faire ‘’coller’’ les lois de la matière à la vie. Il a alors quitté la réalité pour l’abstrait, le virtuel. Et nous le voyons actuellement, il est entré totalement dans le virtuel. Mais tout ce développement est basé sur des pensées accumulées, que nous avons appelées, le progrès. Il s’est éloigné de plus en plus de son esprit, de sa façon de penser individuelle.

C’est ce qui a fait dire à R. Steiner, dans les années 1900, que si l’homme développait l’électricité, il deviendrait idiot, dans le sens qu’il n’aurait plus la capacité de réfléchir sainement, de comprendre lui-même et de se comprendre avec les autres. Nous devons prendre conscience de cela sinon nous deviendrons des robots (nous le sommes déjà). Nous ne serons même plus des animaux pensants, car le robot n’a pas la fonction animale d’instinct, de sentiment. Il n’a pas non plus la fonction du végétal, à savoir la vie. Le robot est un minéral mis en mouvement ; il n’obéit plus aux lois de la matière, comme le fait n’importe quelle mécanique, il obéit aux lois de la sous matière que sont l’électricité, l’électronique et le nucléaire.

L’apprentissage du virtuel

Pour passer de la réalité au virtuel, l’homme a mis en place un langage qui va être basé sur des symboles abstraits. Il a créé un monde abstrait ; nous avons appris à lire, écrire, compter grâce à des symboles. De cet apprentissage symbolique, nous avons créé des concepts ; de ces concepts nous avons élaboré des règles basées sur des imaginations, des hypothèses et nous les avons apprises aux générations suivantes et ceci depuis plusieurs siècles. Progressivement ces règles se sont transformées en lois qui sont devenues des ‘’vérités’’ incontournables imposées et acceptées par toute la population.

Pour cela il nous a fallu progressivement perdre la vision de la réalité qui ne ‘’collait’’ plus toujours avec ces vérités.

On va apprendre à savoir, et ceux qui savent vont être tenus d’apporter aux autres – ceux qui ne savent pas – des preuves du virtuel.

Or, il n’est pas possible d’apporter des preuves du virtuel avec les seules bases des lois naturelles de cause à effet, d’origine matérielle. L’homme s’est donc tourné vers les lois abstraites des mathématiques. Dans ces lois, nous allons utiliser les calculs de probabilité et leurs conséquences, qui sont les statistiques. Les statistiques sont des lois mathématiques basées sur du virtuel et, ‘’ceux qui savent’’ vont se servir de ces lois pour faire croire aux autres qu’ils détiennent la vérité.

Il devient réellement indispensable de mettre en exergue la différence fondamentale entre vérité et réalité.

Prenons un exemple :

Je vais acheter des pains qui valent 2 euros pièce et veux en acheter pour 10 euros. Donc, je vais avoir 5 pains ; ce que je ne sais pas c’est que le boulanger offre un pain, lorsqu’on en achète 5. La vérité est bien 5 pains – 10/ 2= 5 -, mais la réalité est que je me retrouve avec 6.

Rudolf STEINER nous dit :

« Dans le monde où règne aujourd’hui la science extérieure, on dira sans doute, lorsqu’il s’agit de savoir, de connaître, que la vérité doit se révéler à celui dont la faculté de jugement est saine, lorsqu’il a pensé de façon juste. Or c’est une erreur de croire que la vérité doit forcément apparaître quand nos jugements sont corrects… »

«  En fait notre penser est absolument incompétent à l’égard de la réalité ; il n’a aucune valeur décisive et n’est pas un véritable juge… »

« Tu ne dois pas attendre de ton penser qu’il t’apporte la connaissance de ce qui est vrai, mais seulement qu’il t’éduque. Il est extrêmement important de se rendre compte que le penser nous éduque…»

« Notre penser ne doit jamais être abandonné à lui-même sans quoi il parviendra seulement à ce qui est exact, mais pas à ce qui est véritable. »

La vérité va découler d’un système de penser. A force de fonctionner uniquement dans l’abstrait et le virtuel, nous avons progressivement plongé dans celui-ci et avons admis que ce virtuel soit la réalité. Nous avons appris à confondre réalité et vérité et nous avons fait de la vérité une norme, une réalité factice. Nous allons croire à cette vérité. A partir de cet instant tout va reposer sur les statistiques.

Or qu’est ce qu’une statistique ?

J’ai entendu récemment des experts de la médecine, lors d’une émission consacrée au corona virus ; en fait, j’ai regardé un film et j’ai zappé pendant les publicités ; et à chaque zapping, j’ai entendu des personnes dire qu’elles ne savent pas, qu’elles en sont au stade des hypothèses. Par contre toutes leurs ‘’certitudes’’, sur lesquelles elles se réfèrent, reposent sur des données statistiques, l’abstrait.

Nous avons constaté – et c’est la réalité – que chaque personne possède une immunité propre, qu’il n’y a pas deux personnes identiques. Alors, comment est-ce possible de réaliser des statistiques ? Sur quels critères, les experts, basent-ils leurs statistiques ?

Elles reposent sur un ‘’échantillon représentatif ’’, à savoir un groupe de personnes qui doit être le plus représentatif de la population totale. On peut prendre par exemple comme critères les âges, les sexes, les régions, les climats etc… tout un tas d’éléments qui vont cibler le plus possible la représentation de la population à étudier.

Or, l’homme est unique au monde ; il n’existe pas deux personnes qui se ressemblent ; donc cibler la représentation de la population est impossible ; on va rassembler quelques critères communs, mais on ne pourra jamais cibler la totalité de chaque individu. Donc, dans toute statistique forcément il va manquer une multitude de critères ; donc, non seulement la statistique est basé sur un petit groupe de personnes mais en plus elle ne pourra jamais réunir ce qui permettrait de retrouver l’unité de chaque personne.

Quelles que soient les statistiques, même celles qui se veulent être les plus honnêtes possibles, ne peuvent être que fausses. Et ce sont pourtant ces statistiques, qui sont à la base de toutes les ‘’vérités scientifiques’’. Lorsque ‘’ceux qui savent’’ nous assènent la fameuse phrase, ‘’c’est prouvé scientifiquement’’, ils nous parlent uniquement d’études statistiques. La seule statistique qui pourrait être fiable serait celle qui regrouperait 100% de résultats identiques. Ce serait équivalent à une loi et non une règle inventée par les hommes ; les lois sont, elles, universelles et reproductible à l’infini à 100%.

Or ces statistiques n’existent jamais, bien évidemment puisque tous les critères ne sont jamais rassemblés.

Tout repose, depuis l’avènement du matérialisme, sur des statistiques et tout le développement du processus corona virus repose là dessus. Tant que nous fonctionnons de la sorte au niveau de notre mode de pensée nous ne pouvons plus fonctionner par nous-mêmes. Tant que nous ne reprendrons pas la maîtrise de notre esprit, c’est-à-dire de partir de la réalité pour espérer re-commencer à penser par nous-mêmes, nous serons dans le virtuel et dans les pensées des autres et le conditionnement de notre esprit.

C’est pourquoi des personnalités comme Krishnamurti, comme R. Steiner, vont nous alarmer sur le fait que seule la réalité est la base de tout penser juste. Et ce n’est qu’en partant de la réalité que nous pouvons espérer fonctionner par nous-mêmes et plus par un conditionnement de l’esprit manipulé par les autres.

Le principe même d’une épidémie, le principe même de la contagion, le principe même des pourcentages, le port d’un masque, le gel hydro alcoolique, les gestes barrières ne sont pas issus de la réalité ; ils sont la ‘’vérité’’ du moment. Ils sont le résultat d’une construction mentale de pensées conditionnées. Et ce mode de fonctionnement a tellement été bien travaillé, tellement été bien répété depuis de très nombreuses années, que nous ne pouvons plus revenir en arrière, sauf si nous décidons de commencer à penser individuellement.

La réalité nous montre que la très grande majorité de la population accepte de porter un masque sans savoir pourquoi fondamentalement ; elle exécute, car elle croit à ce qu’elle entend, persuadée que ceux qui parlent détiennent la connaissance.

L’humanité se comporte comme un robot sans pensée propre, sans esprit, sans velléité de se pencher à la base sur la réalité des faits, sur la simple observation de ce qu’il se passe.

On nous a dit que cette épidémie est extrêmement contagieuse et que chaque homme a le pouvoir ‘’d’infecter’’ 3,3 personnes ; ce virus s’est manifesté, selon les différentes sources, en novembre, décembre 2019 ou janvier 2020, c’est-à-dire bien avant tout confinement et port de masques. J’ai entendu hier, de la bouche d’un expert, que 6% des personnes sont contaminées en France et j’avais entendu, il y a quelques jours, le nombre de 12% ! Comment est-il possible de passer de 12 à 6 % ? Cela nous confirme une fois de plus le sérieux des statistiques.

Ceci est encore une réalité que personne ne peut nier. Alors partons de cette réalité-là et posons nous nos propres questions en faisant fonctionner notre esprit logique.

D’un côté nous avons 6% de personnes contaminées et d’un autre côté nous observons une contagion galopante ; comment est-il possible avec une telle contagion, qui dure depuis plusieurs mois, qu’il y ait seulement 6% de la population contaminée. Ce sont des vérités contradictoires.

Une autre réalité nous montre qu’une épidémie démarre toute seule, atteint un pic toute seule et régresse toute seule. Si nous fonctionnons sur le thème de la contagion galopante, comment est ce possible qu’il n’existe pas plus de gens contaminés ? Et Puis l’épidémie devrait s’arrêter au moment où toute la population est touchée par le virus. La réalité nous montre que l’épidémie s’arrête d’elle même, alors que la population est bien loin d’être entièrement contaminée.

Et on retrouve le même processus pour toutes les ‘’pseudo infections virales’’.

La réalité nous montre une nouvelle fois une différence avec leurs ‘’vérités’’.

« Lorsque vous dites ‘’je ne sais pas’’ aucun mouvement de pensée ne se produit dans quelque direction que ce soit afin de trouver une réponse.

L’esprit est totalement immobile et pour que l’esprit soit immobile, il lui faut une énergie extraordinaire. Sans énergie, l’esprit ne peut être immobile et l’énergie est l’attention totale.

Tout mouvement de pensée, quel que soit la direction qu’il prend, est une dissipation d’énergie et pour que l’esprit soit totalement immobile, l’énergie de l’attention totale est indispensable. Alors seulement peut se manifester, ce qui n’a pas à être invité, ce qui n’a pas à être recherché, ce qui n’est pas de l’ordre de la respectabilité, ce que ni la vertu ni le sacrifice ne peuvent permettre d’obtenir.

Cet état est la créativité ; cet état est l’intemporel, le réel. » Krishnamurti

L’attention totale ne peut exister que face à la réalité.

Elle nous fait oublier toutes velléités de pensées. Nous ne sommes plus pensés et pouvons laisser entrer le réel, ce qui ne se discute pas… et la vérité rencontre la réalité

Nous avons créé une société basé sur le mensonge ; nous avons fait du mensonge la norme mais la plupart d’entre nous n’avons pas conscience de ce mensonge ; nous pensons, ou plutôt nous sommes pensés, que nous ne pouvons plus sortir de ce monde basé sur le virtuel, qu’il est l’unique mode de penser actuellement. Aujourd’hui il est temps de retourner à la source de notre mécanisme de fonctionnement, de mettre en route nos réelles facultés de discernement.

Dans le cas des vaccins, la médecine va observer une augmentation de la production d’anticorps et va enregistrer le nombre de personnes ; si ce nombre dépasse un certain niveau, la statistique est jugée positive et considérée comme une preuve scientifique.

Nous ne savons pas qui est immunisé naturellement et qui ne l’est pas. De plus une personne peut être immunisée vis à vis d’un ‘’agresseur’’ et pas d’un autre, alors que pour sa voisine cela sera l’inverse.

Parce que nous ne savons pas, nous vaccinons tout le monde, sans connaître aussi les effets du vaccin à cours, moyen ou long terme.

La seule vraie question qu’il faudrait se poser est :

Pourquoi les immunités sont différentes en fonction des personnes ?

Pour répondre à cette question, il faudrait connaître la réelle immunité, pas les mécanismes qui ont été constatés dans le corps.

D’où vient l’immunité ? Qui la dirige ?

Et puis l’immunité est un morceau du tout ; l’isoler du fonctionnement du corps dans sa globalité, c’est comme penser remplir un verre d’eau, mais sans le verre. Ceci est impossible.

La médecine actuelle ne connaît strictement rien du grand TOUT ; elle a mis bout à bout des morceaux du tout, et des morceaux pensés mécaniquement. Elle fait croire au monde qu’elle sait, mais n’accepte pas d’entendre autre chose que ce qu’elle ‘’sait’’.

Tant qu’on n’aura pas les réponses, on ne doit pas vacciner.

Les médicaments sont aussi source d’agressions extérieures et de mise en route de nos organes de défense. Tout médicament, en fait, rend malade et nous entretient dans nos maladies. On a pour preuve les maladies appelées ‘’iatrogènes’’ – c’est-à-dire dues aux médicaments -. Aux USA, certaines statistiques les situent comme la troisième cause de mortalité après les cancers et les maladies cardiovasculaires et d’autres statistiques les mettent au premier rang – on mesure encore la fiabilité des statistiques – . Quoi qu’il en soit les maladies iatrogènes sont devenues de plus en plus nombreuses. On comprend alors mieux pourquoi il existe de plus en plus de médicaments vendus, puisqu’il y a encore plus de maladies provoquées par les médicaments… et ceci peut aller jusqu’à l’infini.

Le vaccin, comme n’importe quel médicament, est un poison qui va engendrer des effets néfastes instantanés, à moyen ou à long terme


Défenses du corps humain

Quelles que soient nos croyances sur l’origine de la vie, la réalité nous montre le corps humain en vie.

La médecine est partie du cadavre pour comprendre et expliquer la vie. Mais le cadavre n’est pas la réalité du corps en vie.

Elle est remontée, à l’aide d’observations et de raisonnements basés sur la logique, jusqu’à ce qu’elle croit être la compréhension de la vie. Elle l’a fait sur les bases des lois de la matière pour expliquer la vie. Donc ses vérités sont d’origine matérialiste et pour les comprendre le monde devait devenir matérialiste. A l’aide de ces lois, on ne peut pas expliquer réellement la merveilleuse alchimie du corps humain dans sa globalité.

Ce manque d’explication a amené, l’autre pensée de l’origine de la vie, à remonter à la conscience des hommes. Cette pensée nous dit que nous sommes des êtres totalement spirituels et que le corps physique n’en est que l’aboutissement, la révélation condensée jusque dans la matière.

La médecine va nous apporter des théories pour expliquer la vie, mais elles ne peuvent plus être suffisantes, si elles reposent uniquement sur un raisonnement matérialiste, puisque la matière n’est que la conséquence de l’esprit.

La science va donc nier l’esprit.

Prenons un des sujets les plus brulants actuellement : l’immunité.

La médecine a décortiqué le principe de l’immunité toujours en partant du cadavre ; elle a observé des mécanismes qu’elle a institutionnalisés comme des lois. Elle a créé des mots spécifiques que personne ne peut comprendre en dehors de ses ‘’sachants’’. Pour la quasi totalité de la population mondiale, l’immunité est une grande nébuleuse qui a pour objectif de protéger les hommes des agressions microbiennes ou virales ; et les hommes possèdent des immunités différentes, mais la médecine n’en connaît pas les raisons ; elles les constatent seulement.

Alors, comment pouvons-nous voir ce mot immunité, dans un langage courant ?

Nous allons l’appeler ‘’défenses’’ du corps humain. L’immunité est le système de défense du corps humain. Ce système de défense va créer des cellules qui vont être capables de protéger les autres.

Nous allons constater que c’est une loi universelle, que dans chaque organisme vivant il existe deux fonctions; il y a la fonction de production et de croissance et la fonction de défense. Nous allons alors prendre conscience que toutes nos ‘’inventions ou découvertes’’, dans le domaine de la matière, reposent sur des lois immuables que les cellules pratiquent depuis la nuit des temps. Nous n’inventons jamais rien ; tout a déjà été inventé par la merveilleuse alchimie du corps humain.

Les cellules vont travailler en apportant de l’énergie, c’est-à-dire un rendement, un bénéfice de leur travail, comme n’importe quelle machine apporte un résultat à l’énergie qu’on lui transmet. Ce bénéfice travail est productif ; si la cellule fait plus de travail que nécessaire dans l’instant, elle va stocker ce travail dans des cellules prévues pour cela, à savoir les cellules de graisse. Cette énergie stockée pourra alors servir pour d’autres cellules, le jour où l’organisme en aura besoin. Toutes les cellules travaillent individuellement pour effectuer le travail nécessaire à leur vie propre et ce travail est indispensable à la vie de toute la communauté cellulaire – je vous le rappelle 50000 milliards – c’est-à-dire du corps humain dans son entier. Et toute l’énergie, fabriquée en surplus de leur nécessaire, est stockée. Dans le système économique, l’homme fonctionne de la sorte, à savoir satisfaire tout d’abord ses propres besoins vitaux puis vendre – ou donner – le surplus aux autres ‘’cellules’’ de l’humanité.

Puis, il existe des cellules qui vont défendre l’organisme, lorsqu’il est en danger. Ces cellules vont utiliser l’énergie, fournie pas leurs copines, pour défendre le corps. Elles sont indispensables à l’organisme. On retrouve ce système dans toute la nature. L’animal va manger et croitre et puis, lorsque cela sera nécessaire, il va se défendre soit en attaquant, soit en fuyant.

Dans les deux cas, il va dépenser l’énergie accumulée par les cellules de croissance.

Donc la médecine nous explique qu’il existe des processus de croissance et des processus de défense et ces processus de défense, elle les a appelés, ‘’immunité’’. Elle nous explique que des cellules spécifiques sont présentes pour créer des outils, qu’elle a nommés ‘’anticorps’’, qui vont contrecarrer les agresseurs venant de l’extérieur, qu’elle a appelé ‘’antigènes’’.

Mais elle nous parle de l’immunité surtout à propos des agressions microbiennes ou virales. Elle oublie de nous dire, surtout pendant une ‘’épidémie’’, moment où le monde aurait le plus besoin d’explications, qu’en fait le système de défense de l’organisme se trouve partout. Lorsque nous respirons nous avons des milliards d’agresseurs qui passent par le nez et qui entrent dans l’organisme ; il faut un système extraordinaire de défense de la part des poumons et du cœur pour contrecarrer cela ; c’est ce qu’il se passe actuellement, avec l’attaque du corona virus qui provoque, nous dit-on chez certaines personnes, une asphyxie des cellules pulmonaires par absence d’oxygène ; ce qui oblige l’apport d’oxygène de l’extérieur.

Au niveau du système digestif, il existe aussi un système de défense. Tout d’abord le goût, l’odorat sont les premiers filtres dans la bouche, qui nous permettent d’accepter ou de refuser l’aliment ; puis, si nous l’avons accepté et qu’il ne convient pas, nous pourrons le régurgiter dès l’arrivée dans l’estomac. Une fois dans l’intestin, le gardien suprême est le foie – que certains appellent ‘’le goûteur du bas’’ -. Le foie, si l’organisme fonctionne normalement, ne va rien laisser passer de mauvais et va trier ce qu’il va rejeter.

En fait, R. Steiner nous dit que tout aliment est un poison, tant qu’il n’a pas encore atteint le stade humain.

Le travail du système digestif de l’homme est de ‘’détruire’’ l’aliment minéral, végétal ou animal et de le faire vivre à nouveau, en le rendant humain. C’est ‘’l’humanisation’’ des aliments. Tout ce qui entre de l’extérieur, dans l’homme, est poison et l’aliment en fait partie. En fait le système digestif, dans la totalité de son fonctionnement, est un système de défense. Le fait de manger est une ‘’agression’’, puisque nous faisons pénétrer en nous des ‘’poisons comestibles’’… donc nous nous rendons malades en mangeant et c’est la digestion qui nous guérit. La normalité est de nous défendre en permanence ; c’est une fonction biologique.

C’est cela la santé… guérir en permanence. Nous n’avons besoin d’aucun vaccin pour stimuler le processus de digestion.

Le cerveau va lui aussi avoir son système de défense, pour ne plus être pollué par tous les parasites qui viennent affluer sous forme de ‘’pensées des autres’’, accumulées depuis la naissance. Il doit filtrer pour amener l’homme, dans un premier temps à survivre face à aux pensées ‘’extérieures ‘’ à lui, puis dans un second temps, l’amener éventuellement à la prise de conscience de ces pensées parasites ; c’est par un système de défense efficace que l’homme peut espérer accéder à un penser par lui-même. On pourrait appeler cela l’immunité cérébrale ; tous les agresseurs extérieurs, à savoir les pensées, pensés par les autres, ne passent plus. Cela nous demande un très très long processus de défense, qui dure au minimum 28 années – le temps pour l’homme de mettre en place son Moi véritable – pendant lequel l’homme va survivre, pour un jour accéder à cette conscience et enfin vivre par lui-même. Ce très long processus va empêcher certains de tomber dans l’hyper stress, la dépression, le burn out, qui sont toutes les conséquences créées par les hommes eux-mêmes pour se prévenir de leur fonctionnement auto destructeur. Si le processus de défense de l’homme est suffisamment puissant dans la durée, il va lui permettre d’attendre le moment où sa conscience va réellement s‘éveiller pour passer de l’état de veille à l’état d’éveil, c’est-à-dire penser par lui-même.

C’est cette conscience qui va canaliser le système immunitaire de tout le corps ; si nous restons dans l’inconscience, en étant envahi par les pensées des autres, nous entretenons l’agresseur suprême de tout l’organisme… la peur.

Cette peur est l’agent le plus antigénique que nous pouvons rencontrer dans notre vie terrestre. Elle est l’agresseur le plus puissant de la planète. En fait, elle n’est pas un agresseur direct ; elle est la porte d’entrée qui s’ouvre, pour laisser entrer tous les antigènes de la terre, quels qu’ils soient.

Nous allons donc développer des anticorps toute notre vie… et les tests, pour détecter si nous sommes touchés par un virus, ne sont en fait que des analyses qui nous montrent une production excessive d’anticorps, qui peut être liée à n’importe quel ‘’agresseur’’. Or, la médecine nous fait croire que ces tests sont spécifiques au coronavirus – comme elle nous l’a fait croire pour le VIH du SIDA -. Ceci est un mensonge.

Et c’est cette peur, qui va être à l’origine du déclenchement de toutes les maladies, c’est-à-dire de tout le système de défense du corps physique.

La maladie est le système de défense ultime du corps physique. Lorsque toutes nos cellules responsables de la défense sont débordées, la maladie s’installe. La maladie va se révéler par un premier symptôme qui est souvent une augmentation de la température. Tout animal, dès qu’il est malade, va s’arrêter et se coucher pour que son corps, en variant sa température, règle le problème de sa maladie. La température, lorsqu’elle est excessive, devrait provoquer la même chose chez l’être humain, à savoir un arrêt de toute activité et une pause dans sa gesticulation permanente. L’élévation de la température a pour seul but de bruler les agresseurs qui sont passer au delà de la première ligne de défense du corps. Un constat que nous pouvons faire est que la médecine va donner des médicaments pour faire descendre la température et cela ne peut pas être juste, car elle s’oppose à un des premiers processus de défense naturel du corps.

Les théories matérialistes ne peuvent pas nous expliquer le pourquoi de cette merveilleuse alchimie de croissance et de défense ; elle essaie simplement de nous expliquer le comment, quels sont les mécanismes qui se déroulent devant ses yeux. Répondre au ‘’comment’’ c’est rester dans une pensée matérialiste, alors qu’accéder au réel ‘’pourquoi’’ c’est se hisser vers la pensée spirituelle. A ce stade, nous allons nous apercevoir que nous n’avons plus de réponses ‘’toutes faites, instantanées’’ ; nous n’avons plus même, de réponses du tout.

Nous allons découvrir le ‘’je ne sais pas’’, qui est la première porte vers la liberté de l’esprit. Nous allons être obligés de fonctionner seulement avec notre propre esprit et laisser toutes les pensées issues du ‘’comment’’.

Alors, qu’est ce qui a déclenché ce mécanisme, cette merveilleuse alchimie ? Cette question reste sans réponse pour la médecine matérialiste, mais elle fait croire aux gens, qui ne savent pas, qu’elle la connaît.

Elle ne peut pas voir l’invisible ; or cette alchimie est totalement invisible.

La science spirituelle nous donne une autre voie de compréhension ; il n’y a pas de système immunitaire à part ; l’être humain est dans son ensemble, un système de défense global porté par un Corps de Vie, inexplicable car non visible pour la médecine actuelle, mais qui commence à être envisageable par la médecine quantique, qui n’accorde plus toute l’importance à la particule –matérielle visible – mais aux ondes qui dirigent la particule ; elle accorde du crédit à ce qu’elle ne peut pas voir, pour la première fois depuis longtemps à…. l’invisible.

Ce système de défense global porté par le Corps de Vie est omniprésent et pas seulement face aux agressions microbiennes. Le système de défense par exemple, qui nous permet de fuir devant un danger comme le fait l’animal, tonifie nos muscles, s’il nous faut courir par exemple.

Ce système se retrouve aussi dans le mécanisme de l’apnée. Tous les processus biologiques que le corps met en place durant une apnée sont des processus de survie de l’organisme. Si ces processus d’apnée se répètent trop souvent et sur une longue durée, les mécanismes de protection finissent par être débordés et le cœur va provoquer des alertes pour prévenir. Nous pouvons parler, là aussi, d’immunité.

Dans ces cas précis, il n’existe pas de vaccin pour déclencher tous ces processus de défense qui sont totalement naturels. Nous passons notre vie à déclencher des processus de défense naturels et rien de l’extérieur ne les stimule.

Mais, dans le domaine des bactéries et virus, nous jouons aux apprentis sorciers en créant des apports chimiques extérieurs, les vaccins, qui doivent stimuler ou compenser nos processus naturels de défense.

Les vaccins vont nous montrer de façon évidente certains effets secondaires dramatiques que personne ne peut nier. Toujours d’après la science, ces vaccins doivent être répétés et réinjectés régulièrement car ils perdent, d’après les termes de la médecine, leur efficacité immunitaire. Le vaccin est censé donner une immunité chimique à un enfant prioritairement, puis par la suite aux adultes, pour espérer qu’ils ne développent pas la maladie correspondante. La science sait que cette théorie n’est pas juste puisqu’avec l’exemple de la grippe, on s’aperçoit que les virus sont en perpétuelle mutation et que les vaccins ont toujours un temps de retard sur le virus. Mais la science nous dit, à partir de ses statistiques, que même si le vaccin n’est plus celui qui correspond au virus, il est encore efficace et permet d’atténuer la maladie. Nous devons les croire sur parole, alors qu’ils ne peuvent pas avoir de preuve de ces affirmations.

Elle nous dit aussi que, si tout le monde est vacciné, il n’existera plus d’agressions microbiennes ou virales. Or l’homme ne cesse, depuis l’apparition des vaccins d’avoir des maladies microbiennes ou virales. Et il ne cesse d’être agressé par des agents ‘’pathogènes ‘’ – qui nous veulent du mal – extérieurs de tous ordres. Que cela soit par ce que nous pensons, par ce que nous respirons ou par ce que nous digérons.

Si on voulait suivre l’exemple de la médecine, il faudrait qu’il existe des vaccins pour les ‘’pensées parasites’’, pour la pollution de l’air, pour les aliments agressifs pour l’homme. Il n’existe rien de tout cela dans l’immensité de notre système de défense, mais nous sommes encore des apprentis sorciers en voulant croire que nous stimulons une toute petite partie de notre immunité en injectant des vaccins et nous avons occulté l’immensité de notre système de défense, qui lui ne pourra jamais être stimulé de l’extérieur, sinon par l’immunité naturelle pour laquelle l’alchimie humaine a été prévue.

L’immunité naturelle ou le système de défense de l’homme constitue la base de la vie ; il EST LA VIE. Il est en action tout le temps, pas seulement face à des virus.

Le drame est que d’interférer de l’extérieur sur l’immunité la fragilise et l’empêche d’accomplir son travail correctement. Toute intervention de l’extérieur, qui empêche le travail naturel du système énergétique de croissance et de défense de la cellule entrave au bon déroulement de celle-ci.

Et nous allons noter des différences dans l’immunité des gens ; et la médecine va alors le constater, entériner le fait que certaines personnes ont des système de défense plus performants que d’autres, sans pour autant savoir pourquoi ; ceci est toujours un constat, pas une explication.

Répondre au pourquoi est impossible pour la médecine actuelle. Par contre si nous voulons devenir un réel observateur, nous ne pouvons que constater le fait suivant ; les personnes centenaires nous disent qu’elle n’ont jamais pris de médicaments, ni vaccins et n’ont jamais vu de médecins. Nous pouvons observer aussi la différence entre un enfant traité par des antibiotiques et un autre traité naturellement. Le second va récupérer beaucoup plus rapidement de sa maladie, sans séquelles et surtout sans fatigue.

C’est la même chose pour les maladies, dites infantiles, qui sont à la source de la création de tous les vaccins. L’enfant va ‘’grandir’’ de sa maladie, lorsqu’il va la vivre naturellement ; il sera immunisé à vie contre cette maladie alors que le vaccin a besoin de rappels pour pérenniser l’immunité.

Le nombre de conséquences provoquées par les vaccins et ignorées par la médecine est incalculable ; elle reconnaît, avec difficulté, seulement celles qui sont évidentes pour nous dire que le pourcentage est ridicule par rapport au nombre de personnes vaccinées, mais elle est incapable d’apporter une preuve quelconque de ce que le vaccin va provoquer dans l’organisme à moyen terme et surtout à long terme. Il n’existe aucune étude à ce sujet car l’étude est tout simplement impossible à réaliser.

Priver un système naturel de défense de se mettre en place, c’est fragiliser forcément la vie de l’homme. Nous allons donc assister à des maladies qui vont se révéler de plus en plus nombreuses et ne pouvons qu’en faire le constat encore une fois.

La médecine nous dit qu’il est normal que les gens soient de plus en plus malades puisqu’ils vivent de plus en plus vieux grâce à elle. Nous pourrions aussi répondre que si la médecine guérissait, on devrait observer une diminution du nombre de malades et une augmentation de la durée de vie en santé. Nous devons aussi ajouter que l’augmentation de la durée de vie, que la médecine s’attribue, est encore une affirmation fausse ; ce n’est pas grâce à la médecine que la durée a augmenté, car elle est justement en train de stagner pour repartir plus tard à la baisse. Nous en avons pour preuve qu’il a existé, il y a très longtemps, des personnes qui ont vécu beaucoup plus vieilles sans cette médecine.

La matière emprisonne notre esprit à telle point qu’elle a pris toute la place ; nous sommes prisonniers de notre corps physique.

Quelques moments de vie peuvent nous montrer autre chose comme l’orgasme ou l’apnée par exemple. Le temps d’apnée nous libère, d’après Guillaume Néry*, pendant quelques minutes de la matière et nous permet de toucher au bien-être de l’esprit ; ce bien-être ne peut-être décrit, s’il n’a pas été réellement vécu. Or, sur la terre, peu de gens le vivent. Pour cela, il faut nous libérer un temps de notre prison corporelle.

Nous nous sommes condensés comme personne au regard de l’évolution ; c’était le prix à payer pour accéder à l’individualité ; nous nous sommes séparés pour cela du grand tout qui est le porteur du bien-être. Il nous est laissé quelques espaces qui nous permettent de le recontacter… et je pense que l’apnée est l’un de ceux-là, mais attention une apnée réalisée en conscience. Tout réside encore une fois dans ce mot… en conscience.

L’inspiration est la vie qui entre dans le corps ; l’expiration est la mort ; c’est la vie qui sort du corps. Pendant ce temps de quelques secondes, la respiration a un fonctionnement automatique qui se vit, la plupart du temps, de façon inconsciente. Nous pouvons en prendre conscience et allonger ce temps, alors, si on le souhaite.

L’apnée en eaux profondes, pratiquée par Guillaume Nery lors de ses records, est une aventure qui se prolonge au maximum, entre une inspiration et une expiration. Il prolonge l’instant de vie de quelques secondes à quelques minutes. Mais les mots, ‘’prolonge la vie’’, ne sont pas tout à fait justes ; en fait Guillaume découvre la vie, car cette apnée lui demande d’être dans un état d’hyper conscience alors que, lorsque nous respirons sans conscience, nous sommes simplement en état de survie, sur le mode veille ; nous maintenons notre corps physique dans une vie végétative, dépourvue de conscience ; nous sommes à l’état de l’animal pensant… Et nous pouvons passer toute notre vie dans cet état de conscience-là. Nous sommes prisonniers de notre corps. Pour sortir de cet état, il est demandé à Guillaume de mettre en route ses propres forces de volonté qui lui permettent de vivre la présence à soi, condition indispensable d’accès à sa conscience. Il peut retrouver alors l’état d’éveil, que nous avons laissé à l’âge de trois ans.

Mais la grande question que nous devons nous poser peut–être :

‘’ Quelques minutes de présence sont-elles suffisantes au regard du reste de notre temps ?

N’est-il pas possible de penser que ces minutes deviennent le quotidien des hommes ?

* Guillaume Néry : champion du monde d’apnée

Le grand puzzle ou le grand tout

Quand je regarde ma biographie, je me représente ma vie comme un puzzle constitué de milliards de milliards de pièces. Nous devons le reconstruire, pièce par pièce, pour retrouver l’unité primordiale, la matrice originelle, le grand tout, le UN, appelez-le comme vous voulez.

Nous sommes issus de cette matrice. Ce puzzle représente les milliards et milliards d’additions du minéral, du végétal, de l’animal et de l’homme. Si on réunit tous ces milliards, nous retrouvons le grand tout. Il a été nécessaire au cours de l’évolution que ce grand tout se sépare, se condense, devienne de plus en plus petit, de plus en plus individuel pour arriver à des milliards d’individualités uniques, qu’elles soient minérales, végétales, animales ou humaines.

De la même façon que nous devons reconstituer ce grand puzzle en nous, individuellement, nous devons aussi le reconstruire collectivement pour se retrouver en une unité. C’est le fameux concept du microcosme et du macrocosme.

Le microcosme est représenté actuellement par les humains, qui possèdent en leur intérieur le grand puzzle avec la somme du minéral, du végétal, de l’animal… et de l’homme.

Chacune de nos cellules travaillent individuellement, comme l’homme travaille individuellement, mais chacune de nos cellules, en travaillant individuellement, agit sur le tout en même temps que ses copines. De la même façon l’homme doit travailler individuellement et en même temps servir les autres. Toute formule, toute technique, qui ne va pas dans ce sens là, ne peut être juste et cela se manifestera chez l’homme par des maladies, maladies qui se manifesteront aussi sur toute la planète.

Les maladies de l’homme sont les causes des maladies de la terre, puisque l’homme se sert de la terre. Les maladies hurlent à l’homme son déséquilibre. Tant que l’homme sera déséquilibré, la terre le sera aussi.

L’homme, qui veut reconstruire son puzzle, ne peut pas le faire, s’il n’a pas la vision du tout, s’il ne sait pas où il doit aller.

Seulement l’homme, après avoir parcouru le chemin vers son individualité, a perdu la vision des pièces qui lui manquent. Chacun va se spécialiser dans sa matière, dans une fonction, et les développer en ayant perdu l’idée de l’unité primordiale. Le corps humain nous montre pourtant, qu’en partant de la cellule originelle, le un, la cellule spermatozoïde-ovule, il s’est passé une multiplication de cellules identiques. Puis ces cellules vont se différencier et se spécialiser en cellules du foie, du cœur, du cerveau etc. Elles vont avoir une tâche très précise à jouer, tâche liée à leur spécificité, mais ce rôle sera toujours en relation avec toutes les autres pièces du puzzle, pour que le tout fonctionne. Lorsqu’il existe une cellule qui ne travaille plus avec la vision du tout, apparaît la maladie qui survient pour nous dire, ‘’attention, remets cette cellule à sa place’’.

C’est ce que nous avons à accomplir à l’échelle humaine, c’est-à-dire dans un premier temps voir le fonctionnement du tout à l’intérieur de l’homme. C’est à cet endroit que se trouve l’impasse de notre médecine qui n’a pas fait le travail pour visualiser le tout.

Voir le fonctionnement de l’unité à l’intérieur de l’homme peut nous permettre, dans un second temps, d’espérer mettre en place le fonctionnement du tout à l’intérieur de l’humanité. Pour réaliser cela, il faut connaître le tout, savoir où nous allons. Nous ne pouvons pas emprunter un chemin, si nous ne savons pas où il mène.

Actuellement l’homme s’est tellement diversifié qu’il est devenu spécialiste d’une toute petite partie et développe cette partie, qu’il pense à la perfection, jusqu’à devenir un ‘’expert’’ de sa partie. Et chaque partie, que l’homme a créée, est devenue tellement individualisée, qu’elle s’est séparée du tout.

Et lorsque l’homme s’aperçoit que cette hyperspécialisation n’est pas juste, il va effectivement tenté de voir comment faire autrement. Il va alors se tourner, par exemple, du côté spirituel en ayant pris conscience qu’il a atteint le summum du matériel et qu’il est arrivé dans une impasse. Il peut se pencher sur sa partie spirituelle, car il a compris que nous sommes à l’origine une unité spirituelle.

Mais, là aussi existent des pièges, car dans cette voie on peut s’isoler et se perfectionner à un endroit précis sans avoir la vision du grand tout. Nous allons retrouver des pièces du puzzle, nous allons les mettre cote à cote, mais si nous ne sommes pas capable d’avoir la vision de l’unité, nous allons bloquer à cause de notre égo.

Il nous faut parler de ce fameux égo.

L’égo est le moteur qui doit nous permettre de rassembler toutes les pièces pour accéder à la vision du grand tout. Pour cela, l’égo doit devenir totalement neutre, c’est-à-dire sans aucun jugement ; il ne doit vivre ni l’excès ni le défaut à savoir… vivre l’égoïsme. Si l’égoïsme perdure, il est impossible de retrouver toutes les pièces du grand tout. Donc le premier objectif de l’homme est de retrouver un égo empathique, c’est-à-dire dominé ni par l’antipathie, ni par la sympathie.

Comment faire pour retrouver cet égo là ?

Cela va nous demander de prendre conscience, tout d’abord, que nous sommes conditionnés, fabriqués, depuis notre naissance jusqu’à un certain âge, par la pensée des autres, le fameux processus de domestication sociale. Cette étape est essentielle ; sans cette prise de conscience, l’égo ne pourra pas évoluer, puisqu’il ne sera jamais une réalité. On pourrait l’appeler, avec nos mots actuels, l’égo virtuel.

Pour qu’un égo se révèle réellement, il est indispensable qu’il pense par lui-même.

Tant que nous sommes conditionnés par ce processus, nous ne pouvons espérer accéder à l’égo pur, celui qui est issu du Moi universel, de l’unité.

Notre égo est pollué par des pensées que j’appelle, parasites, qui n’ont pas été construites par nous. Pour accéder à cette pensée pure, il faut vider toute notre mémoire de tout ce qu’on nous a enseigné, de tout ce que nous avons été pensés, de faire un vide total.

C’est peut-être cela que Guillaume Néry – champion du monde d’apnée – retrouve lorsqu’il est en apnée consciente.

C’est certainement un instant où on se reconnecte avec le tout parce que nous sommes le tout ; dans chaque individualité est regroupé le tout. Il a fallu des millions et des millions de temps pour que l’homme ait la capacité de prendre conscience individuellement de ce tout. Si nous restons dans le processus de domestication sociale, nous sommes incapables d’avoir accès à la conscience de ce tout.

Dans un premier temps, cette analyse va nous amener à l’intellectualisation de ce tout ; nous savons que ce tout est à l’origine, mais nous ne le vivons pas.

Il ne suffit pas de penser à l’unité spirituelle, il va être nécessaire de la vivre.

Pour cela le seul chemin qui nous est indiqué est celui de vivre l’instant présent.

C’est pourquoi l’homme cherche par tous les moyens de retrouver cette présence à travers des méditations, à travers d’autres moyens, comme l’apnée par exemple. Le monde spirituel nous a laissé un vestige pour tutoyer ce tout, mais de façon vraiment atténuée, c’est l’orgasme. L’orgasme est l’unique moment où l’homme peut s’échapper du temps, où plus rien n’existe et il sait, au plus profond de lui, que cet instant est unique et inégalé. Dès que la pensée apparaît, le vécu de l’orgasme ne peut plus se reproduire.

Voilà pourquoi l’homme court frénétiquement après l’orgasme, mais le piège est qu’il y court de façon égoïste car il pense régulièrement à lui. L’acte sexuel est devenu une pensée, une obsession même pour certains. Il ne pourra pas accéder au tout par ce chemin.

Donc, si nous voulons penser par nous-mêmes nous devons faire le vide de toutes les pensées que nous avons apprises et même le vide de toutes les pensées que nous projetons, si ces projets sont basés sur des expériences déjà apprises. Nous devons vivre l’acte sans pensée préalable, sans préjugement, sans aucun état d’âme ; alors l’acte sexuel devient simplement un acte, identique à celui de manger ou de boire. Si nous arrivons à vivre l’acte sexuel, seulement pour l’acte qu’il représente, alors la jalousie, la possession, donc l’égoïsme disparaît ; alors nous pouvons espérer commencer à tutoyer l’amour. Cela signifie que l’homme qui fonctionne avec les pensées des autres ne pourra jamais accéder à l’amour, ni même s’en approcher.

Nous vivons actuellement dans ce monde et la réalité nous confirme que cet amour n’existe pas.

« Ce que nous allons entreprendre, c’est une expédition ensemble, un voyage de découverte dans les recoins les plus secrets de notre conscience. Et pour une telle aventure, on doit partir léger, on ne peut pas s’encombrer d’opinions, de préjugés, de conclusions : de tout ce vieux mobilier que nous avons collectionné pendant deux mille ans et plus. Oubliez tout ce que vous savez à votre propre sujet ; oubliez tout ce que vous avez pensé de vous-mêmes ; nous allons partir comme si nous ne savions rien. » 

Krishnamurti

Pour en arriver à cela, nous ne pouvons plus nous contenter des vérités enseignées par quiconque – je dis bien par quiconque – mais fonctionner par nous-mêmes, à travers la réalité des choses, c’est-à-dire ce qu’il nous est présenté sans aucun jugement, sans aucune projection, sans aucune analyse dans un premier temps.

On regarde et on vit la réalité.

Pour l’apnéiste, il ne peut que gérer ce qu’il se passe au moment où cela se passe, gérer la pression de ses poumons, l’envie de respirer qui peut vite se transformer en besoin urgent, s’il commence à penser. S’il se met à penser, il va mourir.

C’est la réalité qui lui impose les actes à accomplir ; il fait en fonction de la réalité du moment présent.

Notre plus grand travail sur cette terre est de vivre cet état d’être et en être contagieux. Cela ne peut pas passer par des images ou des mots virtuels, mais par un exemple vivant ; ce que nous faisons avec tous les enfants de la planète ; le petit enfant est une éponge qui reproduit tout ce qu’il voit ou entend sans comprendre.

Nous devons vivre la même initiation, vis à vis de la réalité.

La réalité est l’exemple vivant pour l’adulte, à partir de laquelle il peut agir.

Notre esprit n’est plus alors englué dans la matière, c’est-à-dire plus accaparé par la pensée des autres. Il fonctionne par lui-même et filtre toute pensée qui vient de l’extérieur.

Pour cela nous sommes aidés par le monde spirituel ; c’est une forme de collaboration parfaite car il nous réveille, lorsqu’il veut nous glisser à l’oreille ce que nous devons dire et nous savons alors que les propos que nous allons énoncer sont justes – même s’ils sont contredits par des millions de personnes –

L’ange ou notre moi intérieur ou notre entité géniale, – appelez-le comme il vous plaira ou ne l’appelez pas du tout, car dès que l’on nomme quelque chose, on s’enferme dans un concept, dans une pensée – vient à notre rencontre seulement, si nous avons lâché au préalable tout notre système de penser acquis et si nous utilisons notre propre pensée vide de tout jugement.

L’homme prison

Nous sommes emprisonnés par notre corps. Nous dépendons de l’alimentation, de la respiration, des pensées. Notre moi est soumis à la volonté du corps et n’est donc pas libre. A ce stade nous pouvons l’appeler l’égo. Cette ‘’entité’’ se soumet totalement à tous les ‘’caprices’’ du corps, la plupart du temps de façon inconsciente, à travers les pensées, la respiration et l’alimentation, et quelquefois de façon consciente à travers les maladies. Nous dépendons uniquement de son fonctionnement et le moi obéit totalement aux mécanismes ‘’vitaux’’. Nous pouvons nous nommer, ‘’homme-prison’’.

Nous ne sommes libres de rien, sauf dans l’orgasme. Il y a, pendant quelques secondes (minutes pour certaines) une sortie du corps. Nous n’existons plus en tant que corps physique.

Le processus de l’apnée permet aussi, mais dans une moindre mesure peut-être, à s’émanciper du CP pendant quelques minutes (pour les plus performants).

L’évolution nous a amené jusqu’à l’élaboration d’un corps physique pour que l’homme puisse faire l’expérience de qui est l’homme ; il n’existe aucune entité, des hiérarchies spirituelles, qui a fait cette expérience ; les hiérarchies spirituelles la font à travers l’homme incarné.

Lorsqu’on observe toujours la réalité, nous nous apercevons que l’homme se libère de son corps physique-prison qu’au moment de la mort. Les êtres humains vont par contre, durant toute leur vie terrestre, essayer de chercher à se libérer à tout prix de ce corps, qui les emprisonne aux trois niveaux de l’âme – penser (les pensées)- sentiment (la respiration)- volonté (l’alimentation) – à travers l’orgasme.

Certaines personnes vont vouloir aller plus loin et tenter de le faire, à travers un arrêt de l’alimentation, un arrêt de la respiration ou un arrêt de la pensée ; tout cela au prix d’efforts conséquents pour l’obtenir, jusqu’à ce que cela ne demande plus d’effort.

En effet, l’homme, qui a accompli ce chemin, ne fournit plus d’effort.

En fait nous sommes sur la Terre pour accomplir un travail important, celui de retrouver l’immensité spirituelle, dont nous sommes issus, et que nous retrouvons à la mort terrestre.

Le passage sur terre est un passage uniquement initiatique pour préparer l’homme à devenir la future hiérarchie spirituelle… la hiérarchie de la liberté et de l’amour.

Certains savent que l’amour universel sur terre est très difficilement accessible, tant que l’égo est prisonnier de son corps. Par contre, lorsqu’on tutoie cet amour, le travail est accompli et aucun effort nous est alors demandé ; tout devient fluide ; tout est juste ; tout est à sa place ; tout cela sans aucune pensée qui vienne court-circuiter la merveilleuse alchimie de la création.

Les hommes ont pris conscience que, pour espérer accéder à ce firmament, ils doivent utiliser la méditation… Mais qu’est ce que la méditation ?

Et de nouveau ce sont les pensées des hommes qui ont mis en place différents procédés de ‘’méditation’’… et nous avons encore tout faux, car aucune pensée ne peut nous amener à la méditation.

Lors d’une authentique méditation, l’homme devrait se libérer totalement de son égo ou esprit, accéder au vide complet, mais pas vouloir faire le vide car la pensée entre alors de nouveau en jeu.

Accéder au vide, c’est être uniquement dans l’attention des choses, car c’est le seul moment où la pensée s’arrête pour laisser la place uniquement à la chose qu’on observe.

Et ceci peut être réalisé à n’importe quel moment de la journée et sur n’importe quel sujet d’attention ; il n’est pas nécessaire de se mettre en position de lotus ou dans d’autres positions spécifiques, dans un lieu retiré sans bruit, etc… Tout ceci a encore été pensé par l’homme-prison.

En fait, l’homme vit son ‘’enfer’’ sur la Terre, car il va chercher (ou pas) toute sa vie, de façon consciente ou inconsciente, à se sortir de ce carcan que constitue son corps. Lorsque la religion nous parle d’un enfer après la mort, elle nous trompe, ou en tout cas se trompe de lieu… ‘’L’enfer’’ est bien sur Terre, pour ceux qui ne le voit pas, mais il peut se transformer en ‘’paradis’’ pour ceux qui l’aperçoivent.

Le travail, pour accéder à ce niveau de conscience, se situe bien sur la Terre, à l’aide notre corps, entre la naissance et la ‘’mort’’, et non dans le ciel présenté par certains comme le ‘’nirvana’’.

Une nouvelle fois, nous pouvons constater que le corps humain, cette merveilleuse alchimie, qui nous a été donnée par la Création, a tout prévu pour être le support de notre avancée (ou pas) sur le plan spirituel. Il nous offre tous les ingrédients pour nous éveiller, si nous portons toute notre attention à ce qu’il représente véritablement.

Pour cela nous devons aller à sa rencontre et ne plus rester dans des pensées toutes faites, apprises.

Si nous faisons ce travail, nous éliminons l’égo, qui sait tout, au profit du Moi, qui connaît tout ce qui est juste.

Alors, le monde spirituel peut venir à notre rencontre car nous avons fait le chemin nécessaire et indispensable pour le rencontrer.

Le Saint Esprit et l’esprit sain

Je viens de faire un rêve dans la nuit du dimanche de pentecôte. Nous sommes en guerre et quelqu’un fait des sandwichs qui sont, soit en noir et blanc, soit en couleur. Ceux qui mangent les sandwichs en noir et blanc sont angoissés et totalement paralysés par la guerre, alors que ceux, qui utilisent les sandwichs en couleur, sont remplis de forces pour ne pas accepter cette guerre.

Cela peut nous faire penser un instant au mot ‘’guerre’’ employé par Emmanuel Macron, au sujet du corona virus.

Ces deux catégories de personnes peuvent nous renvoyer à la notion du 2 et du 3. Rappelez-vous la notion de triarticulation, à savoir corps-âme-esprit. Ces mots peuvent rester seulement des mots, c’est-à-dire des images totalement abstraites, ou devenir concrets, si nous les faisons vivre. De cette triarticulation, à première vue, on peut dire que seul le corps paraît concret, puisqu’il se voit, alors qu’âme et esprit seraient issus de notre imagination, puisqu’ils sont invisibles à l’œil. Mais, si on se penche de plus prêt sur la notion du corps, on s’aperçoit que lui aussi est virtuel, car nous ne connaissons pratiquement rien de lui. La médecine en a décortiqué seulement les apparences extérieures.

Donc cette triarticulation, comme celle d’ailleurs de, liberté-égalité-fraternité, est une association de trois mots représentant une image virtuelle, formée par notre esprit, qui n’a aucun sens pratique dans notre vie actuelle.

Nous allons essayer de lui donner du sens.

Certains d’entre nous savent que, pour que l’homme devienne une individualité qui deviendra dans un avenir plus ou moins lointain, libre et porteuse de l’Amour universel, il a été nécessaire qu’il passe par le matérialisme poussé à l’extrême. Pour cela l’homme tripartite (le 3), corps-âme-esprit, a dû se séparer de l’esprit pour devenir un homme ‘’dualité’’ (le 2) constitué d’un corps et d’une âme ; l’église a entériné cet état de fait au concile de Constantinople en 869. En supprimant la notion d’esprit, l’église parle d’un homme, qui ne peut pas penser par lui-même, mais doit penser à travers les pensées de l’église ;

l’église va donc penser à la place de l’homme.

L’église va dominer le monde pendant un certain temps, jusqu’à ce que la science prenne le pouvoir ; cette dernière va se reposer seulement sur le ‘’visible’’ et occulter âme et esprit, mais elle va quand même ‘’s’encombrer’’ des émotions et pensées, dont elle ne sait que faire, car elles ne peut pas les voir ni ne peut les expliquer avec ses méthodes intellectuelles.

En prenant la place de l’église, la science va alors imposer ses pensées à l’homme.

La science va donc penser à la place de l’homme.

L’épisode du corona virus en est un exemple des plus concrets.

Pour essayer de rendre vivant, ce qui est pour le moment abstrait, essayons de remplacer les mots, corps – âme – esprit, par, volonté – sentiment – pensée. Même si cette comparaison n’est pas tout à fait exacte, elle se rapproche de la volonté de comprendre par nous-mêmes ce qui, jusqu’à présent, nous a été imposé comme un dogme totalement abstrait.

Personne ne peut nier que l’homme pense, ressent et agit. Ce 3 est omniprésent. Pourtant depuis l’avènement du matérialisme – et avant lui la religion – nous ne pensons plus par nous-mêmes, mais nous sommes pensés par la science (et / ou la religion pour certains) ; mais qu’est ce que la science ?

La science est portée par la pensée des autres, qui sont censés savoir de leurs prédécesseurs, qui, eux aussi, ont subi la pensée des autres, etc… Nous sommes passés du 3 au 2. A ce stade, l’homme est réduit à l’état de robot qui effectue ce qu’ON lui dit.

Mais pourquoi avoir fait ce rêve justement à la Pentecôte. Que disent les textes sur la pentecôte ?

La Pentecôte serait la descente du Saint Esprit sur les apôtres. A partir de cet instant, les apôtres vont devenir des Initiés capables de délivrer le message, que le Christ a apporté sur la terre 50 jours auparavant, au moment de sa crucifixion.

Le Christ a apporté l’Amour sur la Terre, au moment où les hommes étaient en train de se perdre dans un égoïsme sans limite. Ceci est le message du monde spirituel ; chacun est libre de l’entendre un peu, beaucoup ou pas du tout.

Cet égoïsme ne s’est pas atténué, mais au contraire s’est renforcé par la pensée purement matérialiste. Nous sommes devant un constat réel.

Alors, essayons de voir si ce message, totalement virtuel pour l’instant, peut ‘’coller’’ avec la réalité.

Le Saint Esprit peut s’appeler aussi l’Esprit Saint. L’Esprit Saint peut s’écrire aussi l’esprit sain, un esprit qui peut devenir sain. Un esprit sain est un esprit qui ne subit aucune influence extérieure à lui.

Mais pourquoi ajouter l’adjectif, sain, au mot esprit ? Et bien encore une fois, tournons-nous vers la réalité en faisant abstraction de tout ce qu’on a pu nous enseigner. Essayons de vider notre esprit, l’espace de quelques minutes, de toutes nos croyances et observons.

Nous sommes formatés, je l’ai déjà dit, depuis notre naissance par la pensée des autres ; à aucun moment nous n’avons le droit et le pouvoir de penser par nous-mêmes ; ça, c’est notre esprit, ou plutôt celui des autres, car le notre n’existe pas réellement. Nous allons, au fur et à mesure de notre existence, créer des images, des concepts qu’on nous a enseignés. Puis peut advenir un déclic, qui va commencer à nous faire douter de ces images devenues croyances. Nous pouvons alors repousser ce doute ou au contraire aller l’explorer. Si nous succombons à ce doute nous allons continuer à fonctionner sur le mode binaire. Par contre, si nous dépassons ce doute, nous pouvons espérer fonctionner avec notre propre esprit, à savoir sur le mode ternaire… pensée-sentiment-volonté. Ce n’est plus les pensées des autres qui s’expriment en nous mais nos propres pensées, issues d’un esprit qui est en harmonie totale avec ses sentiments et ses actions.

Ce n’est plus un raisonnement intellectuel, porté par le cerveau de la tête, qui domine mais le sentir, porté par l’écoute du cerveau du cœur. A ce stade les actes effectués seront justes et en harmonie totale avec pensée et sentiment ; aucun des trois ne domine les deux autres. Nous atteignons la triarticulation parfaite et pouvons alors apporter à l’esprit, l’adjectif de sain.

L’homme va alors penser par lui-même. L’esprit devient sain.

Recevoir l’Esprit Saint, c’est l’événement qu’ont vécu les apôtres lors de la Pentecôte. Cet enseignement leur a changé totalement leur vie. Leur esprit est devenu sain. Il était nécessaire qu’ils nous montrent le chemin et surtout qu’ils nous montrent que cela est possible.

Retrouver son propre esprit est l’événement que l’homme doit accomplir aujourd’hui. Alors on pourra parler d’un Esprit…Sain. Les différents témoignages que j’écoute depuis cet épisode de ‘’virus’’ me confirment qu’il existe de plus en plus ‘’d’esprits sains’’ qui s’éveillent.

Fonctionner par son propre esprit implique de ‘’mettre à la poubelle’’ toute pensée préétablie par les autres, de faire le vide total d’images préjugées, de ‘’partir comme si nous ne savions rien’’ (Krishnamurti).

A ce stade nous pouvons espérer fonctionner par nous-mêmes et devenir un jour, ce que les apôtres ont obtenu, à savoir l’Initiation.

L’initiation peut être perçue comme la rencontre entre l’homme terre et l’homme ciel, où la dissociation n’existe plus, car elle fait place à l’unité.

Nous aurons alors accompli notre mission sur Terre, à savoir de passer du 2 – l’égoïsme ou l’animal pensant –, au 3 – passage de l’égoïsme à l’amour ou l’Être qui devient Humain –, pour arriver au 1 – l’Amour Universel et la liberté qui est son synonyme – car il ne peut exister de liberté qu’en esprit et celui-ci ne peut être que sain et, s’il est sain il ne peut que transmettre l’Amour à chaque instant, partout où il se trouve.

Roger Mc Gowen en est une preuve vivante.

Et si c’était cela la fameuse Résurrection du Christ. Comprendre enfin, dans notre quotidien, cette épisode ‘’mystique’’ qui reste un ‘’concept religieux’’ pour beaucoup de gens.

Le Christ, cette entité spirituelle, s’est incarné dans un corps physique (Jésus) pour montrer aux hommes que la mort n’existe pas et que, ce que les hommes appellent mort terrestre est en fait un passage d’un état de conscience à un autre état de conscience. Et que ce changement d’état de conscience doit pouvoir se retrouver dans tous les instants de notre vie. Notre vie est parsemée de résurrections permanentes, la plupart du temps restées au niveau inconscient. Par exemple, dans le corps physique, toutes les secondes des cellules meurent et d’autres apparaissent.

Transformer un esprit formaté en un esprit sain :

C’est ne jamais accepter une pensée venant d’autrui, sans avoir été la vérifier au préalable.

C’est passer d’un mode de fonctionnement téléguidé, robotisé, à un mode de fonctionnement totalement individuel.

C’est passer de l’animal pensant (égoïste) à l’Être Humain (empli d’amour). C’est ce qui se passe à la ‘’mort terrestre’’.

C’est passer d’un état de conscience de veille à un état de conscience d’éveil.

Tout comme les apôtres ont vécu la résurrection en devenant des Initiés, grâce à l’Esprit Saint, l’homme vit une résurrection en passant de l’esprit ‘’des autres’’ à un esprit sain, fonctionnant par lui-même.

C’est à un réel ‘’tsunami’’ spirituel, que nous avons à faire face.

La résurrection prend alors tout son sens et ne reste plus à l’état de concept ‘’religieux’’ abstrait, donc inutile.

Le Saint Esprit est l’Esprit dans toute sa pureté ; l’Esprit, devenu sain, est le chemin pour y accéder.

L’Esprit, alors sain, est à même de mesurer le fonctionnement de son égo pour le transformer en un Être Humain, empli d’Amour Universel.

L’évolution de l’Humanité reprend alors tout son sens.


Fin des réflexions sur le CORONA VIRUS

Le piège

Voici un bout d’entretien que j’ai eu avec une amie que j’accompagne dans sa démarche dento-humanosophique ; ces propos sont récurrents chez les personnes qui ne sont pas encore entrées totalement dans la dento-humanosophie.

« Depuis un mois, je suis débordée par le temps et je n’arrive pas à faire les exercices avec l’activateur. »

Je devais la rencontrer quelques jours auparavant mais elle a annulé notre rencontre au dernier moment, car elle a déclenché des problèmes intestinaux. A cet instant, j’ai su (bien avant qu’elle me le dise) qu’elle n’utilisait plus l’activateur, car sinon elle n’aurait pas été malade.

Tout ceci m’a amené à cette réflexion.

Le piège, pourquoi ce titre ?

Le fonctionnement actuel de l’humanité repose en totalité sur l’électromagnétisme, représenté concrètement par le numérique, dont la finalité est internet. Toute l’humanité (ou presque) considère ce procédé comme une avancée sans précédent, comme un progrès qui permet à tous les hommes de se connecter d’un bout à l’autre de la planète et de pouvoir ‘’dialoguer’’ en un temps record. Tout est conçu pour accélérer le temps parce que l’homme n’a manifestement plus le temps pour rien ; il doit courir après ce temps si précieux qui lui échappe souvent. La phrase, ‘’je n’ai pas le temps ou je n’ai pas assez de temps’’ est le quotidien de l’homme actuel. L’être humain doit et veut toujours aller plus vite, pour gagner du temps… mais une question se pose !

Que fait-il du temps qu’il a gagné ? Il a gagné du temps, donc il en a plus, alors que fait-il de ce gain de temps ? Il s’en sert pour en gagner encore et, de cette façon, il ne vit jamais le moment présent, puisqu’il court toujours après ce fameux temps qui n’arrête pas de lui échapper.

Il se situe à cet endroit, le piège ; en voulant toujours gagner du temps, l’homme ne s’arrête JAMAIS. Il ne peut donc pas vivre l’instant présent, ce fameux moment qui est cité dans tous les textes sacrés (mais aussi les non sacrés) comme étant la seule issue qui peut perpétuer la santé chez l’homme. Ce moment totalement éphémère est le seul et unique où la peur n’a plus sa place. Or la peur est LA cause de toutes les maladies sur Terre, car derrière la peur domine toujours l’égoïsme*. Nous comprenons alors pourquoi les maladies sont et seront toujours de plus en plus nombreuses et de plus en plus inexplicables à la science actuelle qui cherche les causes à l’extérieur de l’homme.

Tout ce que je viens de décrire se passe dans l’inconscience la plus totale pour la quasi totalité de l’humanité. Le piège est d’une intelligence suprême car il a transformé le mal en bien.

Mais certaines et certains d’entre nous commencent à se poser les questions qui dérangent la médecine. Toutes celles et ceux qui vivent un mal-être quotidien, depuis de très nombreuses années ; celles et ceux pour lesquels la médecine ne répond plus. Leur souffrance est telle que le ‘’mal’’ commence à leur dire ; ils vont alors se tourner vers d’autres éventuelles hypothèses de penser. Ils vont prendre progressivement conscience que ces nouvelles hypothèses ont une loi commune à toutes : elles sont cohérentes. Si on se penche sérieusement sur elles, on s’aperçoit qu’elles sont, non seulement cohérentes, mais répondent à une logique intellectuelle implacable, puisque reproductibles à 100%. Ces hypothèses deviennent des solutions ‘’aux données actuelles de la science’’, phrase derrière laquelle se cache la médecine pour ne jamais remettre en questions ses données actuelles.

Les personnes, qui n’ont plus rien à perdre, vont faire l’expérience de ces nouvelles idées, qui sont en fait très anciennes mais qui ont été balayées par la science dite moderne. Les femmes et hommes, qui vont s’investir dans ces ‘’nouvelles’’ trouvailles, vont guérir de tous leurs maux ; nous pouvons parler de guérison et non plus de rémission.

Mais quelquefois, bien que le piège soit vécu en conscience, certains n’arrivent pas à s’investir dans cette nouvelle voie et mettre en place les actes nécessaires. Alors le mal-être (et/ou la maladie) persiste et/ou s’accentue même, à la mesure du degré de conscience.

Mais, que fait la maladie (le ‘’mal a dit’’) ? Quel est son rôle ?

Elle nous arrête dans notre activité habituelle et le symptôme et/ou la douleur nous maintiennent constamment dans la présence. En effet, elle est notre préoccupation principale qui va tout occulter ; elle prend toute la place et est omniprésente; elle nous oblige à vivre la présence tout le temps. Chaque seconde, le mal nous dit. La maladie devient notre meilleur ami ; elle nous guide sur le chemin du moment présent perpétuel. Elle est là pour nous apprendre la présence et nous dire : ‘’arrête-toi ; mais comme tu n’y parviens pas, je te montre l’exemple et t’oblige à vivre ma présence.’’

Que fait alors la médecine ? Elle va donner des médicaments pour essayer de faire taire la douleur (‘’le mal qui dit’’) pour nous permettre de penser de nouveau à d’autres choses, c’est-à-dire à retrouver nos pensées d’avant, nos pensées qui sont du domaine du passé, celles qui nous empêchent de vivre l’instant présent, qui est le seul signe de la santé. Par ce mécanisme du médicament, la médecine nous empêche de nous éveiller à une autre conscience et nous maintient dans un fonctionnement pathologique qui engendrera d’autres symptômes, d’autres douleurs, donc d’autres maladies… et c’est un engrenage sans fin. Le constat est sans appel ; il y a de plus de maladies et de plus en plus de malades, soignés par de plus en plus de médecins (il en manque toujours plus dans les villes et dans les hôpitaux) qui prescrivent de plus en plus de médicaments.

Si l’homme prend conscience de tout cela, il va mettre en place des actes pour faire disparaître la maladie et vivre la présence sans son aide. Seul l’acte de présence, vécu en conscience, peut permettre à l’homme de vivre harmonieusement dans la santé. Le choix de cet acte est nécessaire et indispensable. Celles et ceux qui ne parviennent pas à vivre cette présence dans l’action font le choix de ne pas la vivre. C’est leur choix mais nous sommes totalement responsables de nos choix.

La dento-humanosophie nous donne des outils pour accéder à ce choix. Pour cela il est vital (et le mot n’est pas trop fort, sinon nous sommes dans la survie) de décider, par nous-mêmes, d’arrêter notre ‘’gesticulation’’ de tous les jours pour faire un ‘’arrêt sur image’’, à savoir prendre quelques minutes de NOTRE temps (car c’est bien de notre temps dont il s’agit ; je suis le seul maître de mon temps.) pour se poser dans l’instant et mordiller un anodin petit appareil en caoutchouc.

Pour le monde d’internet, cela n’est pas sérieux, et pourtant !!! Ce moyen nous permet de passer de l’inconscience totalement aveugle à une conscience de plus en plus éclairée, conscience qui va nous permettre de nous éveiller à l’essentiel, à la vraie vie programmée pour l’homme.

Nous discernerons alors le piège véhiculé par l’intelligence artificielle d’internet, qui n’est qu’une illusion, et nous retrouverons le temps nécessaire à cette vraie vie. C’est la seule voie qui peut nous permettre l’accès au bien-être et à la santé.

* voir mon dernier livre ‘’ De l’égoïsme à l’Amour ‘’

MON ‘’ANGE’’

J’ai vécu d’une certaine façon et je vis d’une autre façon à côté d’un ‘’Ange’’. Mon épouse Christine a été, est et sera à jamais un maître spirituel qu’on pourrait appeler ‘’ordinaire’’ face aux maîtres connus et reconnus comme des enseignants spirituels.

Il existe, je pense et je le souhaite pour l’humanité, beaucoup de maîtres ordinaires qui délivrent leur enseignement à travers leur état d’être, par ce qu’ils dégagent de vérité, de bonté et d’Amour. C’est ce que Gitta Mallasz (1) avait nommé ‘’ la spiritualité dans l’ordinaire ’’, car il n’existe pas plusieurs spiritualités ; seule La Spiritualité vécue au quotidien peut prétendre à ce titre. Tout le reste demeure au stade de la littérature.

Les ‘’Grands’’ maîtres de l’humanité sont nécessaires, mais quelquefois malheureusement pas suffisants, car ils peuvent rester au stade de cette théorie littéraire pour certains ‘’apprentis disciples’’. En effet, ces derniers peuvent même s’emparer des enseignements et devenir des ‘’pseudo maîtres’’ aux yeux de l’immensité de la population qui souffre de son manque de spiritualité.

Cette souffrance est exponentielle et va progresser à une vitesse de plus en plus importante, à la mesure de la prise de conscience de l’humanité vis à vis de la destruction de la planète, donc de l’homme, car c’est bien la Terre et le cosmos qui nourrit entièrement l’homme, à travers les aliments, l’eau, l’air, la chaleur ou dit autrement le minéral (solide), le végétal (liquide), l’animal (gaz-air), l’humain (chaleur).

Ce scénario a permis à de nombreux ‘’pseudo maîtres’’ de créer des formations sur le ‘’bien-être’’ où se rassemblent tous les souffrants du matérialisme, qui ne trouvent pas d’issue à leur mal-être… et la demande est, là aussi, exponentielle.

J’ai fait partie de ces souffrants et j’aurais pu faire partie de ceux qui sont aveuglés par le charisme de ces ‘’pseudo maîtres’’, si je n’avais pas eu un ‘’Ange’’, à mes côtés, pour m’instiller la spiritualité en ‘’intraveineuse’’, c’est à dire en goutte à goutte, sans précipitation ni volonté de convaincre. Elle m’a laissé où plutôt m’a donné le temps nécessaire pour m’éveiller progressivement, en me laissant vivre le stade du cartésianisme pur et dur, nécessaire je pense à l’humain actuel. Puis elle m’a permis, par  sa seule attitude, de faire la différence entre religion et spiritualité, religion que j’avais repoussée totalement.

Christine est une âme d’une pureté rare. Je ne lui connais pas d’ennemis, peut-être des envieux, car il est vrai que sa bonté naturelle donne envie. Mon karma (notre karma) m’a donné le privilège de côtoyer cet être exceptionnel qui continue, grâce à la maladie (2), à m’apprendre à travailler sur notre TÂCHE suprême… l’excès d’égoïsme (3).

Et la partie n’est jamais gagnée définitivement, car l’égo est partout puisqu’il représente ‘’qui nous sommes sur la Terre.’’ Au cours de l’évolution, nous nous sommes détachés de notre grand Moi en laissant, aujourd’hui, toute la place à l’égo. Ce passage était nécessaire pour que l’homme accède à sa propre individualité.

Maintenant, le temps est venu de retrouver notre partie spirituelle invisible, ‘’égarée’’ peu après la naissance, partie que certaines et certains d’entre nous possèdent encore de façon plus prononcée. Ce sont toutes ces personnes qui véhiculent le bien sur terre sans aucune pensée malsaine. Ces êtres qui sont contagieux du bon et du beau et qui interpellent celui qui n’est pas encore sur le chemin.

Ces ‘’anges’’ se sont incarnés sur Terre pour tirer vers le haut toutes celles et tous ceux, englués dans leur égoïsme poussé à son paroxysme. Car, on ne peut plus se voiler la face, nous y sommes tous, englués dans cet excès d’égoïsme qui nous entrainera inexorablement, si nous n’agissons pas, vers une guerre de tous les êtres humains entre eux (cette guerre est nommé ‘’guerre de tous contre tous’’ dans certains textes sacrés).

Il nous est demandé, aujourd’hui, de commencer à inverser la tendance et de devenir progressivement les futurs ‘’anges’’ de demain, pour que toutes celles et ceux, qui se sont sacrifiés pour nous, ne l’aient pas fait en vain.

Nous aurons alors accompli notre TÂCHE sur la Terre.

Faire part de Gitta MALLASZ

J’ai quitté mon corps,
cet outil précieux qui m’a été donné
pour accomplir ma tâche sur terre.
Il a été trop usé par le temps.
Je sais qu’un autre outil me sera donné,
plus approprié pour une nouvelle tâche.

Toi aussi, tu as une tâche, une tâche unique.
Il est bénéfique de bien l’accomplir
aussi longtemps que ce rare don du Ciel
– ton corps terrestre-
est utilisable.
Sinon tu as vécu en vain

1 Gitta Mallasz : auteur des ‘’dialogues avec l’ange’’  Ed : Aubier

2 Mon épouse est atteinte de la maladie d’Alzheimer depuis plus de dix ans.

3 Voir le dernier livre que ma main a écrit :  ‘’ De l’égoïsme à l’Amour ’’)

L’obligation d’accéder à ‘’ l’amour ‘’ :
Extrait de mon livre ‘’de l’égoïsme à l’Amour’’

Le mal est un bien qui n’est pas à sa place. L’image de la balance est très représentative de cette citation. Pour que le fléau reste à la verticale, il faut que l’égalité soit parfaite entre le poids de droite et le poids de gauche ; un milligramme de différence et le fléau bouge. Un milligramme de bien en ‘’trop’’ ou en ‘’pas assez’’, et c’est le déséquilibre. Nous mesurons la perfection, qu’il nous est demandé, pour atteindre cet objectif. Nous l’avons vu, à travers notre confrontation entre masculin et féminin. C’est une épreuve de toutes les secondes de notre vie. Mais l’objectif, pour le moment, n’est pas de maintenir en permanence le fléau de la balance à la verticale, mais de passer régulièrement par cette position entre les déséquilibres successifs, comme nous le réalisons lors de la marche. Ce passage signifie vivre l’instant présent, qui est toujours éphémère, puisqu’il ne dure pas. Nous ne pouvons vivre que des présents successifs ; au moment où j’écris cette ligne, la ligne d’avant est déjà du domaine de mon passé, mais elle va me servir pour écrire la ligne suivante, qui devient le nouveau présent avant de s’effacer à nouveau dans le passé. Mais toutes ces lignes, écrites une à une dans le présent, préparent les lignes à venir. Tout cela devient mouvant. Le présent est bien la source du passé et du futur. Je passe par lui tout le temps, mais je ne peux jamais m’y arrêter. A travers l’exemple du temps, nous avons la compréhension de l’oscillation permanente de la balance qui doit passer régulièrement par le centre sans pouvoir y demeurer longtemps. Ceci doit être le fonctionnement permanent de l’homme, car il est celui de la nature à tous les niveaux. Nous le verrons plus loin, pour ceux que cela intéresse, avec l’exemple de la mastication.

Pour réaliser cet objectif, nous l’avons déjà vu, il va nous être demandé de traquer notre égoïsme dans tous ses recoins, à savoir de débusquer le mal à l’endroit où il se trouve.

–    Où se trouve le mal ?   

Le mal, nous le savons maintenant, est omniprésent puisqu’il existe dès le début de notre vie. Mais il a atteint un pouvoir tellement gigantesque que la quasi-totalité de l’humanité ne le perçoit plus. Il s’est inséré très progressivement de façon insidieuse dans tous les domaines de la vie. Sans faire de bruit, il se cache derrière les inventions physiques, plus fantastiques les unes que les autres pour arriver à ce que l’humanité appelle : le progrès. Car, il ne faut pas nous tromper de constat ; le mal ne se résume pas seulement, comme on pourrait le penser, aux mauvaises actions des hommes. Il est autre chose de beaucoup plus actif, car il est aussi le fruit des créations des hommes ; il est éminemment plus concret et surtout d’une puissance encore jamais atteinte sur la Terre. Penchons-nous sur ce que R. Steiner nous dit sur ce sujet.

‘’ Mais maintenant, à notre cinquième époque, les êtres humains devront se débattre avec le mal d’une manière élémentaire. Notamment, c’est à travers la maîtrise par l’homme des différentes forces de la nature que les motivations et les impulsions du mal agiront dans le monde avec une puissance gigantesque. Et les forces opposées, les forces du bien devront augmenter dans la résistance que les êtres humains seront obligés de développer, à partir des fondements spirituels (de leur nature). En particulier, c’est à travers l’exploitation de la force de l’électricité, qui atteindra des proportions dépassant de loin ce qu’elle a assumé jusqu’ici, que déjà, à la cinquième époque, il sera possible aux êtres humains de répandre le mal sur la Terre. Mais le mal submergera aussi la Terre directement à partir de la force de l’électricité elle-même.’’

Ces propos, prononcés au début du 20° siècle par une personnalité douée d’une clairvoyance dont personne ne peut nier l’authenticité, sont d’une précision ‘’divine’’. A son époque, l’électricité n’en était qu’à ses balbutiements. Il nous prédit que l’homme peut détruire l’humanité et la Terre avec l’électricité puis ses dérivés, le magnétisme et le nucléaire.

Maintenant, essayons de nous arrêter un instant et d’observer les excès de l’électricité, du magnétisme et du nucléaire. Si nous sommes capables de faire abstraction de toutes nos croyances enseignées, et de voir effectivement les dégâts gigantesques que causent tous ces excès, nous aurons fait un petit pas vers l’éveil de notre conscience. Mais le plus compliqué reste à venir. L’homme a créé une gigantesque sphère, issue de l’électricité, si puissante qu’elle rayonne comme un anneau planétaire, loin tout autour de la Terre. A l’origine de cette monumentale sphère électromagnétique, on trouve la découverte du système binaire, c’est-à-dire : le 0 et le 1.  Nous devons sa découverte à Sir Francis Bacon dans les années 1500. Cet homme va être en fait le découvreur du futur système informatique actuel, qui repose lui aussi sur le mode binaire. Et le point culminant du système informatique actuel est … INTERNET. Pourquoi ce binaire est-il catastrophique ? Parce que, seule, la triarticulation est naturelle sur la Terre. Tout ce qui s’écarte de cette loi est destructeur.

  1. Steiner nous répète dans de nombreuses conférences que, pour terrasser les forces du mal, il est nécessaire tout d’abord de les voir ; on ne peut reconnaitre un adversaire seulement si on le perçoit. Dans ce cas précis, il nous aide à discerner le mal, même si cela va nous demander de grands efforts car internet incarne le progrès, avec un grand P, aux yeux du monde. En effet personne ne peut nier les avantages du système numérique, dans le sens de sa vitesse d’exécution, qui est un gage de progrès indéniable depuis que l’homme existe. Tout doit aller toujours plus vite, car l’homme n’a jamais le temps et lui court après.

Mais comment peut-on courir après le temps, alors qu’il ne dépend que de nous ? C’est bien nous qui devrions décider de notre temps. Nous sommes maîtres de notre temps ; il nous appartient. Il fait partie de notre liberté, de notre libre arbitre de décider ce que nous pouvons en faire. Et les forces adverses matérialistes ont fait en sorte de changer cet état de fait, en inversant le tout et en rendant le temps, maître de l’homme. A ce stade Internet est arrivé judicieusement pour donner à l’homme l’outil ‘’génial ‘’, indispensable pour l’aider à combattre le temps et à ne jamais pouvoir vivre la présence. Car vouloir gagner du temps est ne jamais vivre l’instant présent (ne plus jamais passer par l’équilibre de la balance). C’est l’objectif unique des forces matérialistes : attacher l’homme à la Terre et rendre impossible le retour à sa partie spirituelle. Ceci est confirmé par la généralisation des déformations de nos bouches, qui sont les signes physiques de notre incapacité à vivre l’instant présent.

Peu de personnes ont conscience de l’enjeu qui est en train de se jouer, avec la prise de pouvoir de l’intelligence artificielle. Les plus éminents chercheurs en cybernétique situent son pouvoir absolu en 2050, voire 2040. Un de ses nombreux objectifs est de connecter le cerveau humain directement à internet. L’intelligence artificielle signifie que les machines vont prendre le pouvoir sur l’homme, (ce qui est déjà bien avancé) qui sera alors réduit au rôle de robot imbécile. R Steiner a dit, au début du XXème siècle, que si l’homme développait de façon importante l’électricité, il deviendrait IDIOT. Si cette éventualité se réalise sans aucune opposition, ce sera la fin inexorable de l’humanité car les forces matérialistes auront triomphé en imposant leurs pouvoirs. Elles sont arrivées au tour de force de transformer, aux yeux du monde, le mal en bien. La question récurrente prononcée par ceux qui ont conscience de ces propos est la suivante : ‘’ pourquoi arrêter d’utiliser internet alors que nous continuons à nous servir de l’électricité, du magnétisme et du nucléaire ? Pourquoi ne pas se servir des forces du mal pour combattre justement ce mal ? ‘’

Ces questions sont fort judicieuses et nous font mesurer encore, par leur légitimité, la puissance de ces forces adverses. Elles sont omniprésentes pour semer le doute en nous. En effet, aujourd’hui nous ne pouvons pas nous passer de l’électricité et de ses dérivés. Et même si nous commençons à mesurer le danger du nucléaire, nous avons, là aussi, beaucoup de difficulté pour le supprimer. L’énergie électrique de base paraît pour l’instant indispensable mais en est-il de même avec le téléphone portable et toutes ses applications… et internet ?

‘’ Les hommes à la pensée matérialiste croient que le monde spirituel n’existe pas parce qu’ils ne le voient pas. Mais dans les profondeurs de leur propre âme, l’impulsion vers le monde spirituel n’est pas absente, bien qu’ils le nient. Or cette impulsion est bien là. Dans chaque âme humaine, il existe une tendance naturelle, un amour vivant pour le monde spirituel, même dans les âmes matérialistes. Les hommes se rendent simplement impuissants à l’égard de cette impulsion.

Mais il existe une loi : quand une force est retenue d’un côté elle ressurgit de l’autre. Et il en résulte que l’instinct amour se transforme en passions et instincts sensuels… Et ceux-là deviennent des perversions des sens. Les perversités des instincts sensuels, toutes les déformations abominables des passions sensuelles sont la contrepartie de ce qui dans le monde spirituel serait des vertus nobles, si les forces qui devraient être employées dans le monde spirituel n’étaient pas détournées vers le monde physique.’’

Lorsque nous observons la place gigantesque de la sexualité et de la pornographie sur internet et dans notre vie de tous les jours, nous ne pouvons, encore une fois, que constater la véracité des propos de R. Steiner.

Lorsque j’ai pris conscience, au plus profond de moi-même, du poison de ces ‘’découvertes’’ issues du numérique, j’ai arrêté d’utiliser ce que j’appelle le superflu, c’est-à-dire la dose qui rend le poison mortel (téléphone portable, accès internet etc…)*. Je me suis aperçu alors que, non seulement cela ne me manquait absolument pas, mais en plus qu’une certaine forme de fatigue avait disparu. J’en ai d’autant pris conscience, lorsque j’ai commencé à écrire ce livre où j’ai eu de nouveau besoin de l’ordinateur. Au bout d’une heure, je dois m’arrêter d’utiliser la machine ‘’du diable’’, car elle me ‘’pompe’’ toute mon énergie. Je dois alors vite retrouver la nature pour qu’elle me parle.

Mais alors comment peut on contrecarrer cette gigantesque toile d’araignée qui a englué la totalité de l’humanité ?

* Je me sers du produit du ‘’mal’’, à travers ce site, dans le seul but d’interpeller les hommes sur l’abus de l’utilisation d’internet et des téléphones portables.

–   Les forces du bien

Nous utilisons les créations des forces matérialistes partout, lorsque nous allumons une ampoule, conduisons une voiture, regardons la télévision ou écoutons de la musique. Plus nous allons les utiliser et plus elles vont annihiler notre faculté de discernement et faire disparaître les forces nécessaires à son terrassement. En utilisant ces outils nous banalisons tout et cela a déjà commencé de façon très significative. Cette puissance électromagnétique est en train de détruire, de façon insidieuse, toute la structure neurologique de l’homme qui est le support du Corps de Sentiment. Elle abime aussi le Corps de Vie. Mais tout cela ne se voit pas de façon évidente ; peu de personnes sont capables de faire les liens, donc l’homme matérialiste ne peut en prendre conscience. A la vue de ces éclairages, il est nécessaire d’éliminer ce qui est encore possible et non totalement indispensable, pour créer en face les forces suffisantes pour arriver à supprimer progressivement la totalité des forces adverses. Cela commence par le plus grand fléau : internet.

Pour cela R. Steiner nous donne encore des pistes. Il nous parle de développer totalement l’amour universel, l’amour désintéressé, c’est-à-dire dépourvu du soi. Mais comment peut-on faire pour supprimer le porteur de l’égoïsme, à savoir son ego ? C’est LA question fondamentale. Je me suis longtemps heurté à elle. Par définition, nous existons justement grâce à ce moi ; il est même le fruit de l’évolution jusqu’à nos jours. Alors, comment peut-on s’en défaire sans disparaître avec lui ? J’ai mesuré une nouvelle fois ce que représente l’anthroposophie ; elle est l’école de l’humilité car elle nous révèle à tous les instants que nous ne connaissons rien mais que nous SAVONS en excès et lorsqu’on ne fait que savoir, on devient suffisant.

Or le savoir ne connaît rien et la connaissance sait tout.

‘’ Qu’en est-il du mot ‘’moi’’ ? C’est parmi tous les mots celui qui prend une place toute particulière dans le langage humain. L’être humain commence à en faire usage vers l’âge de trois ans, un âge où il ne dispose pas encore d’une véritable conscience de soi. C’est pourquoi on apprend ce mot d’une manière tout d’abord automatique. La naissance du moi ne se fait qu’à l’âge de 21 ans. Mais ce qui apparaît alors ne sera jamais, tout au cours de la vie, le vrai moi. L’homme ordinaire ne retrouve son vrai moi que dans la mort. Ainsi, tout au cours de sa vie, l’être humain n’utilise ce mot que ‘’provisoirement’’. Cet usage provisoire du mot ‘’moi’’ est un point sur lequel tout méditant doit porter une attention particulière. Il doit apprendre qu’il ne peut se trouver que sur le chemin de la découverte de son moi véritable, d’abord en essayant d’éprouver sa présence au travers de ses trois enveloppes (corps physique, corps de vie, corps de sentiment)….

Ce moi n’est en soi pas égoïste. Dès que ce moi est libéré de ces trois voiles, il ne demande qu’à se répandre dans le cosmos.’’ R. Steiner

Pour espérer se séparer de son moi terrestre, il faut faire pénétrer le JE universel, celui qui nous suit depuis la première de nos incarnations ; un des chemins pour y parvenir est l’accès au pardon véritable… et par la suite à l’Amour.

Mais comment fait-on pour faire entrer ce JE universel en nous ? Pour espérer aller le tutoyer, nous allons avoir besoin des autres car, seuls, nous sommes en permanence livrés à notre petit moi et à ses trois voiles égoïstes.

C’est dans les années vingt du siècle dernier que R. Steiner fut interpellé par un groupe de jeunes, investi dans l’anthroposophie, et voulant faire la démarche d’une vie basée sur un travail spirituel en communauté. En répondant à ces jeunes, il nomma alors, pour la première fois, le concept de ‘’cercles de forces’’.

‘’ Si vous voulez prendre l’ésotérisme au sérieux, il faut vous dire que c’est une activité issue d’impulsions concrètes venues du monde spirituel. On ne peut qu’y tendre. L’anthroposophie en est une voie. Former une telle communauté, ce serait décider de suivre cette voie… Lorsque vous parlez de contenu ‘’spirituel’’, il vous faut être au fait qu’il s’agit là d’une chose vivante. L’esprit est quelque chose de vivant, et un tel cercle ne peut donc pas être quelque chose de mort. En d’autres termes, il faut que ce soit un cercle de forces. Sa caractéristique est d’être vivant. La santé du tout repose sur la santé de ses parties. Si vous cherchez à obtenir une réelle communauté, il vous faut chercher également à ce que le tout influence les parties tout comme les parties influencent le tout. Il s’agit, dans une telle communauté, d’accueillir réciproquement les karmas. Il en résulte une souffrance commune mais également, et (dit avec force par R. Steiner) des joies communes.

Cela présuppose que l’on ne procède pas, comme on en a l’habitude aujourd’hui, en établissant les paragraphes 1, 2 et ainsi de suite de programmes censés réunir les membres. Les êtres humains doivent être accueillis en tant qu’êtres humains et non en tant que membres réunis par un programme, être accueillis en tant qu’êtres humains, en tant que prochains avec toutes leurs imperfections. Dès lors qu’un tel cercle sera trouvé, il pourra également s’engager sur la voie ésotérique. Cela se présentera lorsque le cercle se sera trouvé. Il faut que le cercle soit présent avant de pouvoir décider s’il peut s’engager sur une voie ésotérique.’’

 

  1. Steiner va alors proposer, pour la première fois, la création d’un cercle de forces ; c’est un groupe de personnes qui se connaît fort bien et partage les valeurs de l’anthroposophie, donc de l’importance primordiale de retrouver la spiritualité dans chaque individualité. Il va donner à ce groupe de forces des textes spécifiques à méditer tous les jours, au même moment, à des heures bien précises. La grande particularité de ces méditations est qu’elles sont effectuées pour les autres. Ce ne sont pas des méditations de groupe mais des méditations partagées, à savoir que chaque méditant sera seul à l’endroit où il se trouve (il peut se situer sur un autre continent).

La grande révolution est la notion de méditer pour l’autre. C’est la seule situation qui permet de se libérer de son égoïsme et d’espérer aller à la rencontre du Moi universel. Regardons ce que nous dit R. Steiner sur la méditation :

 

‘’ Il faut distinguer prière et méditation. La prière habituelle ne sert généralement qu’à la satisfaction de soi-même. La véritable méditation est un accomplissement d’une volonté spirituelle inhérente à l’esprit du temps. Par l’exercice de méditation il est donné aux forces spirituelles de pénétrer dans le devenir terrestre. Les mondes spirituels cherchent à pénétrer aujourd’hui dans le développement terrestre, mais ils ne le peuvent que si l’être humain leur en prépare l’espace par la méditation. La méditation crée comme une lacune dans le monde physique où les entités spirituelles peuvent pénétrer avec leur action.’’

 

L’espace préparé par la méditation correspond à l’arrêt du fléau de la balance sur la verticale, à vivre les moments présents de façon ininterrompue, à maîtriser les forces adverses durant tout le temps de la méditation, afin de permettre aux forces universelles originelles du bien de prendre la place laissée libre.

R Steiner explique à ces jeunes qu’en voulant se réunir en communauté et créer un cercle de force, ils empêchent toute action des forces adverses. Ils se libèrent alors de leur égoïsme et peuvent, à ce stade, développer l’amour inconditionnel dépourvu du soi.

 

‘’ La puissance de la force matérialiste est si forte aujourd’hui sur le plan physique que pas un seul ‘’je’’ ne peut se mesurer à elle. (on en a la confirmation avec internet ; qui peut l’arrêter ?) Par conséquent aucun ‘’je’’ humain ne peut être sûr aujourd’hui de pouvoir réellement accomplir un acte physique qu’il a décidé de faire.(il croit en être l’acteur alors qu’il est manipulé inconsciemment par la force matérialiste) Par contre, le champ de travail dans lequel vous avez décidé d’accomplir des actes est un champ auquel la puissance matérialiste n’a pas accès. C’est pourquoi il ne dépend que de vous d’y accomplir les actes que vous vous êtes proposés. Vous avez ainsi la possibilité d’accomplir des actes en toute liberté et, par la suite, d’exercer la fidélité.’’

 

Pour atteindre ce niveau spirituel, cela va demander de développer nos organes du Corps de Vie (comme le cerveau du cœur). Cela ne peut se réaliser qu’avec l’acquisition d’une totale conscience morale. Cette dernière nous permettra d’acquérir des forces morales qui seront capables de diriger n’importe quelle machine ou matière.

C’est une véritable révolution intellectuelle; l’homme deviendrait capable d’utiliser la matière à sa guise, avec comme seule énergie… sa moralité. J’imagine la réaction de certains : « alors là, on touche le fond ; quelle est encore cette idée-là ? On pourrait bouger un bloc de pierre avec seulement la pensée ? » Et si Obélix nous avait montré la voie ?

Et pourtant cette capacité va dans le sens de l’évolution et de la cohérence, lorsque nous évoquons une loi du monde spirituel qui stipule que nous répétons toujours l’ancien avec le germe du nouveau (nous le verrons avec la biographie). En effet, à travers la notion de force morale, R. Steiner nous donne enfin l’explication du secret des pyramides. Comment les Egyptiens ont-ils pu transporter et hisser les blocs de pierre pour édifier leurs monuments ? Aucune explication n’a encore été trouvée, et pour cause, puisqu’il n’en existe aucune, si nous prenons comme référence le seul point de vue scientifique physique. Certains Egyptiens possédaient, dès la naissance naturellement, des forces morales issues de leur Corps de Vie (celles qu’il nous est demandé de développer actuellement). Ils les ont utilisées pour sculpter et soulever la matière. Puis ces forces ont progressivement disparu avec la perte de notre lien avec le monde spirituel ; tout cela s’est déroulé sans la conscience. Aujourd’hui, il nous est demandé de les acquérir mais, cette fois, en conscience.

La physique quantique se rapproche de cette révélation en ayant démontré que, lors d’une expérience, c’était la pensée de l’observateur qui allait influer sur l’atome. Elle met en évidence que la pensée domine la matière. La fameuse phrase : ‘’ la pensée est créatrice ‘’ reprend alors tout son sens.

Une machine, propulsée par l’énergie morale, a déjà existé, à la fin du XIXème siècle. Elle a été créée par l’américain John Worrell Keely. Keely n’a pas eu conscience tout de suite qu’elle était entraînée par ses propres forces morales. Il a créé un engouement sans précédent, surtout de la part des financiers. Mais lorsque ces derniers se sont aperçus qu’il était le seul à pouvoir la mettre en action, ils n’ont pas donné suite à leurs investissements.  Mais le plus incroyable dans tout cela est que cette invention est passée totalement inaperçue aux yeux du monde. Il a fallu que je m’intéresse de très près à l’anthroposophie pour en connaître l’existence. Donc, nous ne sommes plus au stade de l’utopie ou des croyances, puisqu’une machine a déjà été développée par un homme. Mais la puissance des forces adverses, qui ont atteint leur point culminant grâce au matérialisme parvenu à son apogée en l’année 1900, est telle que simplement l’idée de force morale est tombée dans les oubliettes.

Si les hommes avaient pu, à cette époque, développer leur partie spirituelle, ils auraient fait fonctionner toutes leurs découvertes à l’aide de l’énergie morale et l’électricité serait restée à son état naturel. Maintenant, il est demandé aux hommes de se mettre en route pour retrouver ces forces morales, englouties pour l’instant par les forces adverses. Le développement de ces forces morales remplacera progressivement les forces issues de l’électricité. Cela passe par l’anéantissement du tout égoïsme au profit d’un Amour inconditionnel tout d’abord terrestre.

‘’ L’incarnation du Christ est un phénomène cosmique ; c’est pourquoi la compréhension de ce mystère nécessite au préalable la connaissance ésotérique de la formation du monde, simultanément avec celle de l’homme dont il fait partie intégrante : l’évolution de l’homme, dont l’événement christique constitue une étape centrale, est indissociable de notre univers, de sorte qu’on ne peut vraiment comprendre ni l’un, ni l’autre, si on les étudie isolément comme le fait la science matérialiste… 

Face à l’impuissance de la science actuelle à expliquer le monde autrement que par des théories puériles, face à sa suffisance et son aveuglement, l’âme humaine, trop souvent niée par la pensée rationaliste, nous révèle pourtant son existence au moins chaque fois que se réveille en nous le désir de connaître le spirituel…’’ R. Steiner

 

Ce monde matérialiste, orphelin pour l’instant de sa partie spirituelle, provoque inconsciemment des événements nous permettant, si nous en prenons conscience, de nous élever vers ces forces morales. Toutes les difficultés rencontrées par la société actuelle sont des véritables cadeaux puisqu’elles sont, en fait, les ‘’mal a dit’’ sociaux. Ils nous incitent à mettre en route une solidarité, passagère certes, mais existante tout de même. Cette solidarité répétée pourra amener progressivement à une première esquisse de fraternité. Cette dernière est la première partition de la triarticulation sociale, Liberté – Egalité –Fraternité. Si l’être humain en prend peu à peu conscience, cela pourrait être le début du chemin vers sa métamorphose de l’égoïsme en amour.

‘’ Notre façon individuelle de nous comporter vis à vis des connaissances spirituelles engendrera en nous les germes d’une vraie morale du futur. La morale de l’avenir se construira sur la connaissance spirituelle. Ou elle le fera, ou alors elle ne sera pas.’’

Féminin et masculin

(Complément à la suite de l’écriture de ‘’mon’’ livre  ‘’ de l’égoïsme à l’Amour ‘’ )

Comme je j’ai décrit dans mon livre ‘’ de l’égoïsme à l’Amour ‘’, le masculin a pris le pouvoir sur le monde actuel. Tout ce qui concerne le matérialisme est sous sa domination.  Rien ne lui échappe et celles et ceux, qui tentent d’apporter une autre façon de voir, sont balayés par la puissance verbale et intellectuelle du masculin. Devant un masculin +++, le féminin éprouve de très grandes difficultés à exprimer ce qu’il ressent.

La suite de l’évolution de notre humanité doit passer inexorablement par la rencontre (je devrais dire le retour) du féminin dans le masculin.

Nous pouvons prendre l’exemple de la balance, avec le plateau droit empli de masculin tandis que le gauche est occupé par le féminin.

Nous pouvons faire une analogie entre féminin-masculin et qualitatif-quantitatif.

En effet le masculin pense le quantitatif, c’est à dire le nombre ; il englobe la totalité et incarne le pouvoir.

Le féminin vit le qualitatif, la qualité de ce qui est.

Le masculin bavarde son savoir alors que le féminin exprime sa connaissance. On peut assimiler le féminin à la partie universelle du Moi qui entre dans l’égo, laissé dans le masculin.

Nous pouvons prendre comme exemple, le riz. Les grains de riz à l’état brut sont quantifiables ; puis on apporte l’eau (la vie dans le quantitatif) qui va pénétrer peu à peu les grains de riz (qui seront toujours aussi nombreux en quantité). Ces derniers vont se gonfler grâce à l’absorption d’eau, exhaler leur arôme et révéler leur goût. Nous assistons à une réelle métamorphose entre un nombre de grains secs et le même nombre imprégné de vie. Le poids du plateau gauche de la balance va progressivement augmenter pour inverser la tendance avec une domination du féminin. Ceci est possible avec le riz mais ne l’est pas avec le féminin ; il est impossible à ce dernier de dominer le masculin ; mais comme nous allons le voir, il peut arriver à l’équilibre.

Lorsque le féminin rencontre le masculin, il se passe le même événement. La vie pénètre  dans l’homme sec et rigide et le rend malléable et progressivement humain. L’être humain exhale sa saveur et révèle son goût à travers son féminin. L’alchimie de l’être humain peut s’installer. L’homme passe d’animal pensant à Etre Humain. A ce stade l’Homme ne bavarde plus ; il s’exprime en utilisant sa qualité de communication au service de la connaissance féminine.

C’est le passage du 2 (masculin et féminin séparés) à la réunification du 1. L’Être Humain peut exprimer toute la quintessence de son féminin dans une rigueur et un cadre masculin. Sa pensée, sentiment et volonté sont en harmonie ; il peut alors créer des actes bons accompagnés de paroles belles avec des pensées justes. C’est l’apparition de l’Homme révélé dans toute son harmonie.

A ce stade l’HOMME aura accompli ce que l’évolution lui demande, la création de la dixième hiérarchie spirituelle, la hiérarchie de l’Amour et de la Liberté.

Cette époque n’est pas prévue pour tout de suite, mais il nous est demandé expressément de s’y préparer sérieusement, en allant progressivement rencontrer le féminin existant en chaque homme et chaque femme. Ce féminin qui permettra de faire taire l’arrogance du masculin, fonctionnant seul, en amenant la balance à sa position d’équilibre où personne ne domine, mais où chacun est au service de l’autre.

Nous aurons alors obtenu la réunification du 2 en 1, l’unité primordiale dont nous sommes tous issus. Le Don qui nous a été fait depuis l’origine des temps et que nous apportons avec nous à chaque naissance, Don que nous égarons après l’âge de trois ans (avec l’apparition de la domination masculine), et que nous devons rendre, lorsque l’homme en prend conscience, avec l’éclosion de la vie de son féminin (1).

On peut aussi voir une autre analogie, celle de la vérité et de la réalité décrite dans (1). Nous pouvons associer la vérité au masculin et la réalité au féminin.

Pour résumer rapidement la différence entre les deux, nous pouvons prendre l’exemple d’un enfant qui doit aller acheter du pain. Sa mère lui donne 10 euros et chaque pain vaut 2 euros. L’enfant ne sait pas encore compter mais il est accompagné d’un copain qui, lui, sachant calculer, dit à son ami, ‘’ tu vas recevoir 5 pains ’’. Mais, lorsqu’il arrive chez le boulanger, celui-ci donne un pain gratuit quand on lui en achète 5.

La vérité mathématique est bien 5, alors que la réalité est 6.

Cette histoire nous amène à cette réflexion.

‘’ Le penser ne doit jamais être abandonné à lui-même sans quoi il parviendra seulement à ce qui est exact mais pas à ce qui est véritable.’’ (2)

Lorsque j’ai rencontré cette phrase, j’ai réellement compris tout le fonctionnement que la société (donc l’homme d’aujourd’hui) a mis en place à travers le masculin et ‘’ ses vérités ‘’ que j’ai aussi nommé  ‘’croyances ‘’, qu’elles soient scientifiques ou religieuses. Le masculin fonctionne avec son cerveau gauche, analytique, purement intellectuel. Son fonctionnement ne se base que sur les ‘’vérités’’ mathématiques, physiques etc…

Le féminin a adopté le cerveau droit, créatif, artistique qui aboutit à une réalité qui fait totalement abstraction des ‘’vérités’’ enseignées. En écrivant ces lignes je me remémore les propos que nous échangions avec mon épouse, avant sa maladie. Lorsque que je lui disais, ‘’ je vais t’expliquer ’’ et qu’elle me répondait, ‘’ ne m’explique pas, cela ne sert à rien car, moi, je ressens et je ne comprends pas ce que tu me dis ’’, et moi d’insister en étant persuadé qu’elle comprendrait. Mon épouse me laissait faire et j’ai compris, bien plus tard, que son amour était tellement grand qu’elle acceptait sans rien dire tout mon savoir, à travers des ‘’ affirmations pseudo scientifiques ‘’, alors qu’elle connaissait la réalité.

Lorsqu’une vérité (masculin) et une réalité (féminin) se réunissent, on découvre LA Vérité car il n’existe qu’une seule Vérité qui se dissout alors dans la réalité. Cela se passe de façon magistrale lorsque le masculin se laisse pénétrer par son féminin, lorsque ce masculin peut exprimer haut et fort (grâce à sa puissance oratoire) la réalité que lui offre son féminin. A cet instant il a acquis la compétence pour comparer cette réalité avec ‘’ses vérités’’ bien apprises et, à ce moment-là, il SAIT que ces vérités ne sont pas justes.

La SAVOIR a rejoint la CONNAISSANCE ; il devient à son service.

C’est le cadeau que m’a fait le monde spirituel en m’envoyant la Dentosophie. Ce DON que je dois REDONNER à l’aide de toute mon âme.

C’est la Dette (voir la phrase du Notre Père : ‘’ Remets-nous nos dettes comme nous remettons celles de nos débiteurs. ‘’)

(1)  livre  ‘’ de l’égoïsme à l’Amour ‘’

(2)  Rudolf Steiner

La médecine moderne :

  • Une énorme supercherie

  • La plus grande entreprise commerciale du siècle 

 

L’enjeu de la maladie et de la guérison 

 

« La guérison est un mot dont on ne mesure pas toujours la portée. Bien sûr, tout le monde pense le comprendre.

Lors de la première consultation, je pose souvent cette question à mes patients :

«Etes-vous choqué si je vous dis que le seul médecin pour vous, c’est vous-même »


Depuis des millénaires, les plus grands Sages situent le pouvoir de guérison dans l’homme. Ceci n’étonne pas grand monde. En règle générale, les patients ne sont pas surpris et acquiescent. J’enchaine alors : « Si nous sommes réellement notre propre médecin, pourquoi aller consulter lorsque nous tombons malades ? »

La réponse est systématique : « On ne peut pas tout régler, seul. »
Ceci peut paraître juste. Donc nous consultons un thérapeute, les symptômes disparaissent et l’on parle alors de guérison.

Mais à quel moment sommes-nous notre propre médecin dans cette affaire ?
En fait, lorsque les patients parlent du « médecin intérieur », ils ne pensent qu’aux pouvoirs d’auto guérison de l’homme. Ce sont, par exemple, le système immunitaire, la cicatrisation, la consolidation de fractures, qui se réalisent toutes seules, sans notre consentement. Ils se situent en dessous du niveau de la conscience. Mais la guérison peut-elle se résumer à cela ?

Alors, qu’est-ce que guérir ? Guérir, c’est recouvrer la santé.
Qu’est-ce que la santé ? C’est « l’état de quelqu’un dont l’organisme fonctionne normalement. » (Larousse)

Qu’est-ce qu’un fonctionnement normal ? Pour la majorité des gens c’est : ne pas tomber malade. Donc, lorsque nous posons la question :

« Qu’est-ce que la santé ? »

« Ne pas être malade » est la réponse la plus fréquente. Le langage populaire

donne la définition d’un mot par la négation de son contraire. Or, ceci n’est pas possible. La définition d’un mot ne peut être basée sur son contraire. Nous nous heurtons à une évidence : dans le langage populaire, nous ne trouvons pas de définition au mot santé.

Il en est de même, par extension, pour le mot guérir. Si nous ne trouvons aucun sens à ces mots, c’est que nous nous trompons depuis quelques décennies sur la direction de pensée à suivre.

Nous pourrions renouveler la définition de la santé de la manière suivante :
C’est guérir systématiquement lorsque nous sommes malades. Ce qui est totalement différent de « ne pas avoir de maladies ».

La santé est la faculté d’utiliser ses processus d’auto guérison à tout moment. C’est un processus de vie physiologique.

Poursuivons plus loin notre réflexion.
Ces processus d’auto guérison sont sans cesse utilisés. Nous sommes confrontés, toutes les secondes, à des germes (virus, bactéries…), à des agressions thermiques (les différences brutales de température par exemple), et ce que nous appelons en médecine la physiologie (ou l’état normal) n’est autre que la capacité vitale de l’homme à s’adapter en permanence. Tous ces mécanismes se réalisent sans l’intervention de la conscience.

Mais à quel moment finit l’adaptation et quand commence la maladie ? On pourrait répondre :

« Lorsque les capacités d’adaptation sont débordées, la maladie s’installe. »

 Mais où trouve t-on la frontière entre adaptation et maladie ? C’est l’homme qui la définit.
En effet, lors d’un état fébrile, l’élévation de la température est bien produite par le corps. Il y a donc toujours adaptation du corps, mais cette fois nous avons conscience de cette adaptation et la fièvre est considérée comme le début d’une maladie. On l’appelle symptôme, et celui-ci n’est plus alors du domaine de l’inconscient.

Pourtant, si le corps produit de la fièvre, lorsque le besoin s’en fait sentir, c’est qu’il en détient le pouvoir, de la même façon que l’homme respire par la bouche si on lui pince le nez. Personne ne force l’organisme à élever sa chaleur intérieure. C’est une fonction biologique naturelle, totalement inconsciente (c’est le constat de la fièvre qui arrive à notre conscience, pas son déclenchement), pour tenter de brûler certains « agresseurs ». Nous pouvons dire que la réaction à une maladie est aussi un processus normal de vie. La seule différence, par rapport à l’adaptation, est que nous prenons conscience du symptôme.

L’adaptation pourrait s’appeler « maladie guérie sans la conscience », et la maladie serait, alors, une « adaptation conscientisée ».
Pour étayer ces propos je propose la réflexion suivante :

« Nous nous rendons malades en mangeant et nous nous guérissons en digérant. »
(L’exemple repose ici sur une alimentation non toxique, bien évidemment).

En effet, si nous n’assimilons pas les aliments par le biais de la digestion, nous devenons malades (indigestion, vomissement, diarrhées). Si cela perdure, nous mourons. Manger ne suffit pas, il faut digérer.
Or, il est vital de manger car si nous ne le faisons pas, nous mourons également. Nous sommes donc, aussi, dans l’obligation de manger.

Manger est indispensable mais pas suffisant, et digérer est un passage obligé.
Cette digestion correspond à la dégradation en molécules des produits issus du monde extérieur. Il nous faut tout transformer pour assimiler et permettre entre autres le passage de la barrière intestinale et pulmonaire. Nous ne pouvons injecter directement dans le sang des aliments non transformés ou de l’air sans provoquer la mort. Nous sommes donc dans l’obligation vitale d’« humaniser » tout apport venant de l’extérieur.

Nous sommes devant une loi de la nature :

Tout ce qui nous vient du monde extérieur est poison (air, aliments) et pourtant nous en avons un besoin vital.

A partir de ces constats, nous pourrions dire :
La faim est le « symptôme » de la maladie « manger », qui est un phénomène naturel, physiologique et indispensable. Nous en guérissons en digérant à tous les repas, de la naissance à la mort. Pour tout le monde, manger et digérer sont considérés comme un processus normal. Donc la physiologie est bien de guérir sans cesse.
Je me rends malade en mangeant et je me guéris en digérant.
Etre en bonne santé correspond bien à la capacité de stimuler ses processus de guérison en permanence.

Si la normalité est de guérir systématiquement, cela signifie que la maladie est une nécessité (comme manger), et la guérison une obligation (comme digérer).

Nous pourrions aussi comparer la maladie au déséquilibre et la guérison à l’équilibre. Prenons l’exemple de la marche. Lorsque nous marchons, le pied droit, par exemple, se retrouve en l’air prêt à se poser. A cet instant nous sommes en déséquilibre, mais dès qu’il se pose nous récupérons l’équilibre, et aussitôt le gauche décolle du sol, nous entraînant de nouveau vers un déséquilibre, jusqu’à ce qu’on le pose à son tour pour retrouver l’équilibre suivant etc. La marche est une succession d’équilibres et de déséquilibres.

Dans ce cas de figure, comme pour la maladie et la santé, le déséquilibre devient une nécessité et l’équilibre une obligation.

Nous avons vu que l’adaptation était en fait une maladie réglée sans l’intervention de la conscience, mettant en route les processus inconscients d’auto guérison (comme manger déclenche les processus de digestion), alors que la maladie déclarée nous fait prendre conscience.

Mais, conscience de quoi ?
Si notre organisme est capable de régler l’immense majorité des adaptations,
POURQUOI la maladie existe-t-elle? Elle a certainement quelque chose à nous dire et nous obligatoirement quelque chose à comprendre, sinon elle en resterait au stade de l’adaptation.

La maladie aurait donc un sens.

On introduit ici les notions du pourquoi et du pour quoi, c’est-à-dire :
Quel est le sens de la maladie ? Que veulent dire ces pathologies ? Et dans quel but apparaissent-elles ? Rappelez-vous : Nous mangeons et digérons, le plus souvent, de façon totalement harmonieuse. Nous marchons sans tomber.

L’harmonie est donc la norme.

Si l’harmonie est le naturel, l’homme malade est une illusion de l’homme et un monde malade est une illusion du monde. Les maladies sont à l’image de leur hôte (l’homme), et le monde est à l’image de l’homme puisque celui-ci le crée.

Mais l’homme perçoit le fonctionnement de ce monde de la même façon qu’il perçoit les maladies : ce n’est pas une utopie !
Comment peut-on comprendre cette autre façon de penser ?

Le moment est venu d’évoquer certains modes de pensée de l’Antiquité. Lorsque nos illustres ancêtres parlaient du « médecin intérieur de l’homme », ils faisaient allusion à l’être psychoaffectif, c’est-à-dire à l’être pensant et ressentant et pas seulement aux processus d’auto guérison inconscients.

En annonçant que la maladie est une nécessité et la guérison une obligation comme étant la normalité, nous voyons que nous oscillons toute notre vie, de manière physiologique, entre ces deux partitions. Le chef d’orchestre de cette symphonie est notre fonctionnement psychoaffectif. Ce tempérament va nous faire pencher d’un côté ou de l’autre et à chaque instant nous devrions savoir où nous diriger pour comprendre la maladie. Nous avons toujours le choix entre chaos et harmonie ou maladie et guérison (et non pas soulagement).
La maladie est une fonction biologique naturelle, au même titre que la vue ou la respiration.

LA MALADIE FAIT PARTIE DE LA SANTE

Elle devient alors une amie car elle nous donne le sens. Elle nous guide en permanence pour dire : « Tu n’es pas sur la bonne route. Ce n’est pas grave, il suffit de consulter ton plan et de revenir au précédent croisement. Alors tu seras sur la voie de la guérison. »

Cette guérison (mais aussi la maladie) vient toujours de l’intérieur (c’est-à-dire de notre état d’être), alors que beaucoup de gens l’imaginent venant de l’extérieur.

La maladie doit nous faire prendre conscience que notre mode de fonctionnement n’est pas harmonieux, et elle est là pour nous avertir et nous permettre d’en changer.

Voilà le sens réel de la maladie :

Une présence nécessaire pour s’éveiller à une guérison indispensable pour « grandir ».
Et lorsque nous serons tous « grands », la maladie n’aura plus de raison d’être. Elle n’aura plus rien à nous dire. Elle restera au stade de l’adaptation.

On comprend mieux pourquoi la maladie accède à notre conscience au lieu de rester au stade de l’adaptation inconsciente.

La maladie prend alors une autre dimension et la guérison un tout autre sens. Nous allons voir, au fil de cet ouvrage, comment les événements de la vie peuvent apporter à l’être humain ce dont il a besoin pour avancer dans la compréhension de son histoire et déclencher ses propres guérisons. »

Voilà ce que j’avais écrit sur la maladie et la guérison, en 2007, dans mon premier livre ‘’Nos dents une porte vers la santé’’.

Comment pouvons nous comparer cette réflexion avec la médecine actuelle?

La maladie est présente pour nous dire, ( le ‘’mal a dit’’ ). Elle va le faire par l’apparition des symptômes ; ces symptômes ne sont que des constats visibles d’un changement de fonctionnement de l’organisme. La médecine actuelle va les répertorier puis les classer en différents groupes qui définiront des maladies et ces maladies seront désignées par des noms, quelque fois du nom même de celui qui a découvert en premier les symptômes. Donc toutes les maladies sont nommées en fonction de symptômes qui ne sont que des constats extérieurs répertoriés ; nous sommes en présence des conséquences d’une maladie qui s’est déclenché pour que NOUS (les malades) trouvions les causes.

Lorsque la médecine pose son diagnostic et donne le nom de la maladie, elle ne connaît absolument pas les causes primaires, originelles de la pathologie.

Pourtant en face de ces maladies la science médicale va élaborer des médicaments chimiques qui sont censés guérir les maladies, des médicaments  pour contrecarrer des conséquences, c’est-à-dire les effets des maladies.

Mais comment peut on espérer guérir si on ne va pas jusqu’aux causes de la maladie ?

Et alors se pose une autre question :

Mais à quel moment intervient le malade ?

A quel moment se situe la prise de conscience de sa maladie ?

La plupart du temps, elle n’existe pas et le malade n’intervient pas. Il livre son corps à la médecine sans aucune conscience et demande une guérison de l’extérieur.

Dans 90% des cas la guérison survient parce que les forces d’auto guérison suffisent et la prise concomitante de médicaments ne sert à rien mais le patient ne le sait pas et le médecin, le plus souvent non plus, puisqu’on leur a enseigné que leurs médicaments guérissaient.

En fait une personne malade sans conscience est forcément dans la peur car la maladie est une forme de dépression du corps et quand l’homme est en dépression, il a peur. Or la peur est toujours entretenue par l’ignorance ; nous avons toujours peur de ce que nous ne connaissons pas (un des exemples les plus parlant est le cancer, cette épée de Damoclès qui peut tomber à tout instant sur quelqu’un puisque la médecine ne sait rien des causes profondes du cancer.)

L’un des premiers outils de ‘’guérison miraculeuse’’ est le diagnostic que va poser le médecin ; dès le diagnostic posé, le patient enclenche le processus d’auto guérison naturelle uniquement parce que son système psycho affectif n’a plus peur :

 » la médecine a trouvé le nom de ma maladie, donc la médecine sait et si elle sait elle va me guérir.  »

La pose de diagnostic est le premier placébo découvert par la médecine actuelle. Les médicaments sont inutiles mais comme ils vont être pris dans le même temps que le processus d’auto guérison on va rendre les médicaments, responsables de la guérison, et justifier de ce fait la prise de tous les médicaments que le médecin prescrira.

Personne ne sera capable de parler des effets que provoqueront ces médicaments sur l’organisme des patients car personne n’est allé étudier ces effets sur des périodes suffisamment longues. Par contre on ne peut que constater que plus les gens prennent de médicaments et plus ils continuent à en prendre, comme s’ils n’arrêtaient pas de passer de maladies en maladies… et la consommation de médicaments ne fait qu’augmenter de la même manière que les ‘’guérisons’’.

La médecine, qui sait tout, a une réponse imparable à cela.  ‘’La durée de vie ayant augmenté, grâce aux progrès de la médecine, il est normal que les hommes consomment plus, puisqu’ils vivent plus longtemps.’’ Et on pourrait rajouter qu’ils sont donc, de ce fait, plus longtemps malades.

Mais si cette médecine guérit pourquoi existe t-il de plus en plus de malades… et des médecins de plus en plus nombreux et de plus en plus débordés par de plus en plus de malades ‘’guéris’’ etc… Ne peut-on pas imaginer que la performance de la médecine permette une augmentation de la durée de vie sans maladie.

Ce qui est le plus troublant dans cette histoire est d’entendre les réponses faites par les personnes centenaires lorsqu’on les interroge sur leur longévité.*

Ils n’ont pratiquement jamais vu de médecin et ils n’ont pris aucun médicament dans leur vie.

Cela nous incite à penser que la médecine nous ment lorsqu’elle attribue ses progrès à l’augmentation de la durée de vie.

Continuons nos investigations et penchons nous maintenant sur les 10% des maladies dites incurables (ce pourcentage est tout à fait aléatoire). Ce sont toutes les maladies où la pose de diagnostic ne suffit plus pour guérir et à ce stade on constate alors que les médicaments, quels qu’ils soient, n’ont plus d’effets sur la guérison. Mais cela n’empêche pas la médecine de continuer à prescrire des produits, cette fois pour minimiser les symptômes et en premier lieu la douleur.

La médecine va même se permettre de faire croire à tous les malades ‘’inconscients’’ du sens de leur maladie qu’elle détient les produits de guérison.

Reprenons l’exemple des cancers, elle va mettre en place des protocoles applicables à tout le monde, qu’aucun médecin n’a le droit de contester, sous peine de sévices de la part du conseil de l’ordre, pour arriver à un pourcentage de décès astronomique… à croire que tous ces gens sont morts ‘’guéris’’.

Elle ne donne aucune possibilité aux malades d’essayer d’aller voir ailleurs si la mort est aussi fréquente après thérapie parce qu’elle joue sur la peur, cette peur qui paralyse et qui maintient tous les êtres, qui la subissent, sous dépendance. *

Mais comment se sortir de cette spirale infernale qui maintient volontairement l’humanité dans la peur, garantie absolue d’une dépendance sans faille à l’autorité qui ‘’sait’’.

La seule issue passe par un éveil des consciences et tout d’abord par une simple observation de l’état des lieux du monde actuel.

Cela passe par les constats :

– que, seule la médecine officielle a le droit de paroles dans les médias et qu’elle n’accepte aucun détracteur qui oserait aller contre le tout médicament.

– que la liberté d’expression est un leurre et qu’il ne suffit pas de proclamer ‘’je suis Charlie’’ pour penser que tout peut être dit.

– que la médecine actuelle se penche sur la maladie et non sur la santé et la guérison de l’homme.

– qu’elle se fiche éperdument de l’homme sinon il n’y aurait pas une telle deshumanisation notamment dans les hôpitaux. Pour le confirmer, qui parmi nous ressent un réel plaisir à aller visiter un proche, ou consulter dans un hôpital ?

– que son seul objectif est la vente de médicaments qui ne guériront jamais rien mais qui provoqueront à la longue d’autres maladies qui nécessiteront d’autres médicaments qui…etc.

– que la médecine est la plus grande entreprise commerciale du siècle ; pour cela il suffit de se pencher sur le CAC 40 pour voir dans quelle situation financière se trouvent les laboratoires pharmaceutiques.

– qu’il sera donc impossible de renflouer le trou de la SS puisque les maladies sont et seront exponentielles.

Oui je sais ! cela va faire réagir mais la plupart de ces propos ne sont que des constats et qui peut les nier.

Une fois ces constats observés et reconnus comme fondés, il faut nous éveiller pour aller comprendre le ‘’pourquoi’’ et surtout le ‘’pour quoi’’ l’être humain en est arrivé là ? Quel est le sens de tout cela ? Pourquoi était-il nécessaire que l’humanité passe par ce stade ?

Il est là le rôle de la connaissance (à la différence du savoir) ; aller comprendre par nous-mêmes et non plus par personnes interposées. Que ce soit à travers l’éducation, la pédagogie, les religions nous avons toujours été ‘’éduqués’’ par des personnes qui savaient et qui nous ont inculqué leurs croyances.

Si l’homme, aujourd’hui, ne se réveille pas pour se mettre à penser par lui-même l’évolution de l’humanité sera freinée et pourra même s’arrêter.

La médecine actuelle est la conséquence du fiasco de l’éducation, de la pédagogie.

On ne nous a pas enseigné à fonctionner par nous-mêmes mais à répéter comme des perroquets le savoir des autres, à devenir totalement dépendants et c’est cet état intérieur qui nous rend malade pour que le ‘’mal à dit’’ nous éveille.

Le symptôme est là pour nous dire ce que nous n’avons pas compris, ce que nous n’avons pas appris.

Nous sommes malades pour essayer de comprendre ce qu’ON ne nous a pas enseigné.

Mais comme la médecine nous maintient dans l’ignorance c’est-à-dire dans une mauvaise pédagogie. On peut écrire :

La thérapeutique médicale est une suite logique d’une mauvaise pédagogie.

La médecine actuelle est le symptôme au niveau corporel de la mauvaise pédagogie

Et comme la médecine actuelle ne peut être qu’à l’image de sa pédagogie, elle est là pour replâtrer les fissures de la maison qui s’écroule en nous faisant croire que cela sera suffisant pour sauver la maison en question. Nous sommes dans un cercle vicieux qui nous entraine de plus en plus dans la pathologie sans aucun espoir de guérison.

Maintenant l’humanité se trouve confrontée à deux mondes :

– Celui des hommes conscients du sens de leurs maladies et que la solution se situe à l’intérieur d’eux-mêmes.

– Celui des hommes inconscients de leurs maladies et qui pensent que la guérison ne peut venir que de l’extérieur.

Dans ces deux camps aucun dialogue n’est envisageable car les enjeux sont totalement opposés. D’un côté on essaie de s’intéresser à l’Etre Humain dans sa globalité et de l’autre on s’intéresse à l’argent de l’être humain.

IL est temps d’ouvrir nos grands yeux et d’arrêter d’avaler tout ce qu’on nous raconte sans jamais aller vérifier par nous-mêmes la véracité des propos.

Elle se situe à ce niveau la réelle liberté de l’Homme ; alors seulement nous pourrons commencer à parler de réelle égalité et fraternité et surtout d’une authentique démocratie.

‘’ Lorsque l’humain rencontre l’humain le médecin disparaît ‘’

*Nathalie Simon
Article publié dans le mensuel ‘’Votre santé’’ N° 146 de décembre 2011

Les pouvoirs publics ne cessent de rabâcher que nous vivons de plus en plus vieux grâce aux progrès de la médecine, qu’avant l’ère pasteurienne personne n’atteignait un âge avancé, et tout le monde les croit. Au point que le Dr Claire-Anne Siegrist, qui collabore avec l’OMS et qui s’est autoproclamée ‘’meilleure spécialiste au monde des vaccins’’, a déclaré à ‘’ La Tribune de Genève’’ (20-21 décembre 2008) qui lui consacrait sa première page : ‘’ Laissez faire la nature, c’est la sélection naturelle : une espérance de vie à 35 ans et la moitié des enfants qui meurent avant 5 ans.’’

Il est consternant de voir qu’un journal dit ‘’sérieux’’ ose imprimer de telles inepties, même si elles sont proclamées par une ‘’ autorité de référence’’ que personne n’a l’audace de contredire. Cette amélioration de notre espérance de vie par la médecine est l’une des plus grandes contrevérités de ce siècle et relève d’une manipulation des chiffres. Il est exact que la mortalité infantile, en bas âge et en couches, a fortement diminué grâce à l’hygiène, mais la mortalité prématurée, c’est-à-dire celle qui intervient avant l’âge de 65 ans, est à l’origine de 25% des décès annuels dans l’hexagone. D’ailleurs ce pourcentage est très supérieur à celui des autres pays de la Communauté européenne, excepté le Portugal. D’après l’Inserm, la mortalité des Français, à l’âge de 25 ans est le double de celle des Suédois ou des habitants du Royaume-Uni. De même, les Grecs de 25 à 65 ans sont en meilleure santé que nous, avec des dépenses de santé très loin d’égaler les nôtres.

Non seulement nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades et de plus en plus dépendants de l’industrie médico-pharmaceutique. Jadis, lorsque l’être humain atteignait des âges vénérables, il restait en pleine possession de ses capacités, tant physiques que mentales, et sans l’aide de drogues pharmaceutiques !

Certaines peuplades ‘’non civilisées’’ ont des espoirs de vie très supérieurs aux nôtres, sans aucune assistance thérapeutique. Ainsi les Hounzas, qui habitent sur les contreforts de l’Himalaya, au nord du Pakistan, vivent jusqu’à cent vingt ans environ, tout en conservant la vue, l’ouïe et leurs dents, ainsi que leur capacité d’effort. Il est évident qu’ils mènent une vie très frugale, mais l’hygiène n’est pas de règle et, pourtant, ils se montrent très résistants aux maladies. Quant au cancer, il est inconnu chez ce peuple.
Il en est de même des Indiens qui peuplent la ‘’Vallée des centenaires’’ dans la cordillère des Andes, près de l’équateur. En 1994, selon son certificat de baptême, la doyenne avait cent dix sept ans, et, au cimetière, de nombreuses tombes attestent la longévité de ce peuple. On relève les mêmes preuves de longévité chez les Abkhases du Caucase, les habitants de l’île d’Okinawa au Japon et les Sikhs de l’Inde du nord. Chez les Mormons, on trouve également de très nombreux vieillards en parfait état de santé à un âge très avancé. Tous ces peuples vivent dans des pays où les médicaments chimiques sont pratiquement inconnus, avec un environnement sain et non pollué par nos ‘’indispensables’’ produits chimiques.

Dans ‘’Némésis médicale’’, Ivan Illich constatait que dès le début du XVIIIe siècle, l’enfant français avait une espérance de vie supérieure à celle de ses parents, et que cet écart s’est accentué entre 1899 et 1920 : ‘’ Ce serait une erreur grave que d’expliquer ces transformations des taux de mortalité globaux par un progrès global de l’efficacité de l’acte médical. La différence entre l’espérance de vie des générations successives apparaît sous l’Ancien Régime sans qu’il n’y ait pour autant de progrès thérapeutiques notoires à cette époque.’’
Tous nos beaux parleurs ignorent-ils qu’il suffit de consulter un dictionnaire biographique pour constater le nombre de gens âgés et en excellente santé qui ont fait parler d’eux au cours des siècles, bien avant les ‘’progrès’’ de la médecine. Pourtant, ceux qui sont cités ne représentent qu’une infime partie de la population, celle qui est devenue célèbre, l’autre n’ayant jamais été répertoriée. Mais cela n’empêche guère nos instances de santé de déclarer à tout bout de champ que notre ‘’science’’ permet de vivre bien plus vieux et en meilleur état de nos grands-parents.

Il est de la sorte très intéressant de consulter un dictionnaire pour trouver de nombreuses personnes qui ont atteint un âge très avancé, à toute époque et dans tous les pays, y compris avant l’ère chrétienne, même si l’on a pas toujours la date exacte de leur naissance. Toutefois, dès le XVe siècle, les dates deviennent très fiables car des registres officiels étaient tenus, et nombreux furent ceux qui dépassèrent 90 ans et même 100 ans. J’en ai ainsi cité plusieurs centaines dans mon dernier ouvrage sur la santé, mais cette liste, longue mais non exhaustive et très vérifiable, concerne essentiellement des hommes, sans doute parce qu’elle est issue de dictionnaires, donc elle concerne des gens qui ont fait parler d’eux par leurs talents, scientifiques, artistiques ou politiques. Or, à ces époques, peu de femmes avaient des vies publiques, et leurs activités étaient plus discrètes. Cependant, il y en a eu certainement autant, puisqu’en général les femmes vivent plus longtemps, à partir d’un certain âge.

Il faut tout de même retenir les noms de Madeleine de Scudery, femme de lettres française primée par l’Académie, qui vécut 94 ans, Elisabeth Chavigny, Canadienne qui mourut, en 1748, à l’âge de 99 ans plus un mois et Alexandra David-Neel, morte en 1969, à 101 ans. Dans son ouvrage ‘’La fin de la médecine à visage humain’’, le Dr Petr Skrabanek cite le cas d’une certaine Pheasy Molly, morte à 96 ans pour avoir mis le feu à ses vêtements en allumant sa pipe dans la cheminée et celui de Jane Gorbritt, qui n’avait jamais renoncé à sa pipe et mourut dans sa 110e année, en 1856.

En 1867, Mary Galligall mourut à l’âge de 102 ans, après avoir avalé son verre de gin et fumé sa pipe, comme elle le faisait chaque jour. En 1883, Mary Murray amateur de punch et de tabac noir mourut à 110 ans, comme le signale le ‘’Médical Press’’ du 3 janvier, et, en 1894, le ‘’Provincial Médical Journal’’ du 1er août signalait le décès, à 106 ans, d’une Galloise, elle aussi amateur de pipe. A croire que fumer la pipe serait un gage de longue vie. Quant aux centenaires actuelles, Jeanne Calment, morte à 122 ans, faisait toujours de la bicyclette à 100 ans et a vécu seule jusqu’à son 110eme anniversaire. Elle attribuait sa longévité à l’huile d’olive qu’elle utilisait pour se nourrir et dont elle s’enduisait la peau, ainsi qu’à un verre de porto et à un kilogramme de chocolat par semaine. Eugénie Blanchard, morte à 114 ans, n’a jamais pris de médicaments. Quelque temps avant la disparition de Florie Baldwin, décédé en mai 2000 à l’âge de 114 ans, sa fille Maisie, âgée de 89 ans déclarait : ‘’ Elle est très, très en forme. Elle ne souffre de rien et ne prend jamais de médicaments.’’

Le quotidien en ligne ‘’Sabcnews.com’’ signale qu’une Africaine du Sud, Moloko Temo, qui vient de fêter son 132ème anniversaire, serait la personne la plus vieille du monde. Bien qu’elle ne soit pas officiellement reconnue, des documents d’identité officiels émis en 1988 par le gouvernement local confirmeraient son âge. Cette doyenne devrait sa formidable longévité à ses nombreuses activités sportives.

Et pour en finir, une fois pour toutes, avec ces fausses affirmations reprises en chœur par tous les perroquets qui ont pignon sur rue, une étude de l’Inserm, réalisée en 1992 en collaboration avec le Haut Comité de santé publique et publiée en 1996, démontre magistralement que les taux de décès des Français, nés après 1938 sont très sensiblement supérieurs à ceux des pays voisins comme la Suède, mais aussi le Royaume Uni et même l’Italie ! Ces chiffres peuvent surprendre, étant donné que, pour les personnes nées avant 1938, ils étaient inversés, la mortalité précoce étant largement inférieure en France que dans ces pays. Paradoxalement, cette étude, publiée très confidentiellement aux éditions Le Monde, n’a pas fait l’objet de commentaires par les médias, ni par les pouvoirs publics. Comment ces derniers pourraient-ils, en effet, expliquer cette inversion qui dément leurs affirmations péremptoires ?

En outre, il est évident que les prochaines générations, intoxiquées par la pollution de l’environnement, la nourriture bourrée de produits chimiques, l’overdose de médicaments et de vaccins, subiront l’augmentation des maladies dégénératives et auto-immunes et verront diminuer de manière spectaculaire cette espérance de vie dont on se réjouit, malheureusement à tort.

*(voir livre d’Anita Moorjani « diagnostic incurable mais revenue guérie à la suite d’une NDE » Edition Prédaniel)

Le Cancer

Qu’est ce que le cancer ?

Personne actuellement ne comprend pourquoi le mécanisme du cancer se met en route.

La médecine ne fait que constater. Des cellules, un jour, ne reconnaissent plus leurs copines et vont se multiplier à une vitesse nettement supérieure à la normale. Elles vont envahir les copines jusqu’à les étouffer et supprimer progressivement le fonctionnement des organes. A ce stade la médecine continue de constater l’apparition de symptômes liés au disfonctionnement organique. Elle va mettre en place un protocole pour faire taire les symptômes, protocole qui consiste à éliminer les cellules cancéreuses. Si elle y parvient elle parle de guérison au bout de 5 années sans nouvelle récidive, sinon elle parle de rémission, jusqu’au prochain ‘’envahissement’’ de cellules cancéreuses. Cela fait plusieurs décennies qu’elle applique ce mode de fonctionnement sans jamais le remettre en question, malgré un nombre de décès après traitement toujours aussi présent. Mais, quelquefois apparaît une réelle guérison.  La médecine ne connaît pas plus la raison de la réelle guérison que la raison des décès. Elle nage dans une ignorance la plus totale mais elle fait croire à la population qu’elle progresse et que les protocoles sont de plus en plus efficaces. Elle joue maintenant sur la fameuse ‘’ prévention ‘’ en faisant croire à la population que si la maladie est diagnostiquée plus tôt, meilleurs seront les résultats. Elles se tournent de nouveau vers un constat mais à aucun moment elle ne peut accepter un autre mode de penser.

La médecine actuelle se bat contre les cellules cancéreuses alors qu’il faut chercher dans le sens de ne pas voir apparaître les cellules cancéreuses. Elle se situe à ce stade la réelle prévention ; ce n’est plus de la prévention, lorsqu’on découvre le cancer à un stade peu avancé. On n’a pas le droit d’employer ce terme ; il est volé et, pour se faire comprendre sur l’authentique prévention, nous devons lui attribuer un adjectif car le mot ne se suffit plus à lui-même.

La médecine dite ‘’moderne’’ se contente de répondre au ‘’ comment faire pour stopper le cancer ‘’. Elle ne pose pas la seule question essentielle qui est: ‘’ pourquoi le cancer existe ? ‘’. ‘’ Pourquoi certains ‘’l’attrapent’’ et pas d’autres ? ‘’

Mais alors, comment comprendre le cancer ? Si nous le comprenons, il n’a plus aucune raison de se manifester. S’il s’exprime, (‘’le mal a dit ‘’), c’est que notre mode de vie n’est pas juste. Alors ‘’le mal a dit ‘’ apparaît. La médecine a choisi l’option de se battre contre. L’autre attitude est d’empêcher l’apparition de la maladie. Si nous comprenons ce que le mal nous dit, nous allons alors réaliser les actes justes correspondant à ce que nous dit le mal. Le mal n’a alors plus rien à nous dire puisque nous avons compris et il disparaît. Nous obtenons la guérison (et pas la rémission ; pour la médecine la guérison d’un cancer est une rémission à plus de 5 ans).

Ceci est réalisable lorsque nous prenons conscience que le cancer (comme toutes les maladies) est provoqué uniquement par les peurs. Oui, LA SEULE CAUSE du cancer est la peur et tous ses dérivés… et au bout de la peur nous trouvons inexorablement l’égoïsme. Sans égoïsme il ne peut y avoir de peur et quel est le contraire de l’égoïsme ? L’Amour. Développer l’Amour est le seul remède du cancer et de toutes les maladies.

Le Cancer est la conséquence de l’égoïsme qui nous ronge. Alors la peur s’installe et le cancer est la matérialisation physique de la peur. La guérison de tous les cancers (toutes les maladies en général) passe par un changement de vie où la peur n’a plus sa place. C’est une remise en question totale de toutes nos croyances bien apprises qui nous ont maintenus dans nos peurs. C’est la volonté d’aller vérifier par nous-mêmes tout l’enseignement qu’ON nous a inculqué. C’est par ce travail de volonté que nous pourrons terrasser nos peurs et par voie de conséquence, le cancer.

Un des exemples vivants le plus éloquent est celui d’Anita Moorjani (livre : »Diagnostique incurable mais revenue guérie à la suite d’une NDE » édition Trédaniel). Cette personne donne la possibilité aux cartésiens les plus acharnés de se poser de vraies questions, susceptibles d’ébranler les théories matérialistes dévastatrices pour le monde actuel. Il existe de nombreux témoignages et travaux effectués par de véritables chercheurs depuis plusieurs décennies, mais tous ces travaux n’ont jamais été divulgués à la population ni même évoqués dans les facultés de médecine.

Mais comment ne pas voir que les maladies sont devenues exponentielles, que les hôpitaux, les médecins, les pharmacies sont débordés, que les laboratoires pharmaceutiques sont les plus riches. Tout ceci n’est qu’un constat de plus. Personne ne peut le réfuter car c’est la réalité.

Comment comprendre cela si la médecine était réellement efficace, c’est-à-dire capable de guérir, comme elle le prétend, grâce à ses médicaments. Tout a été fait pour que le monde matérialiste prenne le pouvoir totalement sans aucune possibilité de penser autrement. Le résultat sera inéluctable si personne ne le remet en question. Rien n’est perdu mais il devient urgent de commencer à se réveiller.

‘’ Je t’aime ou je suis amoureux ‘’

Dans le film ‘’Odette Toutlemonde’’ Catherine Frot dit à Albert Dupontel :

‘’ Je vous aime mais je ne suis pas amoureuse de vous. ‘’

Quelle belle phrase mais qui la comprend réellement ? En effet dans notre société actuelle dire, ‘’ je t’aime ‘’ ou dire, ‘’ je suis amoureux de toi ‘’ cela correspond à peu près à la même chose ; on a tendance à interpréter ces expressions comme des synonymes.

Pourquoi cette confusion ? Parce que nous avons totalement galvaudé le mot amour ; nous l’utilisons à toutes les sauces sans trop savoir de quoi nous parlons.

En tout premier lieu, lorsque nous accomplissons un acte sexuel nous utilisons l’expression ‘’ faire l’amour ‘’.  Mais comment l’amour peut-il se faire ? Le véritable Amour peut se nommer éventuellement ‘’ énergie ’’ et celle-ci nous dépasse totalement ; personne ne peut la palper, la mesurer ; elle ne peut se faire et se défaire à notre guise. L’Amour est LA nourriture terrestre qui nous porte (la nourriture physique nous maintient en survie) tout au long de la vie et quand elle vient à manquer l’homme tombe malade.

Lors de l’acte sexuel ce sont deux égoïsmes qui se rencontrent et se donnent du plaisir jusqu’à son paroxysme, l’orgasme. On devrait appeler cet acte par similitude, ‘’ faire l’égoïsme ‘’, car il n’y a pas d’amour en première intention. Puis une fois l’orgasme passé, nous pouvons ressentir une chaleur profonde, une plénitude, le bonheur de vivre cette chaleur intensément. On voudrait que cet instant ne s’arrête jamais ; c’est le bonheur absolu, être à la ‘’ bonne heure ‘’, vivre ce moment présent dans toute sa quintessence. Plus rien n’existe, si ce n’est un amour naissant, à travers la chaleur du Moi (le porteur du moi dans le corps physique est la chaleur ; en temps normal elle est présente mais nous n’en avons pas souvent conscience). A cet instant nous pourrions utiliser l’expression, ‘’ être dans l’amour ‘’. A ce moment précis on peut ressentir une joie intense de vivre au côté de celle (ou celui) avec laquelle (ou lequel) on vient de partager ce passage du plaisir à la joie. C’est la transformation de l’égoïsme en amour.

Nous comprenons alors la nuance de la phrase : ‘’ Je vous aime mais je ne suis pas amoureuse de vous. ‘’

Le ‘’ je vous aime ‘’ est la représentation de l’amour sans condition. Etre amoureux s’adresse au plaisir sexuel.

Malheureusement ce temps post orgasme est souvent occulté ou, s’il ne l’est pas, n’est pas toujours conscientisé comme une étincelle de l’amour naissant.

Au cours des années cet Amour naissant doit prendre de plus en plus de place par rapport à la sexualité ; c’est le passage progressif de l’égo (ou petit moi) au grand Moi, celui qui nous attend après la vie terrestre. (voir livre ‘’De l’égoïsme à l’Amour’’)

Et la phrase, ‘’ Je vous aime mais je ne suis pas amoureuse de vous ‘’ prend alors une réelle authenticité.

De l’égoïsme à l’Amour

(texte écrit, il y a quelques années, avant la parution de mon livre, « De l’égoïsme à l’amour »)
Une amie à moi vient de m’adresser un mail avec un lien pour aller écouter une vidéo dans laquelle une personne parle de l’amour et des peurs et tente d’expliquer comment on peut passer de l’un à l’autre. Un autre ami dans le même moment m’écrit :

‘’Pendant les folies du début janvier en France (et pas seulement en France!) j’ai pensé à l’être humain qu’on devrait être et une question me tracasse: mais pourquoi Egoïsme et vengeance (violence) vont-ils ensemble? L’Amour a tellement baissé sa quotte?’’

Je me suis beaucoup exprimé sur ce sujet illimité et cela fait plusieurs fois que je me trouve interpellé par lui. Aujourd’hui c’est un signe de plus, donc je vais prendre un  moment pour l’écrire.

De plus en plus de gens se pose des questions sur les raisons qui poussent des êtres humains à faire du mal et pourquoi la plupart de l’humanité se trouve, le plus souvent, confrontée à ses peurs qu’elle n’arrive pas à dépasser. Dans cette vidéo on tente de donner des solutions qui n’en sont pas en réalité, pour la simple raison que l’écrasante majorité du monde actuel ne connaît pas véritablement ce que représente l’amour et aussi d’où viennent toutes ces peurs et comment les dépasser.

Je pense que si nous n’avons pas la connaissance, de qui est l’homme véritablement, nous n’avons aucune possibilité de pouvoir comprendre ce sujet fondamental car l’Amour est au centre de l’évolution de l’homme. C’est son moteur de vie.

En tout premier lieu, il serait souhaitable de définir l’Amour. Je pense, là aussi, que la majorité de l’humanité se leurre lorsqu’elle parle d’amour car en fait nous ne le connaissons que très peu. Par contre ce que nous maîtrisons à fond c’est son contraire : l’égoïsme.

Donc nous allons partir de cet égoïsme que nous connaissons parfaitement pour espérer accéder à la compréhension de l’Amour avec un grand A.

Pour comprendre pourquoi l’homme en est arrivé  à ce stade, il nous faut aller chercher la connaissance de l’homme car pour le moment ON s’est contenté de savoir qui il était  en pensant le connaître. (voir savoir et connaissance).

Durant toute son évolution l’homme a intégré chronologiquement  le règne minéral, le règne végétal et le règne animal pour accéder à sa condition d’être humain actuel.

Le règne minéral nous a donné la base de la structure minérale du corps, le règne végétal nous a apporté l’eau et la vie, et le règne animal l’air et les instincts, pulsions et désirs. Nous récapitulons toute cette évolution à partir de la procréation et ce qui est le plus parlant aux yeux physiques actuels c’est la récapitulation de tout le règne animal, pendant la première année de la vie, c’est-à-dire de la naissance à la marche. La science appelle cela la phylogénèse (l’évolution des espèces animales) qui est  à mettre en parallèle avec l’ontogénèse (qui est l’évolution de l’homme).

Mais lorsque l’homme va commencer à marcher il va développer le néo cortex, la partie du cerveau qu’il est le seul à posséder. A partir de cette évolution la parole et la pensée vont apparaître chez l’homme et ce quatrième règne, à l’échelle de l’évolution, va donner à l’homme son Moi, c’est à dire la capacité d’être une individualité à part entière.

Le rôle de l’homme à travers son moi terrestre – que nous pouvons appeler égo –  est de progressivement maitriser les règnes par lesquels il est passé au cours de son évolution. Je ne peux pas entrer dans les détails mais il s’avère que l’homme doit intégrer et dépasser, en tout premier lieu, le règne animal.

Mais qu’est ce que l’animal ?

La fonction la plus élaborée de l’animal, nous l’avons vu, est d’avoir développé les instincts, les pulsions par rapport au règne qui le précède, le règne végétal. Parmi ses instincts, l’un des plus importants est la peur. Oui ! la peur nous vient du règne animal. Et que fait l’animal lorsqu’il a peur ? Il fuit ou il mord. La peur est totalement liée avec une autre vertu de l’animal : l ‘individualisme.

C’est une progression, pour l’animal, dans le sens de l’évolution et ces vertus sont naturelles pour lui ; c’est son fonctionnement physiologique de base. L’animal ne se soucie pas de l’autre, même de ses enfants lorsqu’ils deviennent adultes, voire même à les éliminer s’ils deviennent un obstacle à ses désirs.

La vertu suprême de l’animal est de s’occuper d’abord de lui. Et je le répète, car cela est très important, ceci est tout à fait normal pour un animal.

Donc en continuant son évolution l’homme a non seulement intégré naturellement cette qualité individualiste, mais comme il possède un égo il a acquis en plus la faculté de penser et avec elle, la faculté de conscience. Et toujours selon l’évolution il a amené ensuite cette vertu individualiste jusqu’à son paroxysme : l’égo…ïsme.

L’égoïsme est la prise de conscience la plus élevée, jamais atteinte dans l’histoire de l’évolution, de notre propre individualité. Lorsque je dis ‘’JE,’’ je parle de moi et aucune autre personne ne peut dire ‘’je’’ à ma place. Chaque personne a le pouvoir de dire ‘’je’’ uniquement pour elle.

Nous devons comprendre que ceci est un passage obligatoire dans l’évolution de l’homme et qu’il est NECESSAIRE que l’homme devienne une individualité et pour cela il a dû passer par le summum de l’individualité… l’égoïsme.

L’homme est le seul capable, à l’aide de son égo que l’animal ne possède pas, de développer l’égoïsme mais cet individualisme nous vient directement de l’animal. Et l’homme doit, s’il veut continuer à avancer dans son évolution, intégrer l’animal en lui pour devenir un être humain à part entière.

Pour cela le chemin, qu’il doit accomplir, est de dépasser maintenant son égoïsme et de développer ce qui est purement humain : l’amour.

L’amour est le stade de l’évolution réservé au règne humain et les animaux nous ont aidé à nous y préparer en passant tout d’abord par un égoïsme nécessaire pour devenir une individualité car seule une individualité peut donner de l’amour.

Seul un ‘’JE’’  ou Moi peut aimer autre chose sinon il reste avec son ‘’je’’ ou ego. A ce stade nous pouvons faire la distinction entre l’égo et le MOI.

L’homme qui reste au stade de l’égo est un animal pensant

L’Homme qui développe son Moi est un Etre Humain

Voilà j’ai essayé, en étant le plus bref possible, de poser le cadre. Il est évident que j’ai pris des raccourcis car cela mériterait un livre et même plusieurs. Il est important de comprendre comment nous en sommes arrivés là et surtout pourquoi et pour quoi. Quel est le sens de tout ça ?

 » Mais pourquoi Egoïsme et vengeance (violence) vont-ils ensemble?  L’Amour a tellement baissé sa quotte? « 

Le mot amour seul n’a pas de sens à mes yeux ; il en prend lorsqu’on lui ajoute l’adjectif Universel, c’est-à-dire aimer de la même manière son voisin (et toutes les créatures terrestres) que ses propres enfants. Il est là le véritable et authentique Amour avec un grand A que doit développer l’homme dans le présent et le futur de l’évolution sous peine de voir cette évolution s’arrêter.

Car l’Amour Universel n’est pas un gâteau que l’on partage et qui diminue à chaque part donnée ; c’est une vertu qui se donne à l’infini et qui, non seulement ne diminue pas en quantité mais au contraire augmente de façon exponentielle, si on l’entretient.

Alors dans cet état de conscience-là, je n’aime pas moins mes enfants mais je hisse mon niveau d’amour pour les autres à la même hauteur que celui de mes enfants.

Cela signifie qu’il nous faudra faire un travail sur les liens du sang parce qu’ils nous maintiennent dans notre égoïsme. Tant que les liens du sang perdureront nous alimenterons notre égoïsme.

Et, là, ça nous refroidit…. Comment est ce possible d’aimer autant les « autres » que ses enfants ? Et cela nous renvoie de nouveau à notre égoïsme.

Mais comment cela ? Parce que j’aime plus mes enfants que les autres je suis dans l’égoïsme ?

Là, il va nous falloir faire encore une distinction qui ne va pas être facile à entendre pour certains.

L’homme a été assez doué pour se leurrer sur l’amour et pour le masquer par ce que j ‘ai appelé un ‘’égoïsme cachée’’.

Il s’est leurré à tel point qu’il parle de ‘’faire l’amour’’ quand il pratique un acte sexuel où, la plupart du temps, ce sont deux égoïsmes qui se rencontrent pour aller chacun vers leurs propres jouissances. A ce niveau il galvaude le mot amour.

Pourtant il est possible de le vivre autrement, lorsque chaque individualité du couple décide que le seul objectif de cet acte est d’amener l’autre à sa jouissance suprême… l’orgasme. Quand ceci se réalise on peut noter très souvent que les deux vont vivre l’orgasme simultanément et que celui-ci sera beaucoup plus intense que chaque orgasme vécu séparément.  A cet instant l’égoïsme peut être sur le chemin de l’amour et les corps le savent et nous encouragent par cet orgasm… ïsme.

L’acte sexuel devrait être un premier tremplin physique sur le chemin pour accéder à l’amour véritable qui est, dans ce cas précis, la procréation. Mais en est-il vraiment toujours ainsi ?

Lorsque nous disons aimer nos enfants, nous sommes en fait confrontés à nos propres peurs qui sont, nous l’avons vu, des conséquences de l’égoïsme. Nous sommes confrontés à la peur qu’ils tombent malades, qu’ils aient un accident grave ou pire encore, qu’ils meurent.  A ce moment précis si ces événements arrivent, JE vais souffrir. C’est de MA souffrance dont je parle, donc encore de Moi.

On pourrait rétorquer :

‘’Mais on pourrait très bien dire que cette souffrance est la conséquence de l’amour que je porte à mon enfant.’’

Et bien non et c’est là où nous nous leurrons.

La preuve du réel amour est lorsque je suis autant interpellé par les malheurs de mon voisin que par ceux de mon enfant, lorsque j’éprouve de la compassion pour la misère de n’importe qui car la compassion est le sentiment racine de l’amour alors que la pitié est celui de la peur et de l’égoïsme car en toile de fond de la pitié il y a toujours cette pensée :

’’Pourvu que ça ne m’arrive pas à moi ou à mes enfants.’’

Tant que nous n’arrivons pas à ce stade universel de compassion, nous sommes dans l’égoïsme.

Alors j’entends ces réactions :

‘’ Mais ceci est irréalisable ; j’aimerai toujours plus mes enfants que les autres. On n’est pas prêt d’y arriver. ‘’

Mais si ! On le peut ! S’il n’est pas possible de le réaliser demain cela ne veut pas dire que nous ne le pourrons pas plus tard; c’est un plus ou moins long chemin qui passe, en premier lieu, par une compréhension de tout cela pour accéder à un autre niveau de conscience. A ce stade là l’impossible devient possible.

A partir de ce moment nous avons un gigantesque travail à accomplir ; celui de débusquer cet égoïsme partout où il se trouve et la tâche n’est pas simple car il est omniprésent et se met dans des endroits quelque fois très difficile d’accès.

Mais chaque fois que nous arriverons à voir notre propre égoïsme nous aurons la possibilité de le transformer instantanément en amour, car l’amour est le contraire de l’égoïsme et quand l’un existe l’autre disparaît. Les deux ne peuvent pas cohabiter en même temps.

Nous ne sommes pas dans la théorie ; je le sais, car les événements de ma vie me l’ont confirmé dans mon quotidien ; chaque fois que je suis pris en flagrant délit d’impatience, par exemple, je sais que mon égoïsme domine car l’impatience est une de ses multiples facettes et, comme je suis très attentif à cela, j’essaie de rectifier le tir aussitôt.

C’est un travail de tous les instants car l’égoïsme ne nous laisse aucun répit. Nous l’avons tellement bien exploré que nous n’avons pas toujours conscience de sa présence. Rappelez-vous, c’est un vestige animal ; il est instinctif.

Il nous oblige à éveiller notre conscience chaque seconde de notre vie, donc à réveiller notre faculté de discernement.

Il nous oblige à une présence permanente ; oui à vivre le fameux instant présent, prôné par toutes les sagesses du monde depuis la nuit des temps, comme étant le seul et unique  comportement permettant d’assurer la santé et le bien-être à l’homme.. Donc cet égoïsme est physiologique et est bien un passage nécessaire puisqu’il est l’ingrédient qui nous oblige à vivre le présent.

Et pour mes amis dentosophes, on l’observera dans la bouche.

La première étape pour voir notre égoïsme est de travailler sur nos peurs * car égoïsme et peur sont deux synonymes à mes yeux. Eradiquer nos peurs nous permet de voir la vie et le monde d’une tout autre façon, de développer nos grands yeux, ceux qui étaient restés fermés par la peur.

Cette étape, je l’ai vu se franchir, depuis de nombreuses années, par les personnes qui sont entrées dans la pratique de la  dentosophie.

Donc je sais que c’est possible, que c’est concret et non une illusion. Nous en avons les moyens, si nous le décidons et mettons en route nos propres forces de volonté pour y parvenir.

Nous savons tous, en conscience ou inconsciemment, que l’Amour Universel est indispensable à la vie de l’homme. Il est le moteur de l’humanité.

Nous ne pouvons plus attendre éternellement et observer le mal-être de l’humanité, de façon passive.

C’est impossible. Notre avenir est entre nos mains et personne ne pourra le réaliser à notre place.

Pour l’évolution il est nécessaire que l’homme devienne une personnalité unique, libre  indépendante et spirituelle où l’Amour sera omniprésent.

Passer de l’égoïsme à l’amour. C’est la tâche grandiose de l’homme sur la terre.

* livre 2 : ‘’ De la dent à l’Homme, un parcours bouleversant’’
* Voir livre 3 « De l’égoisme à l’Amour »

Savoir et connaissance

  • La connaissance, étymologiquement, signifie naître avec. Elle est LA vérité qui existe au plus profond de l’être humain mais nous l’égarons à la naissance.
    Son véhicule est le cerveau du cœur.
  • Le savoir est une accumulation de ‘’certitudes’’ qu’ON nous a enseignée depuis la naissance. Son organe est le cerveau de la tête.
Lorsque le savoir rencontre la connaissance, il doit se mettre à son service et toutes les ‘’vérités’’ enseignées sont remises en question. On comprend alors seulement que notre enseignement bien appris nous a amené à des croyances que nous avons adoptées sans aucune vérification.

L’accès à la connaissance aboutit, lui, à LA VERITE.

On touche alors la paix intérieure et par voie de conséquence la paix extérieure et, si la paix extérieure se manifeste, il ne peut plus exister de guerre car pour faire la guerre il est nécessaire d’être au minimum deux ; si un des deux protagonistes est en paix la guerre ne peut plus exister.

Lorsque le savoir ne rencontre pas la connaissance, on assiste à une opposition des savoirs.
La polémique règne et la guerre s’installe.

Mais, comme nous l’avons vu, il ne peut y avoir de guerre à l’extérieur que s’il existe une guerre à l’intérieur de l’homme car c’est bien l’homme qui déclenche la guerre; donc si la guerre s’installe dans le monde c’est qu’il existe une guerre à l’intérieur de l’homme, guerre véhiculée par des ‘’certitudes’’ que chacun croit juste. Personne ne veut lâcher son propre savoir, signe de puissance, dans notre monde actuel, et derrière la puissance nous retrouvons…l’argent.

Nous avons ici une preuve de notre mode de fonctionnement pathologique :

Si toutes ces ‘’certitudes’’ étaient réellement justes, l’homme serait en paix et il n’y aurait pas de guerres ni de drames humains.

Donc, si nous souhaitons éradiquer tous les conflits mondiaux, toute la haine véhiculée, il va être nécessaire de régler nos conflits intérieurs et seule la connaissance de l’Homme nous donne l’accès à ce chemin.

Nous sommes devant un constat ; si nous voulons modifier le cours des événements mondiaux, il nous faut remettre en question totalement ce qui a amené l’homme d’aujourd’hui à fonctionner de la sorte.

Si nous faisons l’effort de ce changement nous comprendrons alors que nous faisions fausse route.

Au moment où j’écris ces lignes un homme vient d’assassiner sept personnes à Toulouse, trois militaires, trois enfants et un adulte d’origine juive. Ce drame a retenti non seulement dans toute la France mais aussi dans le monde entier…et le seul cri unanime qui parvient à mes oreilles est horreur, peur, haine et surtout…    incompréhension. L’humanité entière se demande, entre autre, comment est-il possible de tuer trois enfants de sang froid ?

Et sa réponse est l’arrestation de l’acteur de ces tueries, le mettre en prison ou le tuer et, comme il y a de plus en plus de gens qui agissent mal, la construction de plus en plus de prisons.

Mais avons-nous solutionné notre incompréhension en mettant les gens en prison ?

Bien évidemment non.

L’humanité ne trouve pas de réponse et elle ne pourra jamais en trouver car elle fonctionne avec son savoir. Son savoir lui dit ce qu’on lui a enseigné, c’est à dire que la responsabilité de tout ce qui nous arrive vient de l’extérieur. Si cet homme a tué, c’est qu’il était endoctriné, possédé par des forces du mal et nous nous demandons comment un homme peut-il en arriver là.

Mais surtout c’est lui et lui seul, le coupable, de cette sauvagerie. L’humanité cherche toujours la faute à l’extérieur (comme le microbe, la pollution, l’alimentation responsables de toutes nos maladies pour la médecine)

Si l’humanité se donne la peine de lâcher son savoir dogmatique elle pourra alors peut-être comprendre que nous sommes, toutes et tous, responsables de ces tueries.

Elle prendra alors peut-être conscience que le mal existe aussi en nous tous et que notre tâche sur cette terre est de faire triompher le bien.

Mais pour cela il faut avoir la force et le discernement de reconnaître nos limites du moment.

Tant que nous laisserons exprimer le mal dans notre vie de tous les jours (et cela commence par les petits mensonges – vous rendez-vous comte, ces mensonges qui sont le quotidien de l’homme actuel -) nous ne pourrons pas être surpris d’en voir certains n’exprimer que le mal de la même manière que nous en observons d’autres, véhiculant uniquement le bien.

Et l’humanité ne comprend pas plus la force qui permet à un homme de pardonner ‘’l’impardonnable’’ qu’elle ne comprend la force qui permet à un homme de tuer de sang froid. Pourtant les véritables questions arrivent et nous ne pouvons les occulter si nous voulons éradiquer toute délinquance.

Pourquoi avons nous construit une humanité capable de produire de telles monstruosités ? Car, avant d’aller ‘’lapider’’ un homme qui a tué, remettons nous en question au sujet de ‘’nos petits meurtres’’ quotidiens, c’est à dire de toutes les mauvaises actions tolérées par une société incapable de discerner le bien du mal.

Quelles sont ces forces (du bien ou du mal) si puissantes qui permettent à ces hommes de réaliser l’inimaginable pour l’écrasante majorité  de la population ?

Comment les expliquer avec notre cerveau d’aujourd’hui ?

Les réponses existent si nous faisons l’effort d’aller réellement comprendre pourquoi l’homme en est arrivé là et comment peut-il s’en sortir ?

Mais pour cela il va falloir changer de cerveau.

A la suite de cette horrible tuerie, et en général après des crimes d’enfants (quelle que soit la ‘’raison’’ du crime), lors d’une marche silencieuse à la mémoire des victimes, si nous essayons d’écouter les témoignages des personnes présentes, nous entendons :

« C’est normal que nous soyons là car nous participons à la douleur de la famille ; cela aurait pu arriver à nos propres enfants. »

Que disent ces personnes ; la raison profonde de leur manifestation est de dire : « Arrêtez cela pour que mon enfant ne subisse pas le même sort. »

Nous sommes dans l’expression la plus profonde de notre égoïsme et je me mets aussi dans le tas. Ces personnes ne pleurent pas la personne décédée mais elles pleurent à l’idée que cela pourrait arriver à quelqu’un de cher.

Ne croyez pas que dans ces propos je me permette de donner des leçons car je suis dans la même secte, la secte de l’être humain aveugle. La seule différence avec certains, peut-être, est que j’essaie d’en sortir pour devenir déjà borgne et tutoyer nos dysfonctionnements et nos paradoxes.

Lors de ces marches nous voyons des pancartes où il est inscrit : « plus jamais ça »… et cela fait des siècles qu’on les écrit… en attendant passivement que cela recommence.

Pour répondre à ces « plus jamais ça » il nous est demandé de faire la démarche d’aller comprendre ce qui pousse l’homme à véhiculer le mal.

Et pour aller le plus en amont possible de la réalité humaine, nous devons accéder à sa véritable connaissance, pas au savoir bien acquis mais au fonctionnement universel de l’Homme.

Cela passe par une remise en question totale, oui j’ai bien dit totale, du fonctionnement de notre néo cortex (la partie humaine du cerveau ; celle que nous ne partageons avec aucun règne de la nature).

Il va nous être demandé de prendre conscience que ce néo cortex est un outil au service de l’homme et pas une centrale qui commande tout.

Il va nous être demandé de remettre à sa place le cerveau intellectuel qui devrait servir à mettre en mémoire les expériences vécues dans les moments présents. Le cerveau est un organe du passé servant à stocker ses expériences vécues. Ces dernières peuvent être alors utilisées lors d’une nouvelle action dans le présent.

Exemple : je dois planter un clou dans l’instant. Mes expériences passées m’ont appris qu’il était utile d’avoir un marteau. Je sors le marteau d’une case de mon cerveau et je plante mon clou dans le présent. Je remets le marteau dans sa case du cerveau et je passe à autre chose sans prise de tête. Le cerveau est à mon service et, dans ces conditions, en aucun cas il devrait être le responsable de mes cogitations, soucis, stress et angoisse.

Il m’a été donné le privilège de pouvoir constater les conséquences extérieures des conflits que l’homme véhicule à l’intérieur, à travers la structure de sa bouche, la position et la forme des dents.

Un véritable langage dentaire s’est alors manifesté.

Cela a débouché sur une nouvelle approche de la compréhension de l’homme :

la Dentosophie.

Nous (toutes les praticiennes et praticiens qui ont adopté la dentosophie) avons pu observé et observons de façon systématique des déformations buccales chez tous les êtres humains que nous rencontrons. Ceci est une norme reproductible à 100% ; c’est donc une LOI universelle n’acceptant aucune exception, à la différence des règles inventées par les hommes.

Nous avons pu mettre en place un protocole pour permettre à l’homme de se libérer progressivement de son déséquilibre pour accéder à une autonomie de fonction.

Cela se traduit, dans la bouche, par un ‘’déverrouillage’’ visible de l’extérieur, déblocage correspondant à la résolution de certains conflits intérieurs.

Ce résultat est le fruit d’une auto thérapie, c’est à dire une thérapie où le seul maître à bord est le patient lui-même. L’Homme redevient ce qu’il n’aurait jamais du quitter : être son propre médecin.

Il se met alors en route sur son chemin personnel, seule voie qui peut le mener à une réelle et authentique Liberté… ce mot liberté qui est actuellement totalement galvaudé.

La dentosophie nous a permis d’aller comprendre l’incompréhensible pour la science actuelle. Seulement lorsque la science n’explique plus avec son savoir, elle rejette sans aller chercher à comprendre les nouvelles ‘’hypothèses’’ proposées.

Or il s’avère que la dentosophie n’est plus aux stades des hypothèses.

Elle nous a rapporté la liberté qui nous avait été prise par nos croyances bien assimilées.

Elle nous permet d’accéder à une véritable connaissance de l’Homme.

La libération de nos conflits ouvre une porte d’accès à cette connaissance oubliée à la naissance et remet notre savoir à sa place.

Elle nous permet de développer notre faculté de discernement nécessaire à l’accès de la conscience morale, conscience morale aboutissant à la LIBERTE de choix laissé à l’homme : le choix entre le bien et le mal.

Nous ne pouvons plus faire semblant d’ignorer la différence fondamentale entre savoir et connaissance.

Le savoir est une goutte d’eau dans l’océan de la connaissance.

Le savoir est acquis et la connaissance… innée.

Le savoir ne connaît rien et la connaissance sait tout.

Il nous est demandé, maintenant, d’aller à sa rencontre pour retrouver cette connaissance.


Notre suffisance

Quand allons–nous prendre conscience de notre suffisance ?

Nous sommes pratiquement tous persuadés de posséder la connaissance la plus poussée de toute l’histoire de l’humanité à tel point que nous sommes incapables, pour la plupart d’entre nous, de remettre en question, ne serait-ce qu’un instant, notre savoir bien appris.

Il devient nécessaire, et je dirais même urgent, de commencer à tutoyer notre ignorance dans TOUS les domaines de la vie, de prendre conscience que nous ne savons rien lorsqu’il s’agit de parler de l’essentiel :

 La véritable connaissance de l’Homme

Cette connaissance est restée au niveau de l’inconscient, au moment de notre naissance, et tout ce que nous avons développé en conscience, depuis la naissance, est un savoir ‘’ingurgité’’ comme LA référence. Car il nous faut être conscient de cet état de fait :

ce savoir nous a été enseigné depuis notre plus jeune âge comme étant la vérité. Ce savoir, véhiculé par la science, n’a jamais été remis en question pour une raison essentielle :

Par définition la science sait.

Les scientifiques ont suivi des études que la majorité de l’humanité ne connaît pas ; donc si la science affirme quelque chose cela ne peut être que juste pour le peuple.

Pour le moment, dans l’état actuel de notre niveau de conscience, tout ce qui relève du conscient touche le domaine du savoir et tout ce qui relève de l’inconscient concerne le domaine de la connaissance.

Il nous est demandé aujourd’hui de commencer à conscientiser ce qui relevait, jusqu’à maintenant, de l’inconscient, c’est à dire d’aller travailler la véritable connaissance de l’Homme, la partie cachée de l’iceberg, celle qui n’est pas vue.

Le problème majeur est que ceci est enseigné nul part.

C’est une remise en question totale, un véritable tsunami.

Si nous faisons cette démarche, nous allons alors comprendre que nous ne savions vraiment rien, que l’apprentissage de la partie visible de l’homme est ridicule au regard de sa partie cachée.

La partie cachée de l’Homme est toute son histoire, depuis l’origine des origines, que nous récapitulons notamment au moment des neuf mois de gestation.

Nous allons toucher aux questions existentielles restées sans réponse à cause de l’arrogance de la science dite moderne.

Nous allons alors aussi accepter de travailler cette fameuse humilité que nous apprécions tant chez les autres (en effet personne n’aime les personnes prétentieuses) et mesurer notre suffisance scientifique qui n’accepte aucune hypothèse venant contrecarrer ses ‘’certitudes’’.

Accepter de ne rien connaître, accepter de ne pas penser tout savoir est le début de notre grandeur.

Avoir l’humilité d’en sourire et de le dire est un grand pas accompli envers notre prétention.

Cette attitude est la seule permettant de nous donner les moyens d’accéder enfin à la véritable connaissance de l’Homme, de notre vivant c’est à dire en conscience.

Passer la connaissance, laissée à la naissance, du domaine de l’inconscient au domaine du conscient, voilà la tâche qui est demandé à l’homme d’aujourd’hui, sinon il aura vécu en vain.

Pour cela il va être nécessaire de développer une grande vertu, restée encore trop souvent en sommeil :

La faculté de discernement.

Pour tenter de comprendre cette vertu je vais prendre un exemple : le coup de foudre

Le coup de foudre est une véritable ‘’bombe’’ émotionnelle qui nous submerge. Plus rien n’existe au delà de la personne pour laquelle nous venons de tomber amoureux.

Le terme ‘’tomber amoureux ‘’ signifie que cela nous tombe dessus sans aucune intervention du cerveau de la tête.

C’est le cerveau du cœur * qui entre le premier en action puis il va réchauffer le cerveau de la tête pour que ce dernier exprime des paroles du style :

« Elle est belle ; comment cela est-il possible de voir une si admirable créature ? »

Puis vont se mettre en route nos forces de volonté, qui vont contribuer à réchauffer le cerveau de la tête, pour aller mettre en acte cet amour naissant.

Le coup de foudre est porté par le sentiment suprême : l’amour. 

Cet amour, qui se situe au niveau du pôle du sentiment, va aller réchauffer le penser qui prononcera les mots justes, portés par nos forces de volonté. Ces propos sont spontanés ; il n’existe aucun jugement ; ils reflètent exactement ce que le cœur a exprimé par un bouleversement intérieur.

Ce coup de foudre fait partie des intuitions innées apparaissant tout au long de notre vie ; seulement le coup de foudre fait partie de ces intuitions gigantesques qu’on ne peut pas, ne pas remarquer ; c’est comme si ON nous donnait la possibilité de vivre quelque chose de tellement monumental pour que nous ne puissions pas dire :

« Cela n’existe pas. »

C’est un don qui nous est offert du monde spirituel ; nous ne pouvons l’expliquer avec notre esprit rationnel mais nous ne pouvons nier que cela existe.

Mais ces intuitions géniales, arrivant comme des présents, sont le plus souvent anéanties par la froideur du cerveau de la tête ; même le coup de foudre, quelque fois, n’y échappe pas. Au lieu de nous dire cette femme est belle nous pourrons enchainer sur :

« Je ne suis pas beau, j’ai des boutons, je suis trop bête, trop petit ou trop maigre ; jamais elle ne voudra de moi. »

Dans cette situation le cerveau du haut, donc la pensée, aura anesthésié le cerveau du cœur, donc le sentiment suprême, et nous n’oserons pas mettre en route nos forces de volonté par peur de vivre la honte du refus.

Ceci est le mode de fonctionnement quotidien qu’ON nous a enseigné.

Ce n’est pas le penser réchauffé par le sentiment et la volonté qui agit, mais les pensées froides de la tête qui sont du domaine du passé, de la mémoire que nous avons emmagasinée au fur et à mesure de notre apprentissage. C’est le fruit du tout savoir bien appris et répété tel un perroquet.

Les réflexions « je ne suis pas beau, j’ai des boutons, je suis trop bête, trop petit ou trop maigre ; jamais elle ne voudra de moi. » sont le fruit de toutes nos peurs ‘’emmagasinées’’ lors de notre éducation, peurs que nous allons véhiculées toute notre vie si nous n’en prenons pas conscience*.

Oui, l’homme se situe aujourd’hui au stade de l’âme de conscience et il lui est demandé de dépasser le mode de fonctionnement archaïque pour accéder à la véritable faculté de discernement.

Cette vertu peut être alimentée seulement par le cerveau du cœur, par le sentiment suprême : l’Amour avec un grand A, l’Amour universel, celui qui nous fait aimer autant notre enfant que celui du voisin.

Cet Amour part du pôle du sentiment et va réchauffer tout ce qui viendra à son contact ; A cet instant le penser et la volonté seront justes et la tri articulation sera alors physiologique*.

Nous ne sommes plus au stade du savoir bien appris mais de la connaissance innée.

La tri articulation est portée par la connaissance, que nous avons oubliée à la naissance, pour laisser le savoir, juste, faire son œuvre, c’est à dire ramener par la logique, à notre conscience (c’est à dire de notre vivant) cette connaissance, devenue inconsciente par le déroulement de l’évolution.

Dans la connaissance se trouve toute la partie spirituelle de l’homme. A l’époque actuelle cette spiritualité est au plus loin de notre conscience comme jamais l’homme l’a vécu dans toute son évolution *.

Voilà pourquoi le matérialisme domine encore le monde.

C’est à un tournant que se trouve l’humanité.

Elle a la liberté du choix de rester un mouton obéissant ou de devenir un être spirituel libre donc indépendant. De ce choix dépendra l’avenir de l’homme.

Le processus du coup de foudre est une preuve irréfutable de la chronologie du cerveau du cœur entrant en action avant le cerveau de la tête. Ce dernier est aux ordres ; il est un outil utilisé par le sentiment. Le cerveau est un organe des sens – comme l’œil ou l’oreille – qui capte les informations du monde spirituel et c’est notre Moi qui les utilise et en fait un bon ou mauvais usage en fonction du chemin qu’il aura accompli.

Toute notre vie nous allons être confrontés à des ‘’travaux pratiques’’, sous forme d’intuitions justes que nous écouterons ou non.

C’est l’apprentissage du discernement.


  • livre 2 : ‘’ De la dent à l’Homme, un parcours bouleversant ’’

 

Nous sommes arrivés à un tournant de l’humanité.

 

Nous vivons une période extraordinaire si nous faisons la démarche d’une réelle prise de conscience.

J’ai eu le grand privilège d’avoir une formation de dentiste en France.

Pourquoi est ce un grand privilège ?

Parce que dans la bouche toutes les maladies ou déformations se voient ; il n’est pas nécessaire de passer par des analyses ou des investigations intérieures (radio, scanner, IRM, biopsies etc.) pour faire un diagnostic.

La formation dentaire actuelle nous enseigne COMMENT peut-on faire pour minimiser ces déformations et elle nous donne les explications sur SON pourquoi.

Les causes viendraient de nos fonctions neuro-végétatives perturbées (respiration, succion, déglutition, mastication, phonation). Et la simple observation clinique nous montre que cette vision des choses est trop réductrice donc erronée et nous emmène sur une fausse piste.

Aujourd’hui la science n’explique pas l’existence de ces déformations mais elle ne peut les nier. Elle tente de traiter le COMMENT mais n’a aucune idée du POURQUOI existe ces déformations et surtout du POUR QUOI ; quel est le sens de toutes ces pathologies ?

Que veulent-elles nous dire ?

La médecine, en France est arrivée à la performance de sortir le dentiste des études médicales ; c’est comme si la bouche et les dents ne faisaient pas partie du corps humain. Cela nous amène au constat suivant : les médecins sont incompétents sur ce qui se passe au niveau des dents et les dentistes sont ignorants du reste du corps humain.

Dans ces conditions le dialogue et les échanges sont difficiles ; c’est ce qui se passe en France.

A l’heure où je vous parle, la science médicale ne donne aucune réponse cohérente aux malformations buccales mais il va bien être nécessaire de relier cette bouche au corps tout entier et aller comprendre enfin que l’homme est un tout indissociable et non un ‘’morceau de viande’’ coupé en morceau pour cardiologue, pneumologue, neurologue etc.

Notre expérience clinique (la mienne et celle de toutes les praticiennes et praticiens qui ont bien voulu faire la démarche d’aller comprendre) nous a permis de constater que cette fausse piste ne se situait pas seulement dans le monde dentaire mais pouvait se généraliser à la médecine toute entière.

Des preuves irréfutables se sont accumulées depuis plus de 30 ans sur le sens des déformations buccales, preuves que la science contemporaine ne veut pas voir… mais pourtant elle ne peut les ignorer car elles existent et se voient avec nos propres yeux. Elle ne peut même plus rétorquer, comme c’est le cas envers Ryke Geerd Hamer, que ce sont des erreurs de lecture de scanner.

Comme je viens de le dire, la ‘’chance’’ de voir dans les bouches m’a permis d’ouvrir un peu mes yeux et d’observer des ‘’guérisons miraculeuses’’ s’accomplir, sans aucune possibilité d’explication avec mon esprit cartésien de l’époque, mais je ne pouvais nier ces constats. Sont arrivées alors deux options :

  • soit faire l’autruche et ne pas voir
  • soit commencer à poser les questions qui dérangent
La deuxième option oblige à nous remettre en question et nous apercevons alors que le savoir bien appris durant toute notre éducation ne nous appartient pas ; il nous a été enseigné et nous l’avons adopté sans aucune vérification. Il est passé ensuite au stade des croyances.

Et, il est très compliqué de remettre en question ces croyances car, à ce stade, elles sont devenues NOS croyances et que nos croyances par définition : ‘’on y croit’’.

Il a fallu ces preuves cliniques inexplicables, preuves qui m’ont forcé à aller chercher par moi-même et non par personnes interposées le POURQUOI de ces résultats stupéfiants et d’accéder à une réelle connaissance de l’homme, connaissance qui est à différencier du savoir.

Les maladies (ou déformations) de la bouche comme celles du corps tout entier nous parlent.

Qu’ont-elles à nous dire ?

De leur compréhension nous pouvons accéder à la connaissance de qui nous sommes réellement.

« Oh, Homme connais-toi toi même »

(Inscription écrite sur le fronton du temple de Delphes en Grèce)

La diffusion de la dentosophie ne pourra se réaliser à l’aide d’un cerveau structuré et formaté pour enseigner l’intellectuel à des intellectuels.
La dentosophie ne s’enseigne pas, elle se vit.

Lorsque ‘’l’enseignant’’ en dentosophie a intégré cela, il devient alors ‘’contagieux’’ et donne envie à l’autre d’en faire de même. Il touche alors l’enfant intérieur, celui qui tend vers un seul objectif : mimer les faits et gestes d’autrui.

Cela ne passe pas et ne passera jamais par le mental ; tout se joue au niveau du ressenti, c’est à dire du cerveau du cœur ; ce dernier étant le seul et unique maître de l’homme.

Toutes les questions et réponses justes passent par lui et c’est seulement dans un second temps que l’analyse à l’aide du cerveau de la tête peut prendre forme.

Cette pensée est réchauffée par la justesse du sentiment et le Penser peut se mettre en action car il n’est pas parasité par les pensées véhiculées par notre enseignement, issues de notre savoir bien appris. Les actes, mis à exécution, seront sur le même tempo que les sentiments ; ils seront justes et renforceront le réchauffement du Penser.

Alors le Penser pourra être fondamentalement juste car il ne sera pas pollué par des pensées relevant du passé.


Conscience et Inconscience

Comment définir la conscience ?
Est-elle une prise de conscience intellectuelle avec comme seule intervenant le cerveau ?

Où vient elle de beaucoup plus loin ?

Dans le langage actuel l’expression ‘’j’ai pris conscience’’ s’accompagne d’un geste de l’index qui se dirige sur le front pour bien mimer que la conscience se situe au niveau des hémisphères cérébraux droit et gauche.

La grande majorité de l’humanité pense que la conscience est liée au cerveau, même si personne ne sait où elle se trouve et surtout par quel mécanisme elle agit ?

A ce stade la prise de conscience est assimilée à une interpellation de mon penser qui va stoker la nouvelle information dans sa mémoire (ou disque dur).

Maintenant essayons de voir autrement cette conscience. Pour cela il va être nécessaire de poser des définitions plus exactes à des mots que nous utilisons alors qu’ils ne possèdent aucune consistance; en effet quelle différence, dans le langage courant, entre inconscient et subconscient ?

Le subconscient est quelque chose que nous avons emmagasiné dans notre mémoire et que nous ressortons de façon automatique sans faire appel à la conscience ; on pourrait le comparer aux réflexes conditionnés que Pavlov a mis en évidence chez l’animal.

Ce subconscient est le résultat de toute notre éducation, de tout un formatage intellectuel issu de toutes les stimulations extérieures fournies par la société.

Personne n’y échappe car c’est le fonctionnement physiologique de l’homme ; à la différence de l’animal, l’homme a tout à apprendre et ceci jusqu’à 28 ans. Il va le faire de façon totalement inconsciente jusqu’à ce que la conscience du moi, c’est à dire son individualité (ce qui fait qu’il est unique au monde) se mette en action.

Nous pouvons dire que pendant les 7 premières années de sa vie l’enfant est construit

de façon totalement inconsciente ; ces années sont fondamentales pour les pédagogues de tous ordres (parents, école, société) car c’est de leurs capacités que va dépendre l’équilibre futur de l’enfant ; de tout côté l’enfant va recevoir des informations qu’il va stocker dans sa mémoire puis, peu à peu, il va mettre une certaine forme de conscience, forme qui sera toujours dépendante de la pédagogie qu’il aura reçu et de celle qu’il va recevoir. Ce n’est qu’à partir de 21 ans que l’homme commence à développer réellement sa conscience du Moi, même si celle-ci, bien évidemment, existait déjà en germe; il va terminer ce processus à 28 ans.

Pour rendre le propos plus concret nous allons utiliser une image.

Prenons un éléphant et imaginons qu’il représente notre subconscient puis prenons un colibri qui correspond à notre partie consciente.

A 28 ans l’être humain se trouve alors confronté avec son éléphant gigantesque (98 à 99%) et son colibri qui vient de naitre (1 à 2%)

Ce petit colibri de quelques grammes a pour rôle de soulever la lourde trompe de l’éléphant et d’emmener le pachyderme là où l’oiseau le désire.

Cela signifie qu’il va être demandé à l’homme, pour le reste de sa vie, de transvaser toute sa partie inconsciente du subconscient dans sa partie consciente, c’est à dire de devenir conscient de TOUT.

Mais pour cela il va nous falloir reconsidérer la conscience telle qu’elle est enseignée dans l’éléphant.

Mais alors pourquoi faisons nous une différenciation entre le subconscient et l’inconscient, si nous prenons conscience intellectuellement que le subconscient est nourri de façon inconsciente.

Cette différenciation peut prendre du sens si nous considérons que nous pouvons prendre conscience de notre subconscient et alors le rendre conscient alors que l’inconscient par définition reste inconscient..

Exemple : lorsque nous dormons (et à la mort) nous passons totalement dans l’inconscient et nous n’avons aucune idée de ce qui se passe dans notre corps.

Ceci est le mécanisme actuel de l’homme mais pas celui en devenir.

Comment peut on comprendre intellectuellement, c’est à dire avec notre cerveau, que la conscience ne se situe pas au niveau intellectuel ?

Comment pouvons nous alors en faire l’expérience dans le quotidien?

La réponse à ces questions n’est envisageable que si nous accédons à la connaissance de l’homme et à sa notion de tri-articulation.


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